✎ Nom : DRAAN, unique héritière légitime de la lignée. Il s'agit d'un nom qu'elle porte fièrement, car bien que ce patronyme ne soit pas sans rappeler ses origines moldus, les Draan sont des gens qui ont la réputation d'être aimables et sympathiques. Ils sont généralement très apprécier de leurs voisins et amis.
✎ Prénom : RACHEL, un prénom aux consonances douces et musicales qui n'a aucune signification particulière. Ses parents ont tout simplement décidés, d'un accord commun, de lui donner ce prénom qui lui sied bien.
✎ Date de naissance : Rachel est née au Tournant de l'Automne 1959, juste au moment où la nuit fait place à l'aube. Ainsi, à chaque année, et plus précisément le 15 octobre, ses parents célèbrent modestement le jour de sa naissance en lui offrant quelques biens d'origines moldus, mais ce sont des objets auxquels la jeune adolescente attache beaucoup d'importance.
✎ Âge : Dix-sept (17) années se sont écoulées depuis le jour de sa naissance
✎ Pays de naissance : la France, dans la ville de Paris, 19e arrondissement.
✎ Sang : née moldu.
✎ Ville d'habitation : Rachel est née dans la ville de Paris, puis, à la mort de son père survenue en 1965, sa mère retourne vivre en Angleterre (Londres) en y amenant avec elle – bien évidemment – sa fille âgée de six ans.
✎ Baguette : en cours.
✎ Camp : Rachel, n'étant pas une militante dans l'âme, n'a jamais étudié la question avec grande attention. Mais il y a fort à parier que la jeune demoiselle se laisserait fort tenter par le côté de l'Ordre et de la justice. Elle n'auront aucun intérêt à s'allier avec l'autre camps, puisque la nature de son sang y est jugé indigne et puéril.
✎ Épouvantable : Un détraqueur, tout simplement. Tout ce qui relève des forces des ténèbres, des spectres et des fantômes (maléfiques) – car elle s'est très bien accommodée à la présence quasi omniprésente des fantômes de son dortoir – elle est terrifiée à l'idée, cependant, de faire face un jour à l'une des ses créatures vaporeuses et intouchables. Imaginée, elle en avait déjà peur fillette, quelle n'a pas été sa réaction lorsqu'elle a su que ses créatures ne relevaient pas tout simplement de l'imaginaire...

Je ne sais où se sont brisés les fils qui me rattachent à mon enfance. Comme tout le monde, ou presque, j'ai eu un père et une mère, un pot, un lit-cage, un hochet, et plus tard une bicyclette que, paraît-il, je n'enfourchais jamais sans pousser des hurlements de terreur à la seule idée qu'on allait vouloir relever ou même enlever les deux petites roues adjacentes qui m'assuraient ma stabilité. Comme tout le monde, j'ai tout oublié de mes premières années d'existence.

Je suis née le jeudi 15 octobre 1959, vers quatre heures du matin, dans une maternité sise 19, rue de l'Atlas, à Paris, 19e arrondissement. C'est mon père, je crois, qui alla déclarer ma naissance à la mairie. Mais c'est sur une décision commune que mes parents me donnèrent mon unique prénom – Rachel – en déclarant que j'étais française. Mon père n'avait pas tout à fait vingt-sept ans, ma mère n'en avait pas vingt-trois. Ils étaient mariés depuis un an et demi. En dehors du fait qu'ils habitaient à quelques mètres l'un de l'autre, je ne sais pas exactement dans quelles circonstances ils se sont rencontrés. Mais je suis au moins certaine d'un détail ; j'étais leur première enfant. Ils en eurent un second, en 1960 ou 1961, un petit garçon qu'ils prénommèrent William, mais qui ne vécut que quelques jours, mort au bout de quelques semaines, atteint d'une malformation de l'estomac.

Je n'ai pas de souvenirs d'enfance. Jusqu'à ma onzième année à eu près, mon histoire tient en quelques lignes : j'ai grandit dans la ville de Paris, entourée de mes parents. J'ai été à l'école, comme tous les autres enfants de l'arrondissement, je m'en suis même fais quelques amis. Puis, à l'âge de six ans, j'ai perdu mon père et, sans avoir prit la peine d'en discuter avec moi, ma mère décida que, pour notre intérêt commun – mais je lui en ai longtemps voulu de m'avoir arraché à mes amis et ma France natale – nous irions vivre en Angleterre. Là-bas, en plus d'apprendre la langue anglaise et les coutumes du pays, je rencontrai, pour la toute première fois, la famille de ma mère. Si du côté français il n'y avait jamais eu que mon père et mes grands-parents, chez ma mère, je me suis découverte une panoplie d’innombrable cousins et cousines, tantes et oncles. Je me souviens, qu'un jour, j'accompagnai ma mère chez sa sœur, ma tante Elizabeth ; elles s'installèrent au salon et Elizabeth m'envoya jouer à l'étage avec son fils Henri, mon cousin, qui devait alors avoir douze ou treize ans. Je ne sais pas pourquoi je garde un souvenir très précis de l'escalier, extrêmement étroit et à la pente très raide. Je trouvai Henri et l'un de nos cousins, nommé Robert, assis à même le sol, en train de jouer avec acharnement à la bataille navale mouvante (une variante assez compliquée du jeu commun de la bataille navale traditionnel) ; ils refusèrent d'emblée de m'associer à leur partie, affirmant que je n'étais qu'une fille et que j'étais trop petite pour en comprendre le mécanisme, ce qui m'humilia beaucoup. u.c.

✎ Prénom/ pseudo : CAF-POW. ou Marie pour les intimes ;-).
✎ Âge : dix-neuf (19) ans.
✎ Tes passes temps favoris sont : le rpg (of course) le graphisme et la lecture (a).
✎ Tu as connu le forum ou ? c'est ma sœur, Mafalda Spinnet, qui trouva le forum. Et, bien que je me sois inscrite ''en premier'', c'est grâce à elle si j'ai rejoins la communauté du Forum.
✎ Un commentaire a apporter sur le forum ? Non, aucun, si ce n'est que j'ai déjà adopté Ron comme peluche (a).