| Sujet: Arizona Smith (Terminée) Dim 3 Juil - 20:29 | |
| Le CARACTERE Comment me décrire ? Déesse grec au charme ravageur ? Ou encore mannequin à l'humour sans égal ? Non mieux encore : Super star hyper sexy à l'intelligence sur-développée avec un banc de mecs pour chaque jour de la semaine ! Si seulement... Je suis plutôt le second rôle : l'amie sympa, maladroite et surtout très stupide qui donne un caractère comique aux films, la bout-en-train en quelque sorte. Ce n'est tout de même pas ma faute si mes jambes ont du mal à suivre une ligne droite ? Saoule sans l'être vraiment. Ah ça oui je fais bien rire les autres mais est-ce réellement ma faute ? Les paroles des gens m'apparaissent parfois comme des brides inintéressantes, alors mon esprit s'ouvre à un autre univers. Liberté ! L'imagination n'a pas de limites. Il n'existe aucune règle qui régit notre vie comme si on était un personnage de roman. La plume de l'écrivain est sans pitié face au destin de son personnage, il le connaît déjà, sa voie est toute tracée. Aucune erreur n'est possible dans un monde sans règle. La vie en décide autrement.... Alors est-ce réellement ma faute si mon esprit vole souvent vers un autre monde. « Vers l'infini et l'au delà » . Qu'est ce qui m'empêche d'agir autrement ? « Arizona... Ariiiizona... ARIZONA ! Pourquoi est ce qu'il faut toujours que tu rêves ? T'en as pas marre d'être dans la lune ? » Hein quoi ? Je m'excuse, je ne vous ai pas entendu, pouvez-vous répéter la question ? Oh, je les connais les remarques à mon sujet : « Maladroite », « une vraie petite peste ! », « Lunatique, maladroite et complètement dérangée », « un OVNI... » « Naïve ! » « un vrai petit ange... Peut-être un peu déglinguée »... J'en oublie certainement. En revanche, je ne pense pas être quelqu'un de méchant, au contraire. Je fais attention à mon prochain et protège souvent les gens qui m'entourent. Un peu comme Wonder Woman. Bon d'accord; j'avoue ne pas avoir de pouvoirs mais je vole vers mes amis, me moque de leurs ennemis, et tout rentre dans l'ordre : « Il vécurent heureux jusqu'à la fin de leurs jours. » Enfin jusqu'à ce que je mette le feu à la maison, casse la télévision, et me retrouve en pyjama nounours enfermé dehors. Hum. Le ridicule ne tue pas comme dirait l'inspecteur de police,notre voisin ! Mais outre ma maladresse, je suis surtout la meilleure amie de tout le monde. Le petit bout de choux qu'on considère toujours comme une gamine mais qu'on aime bien. En plus de ça elle est rigolote, comment ne pas l'aimer ? « LA FERME ! » Okay, j'me tais... Laissez-moi juste vous expliquer : a-t-on déjà dit aux araignées d'arrêter de tisser ses toiles ? A-t-on déjà dit au héros que toujours porter du noir était dépassé ? A-t-on déjà dit aux filles d'arrêter de danser ? Aux chanteuses d'arrêter de chanter ou aux enfants d'arrêter de compter et lasser ses chaussures ? Non, alors je ne vois pas pourquoi j'arrêterais de parler. « Arizona c'est toi qui a mis de la confiture dans mes chaussures ? » Non, c'est les petits lutins du Père Noël qui sont passés – grand sourire. J'avoue j'aime faire des farces. Mais laissez-moi vous expliquer : quand on voit quelqu'un la mine dépité, les traits tellement affaissés qu'on croirait qu'il a soixante-dix balais, on ne peut rester assis à le dévisager bizarrement. C'est un devoir de l'aider à reprendre le sourire ! Pure source de joie, il est à vrai dire très rare de me voir déprimer. Je suis au contraire une pile électrique. Sautille partout, cours dans tous les sens, embête tout le monde – mais où est-ce qu'on enlève les piles ? Le secret c'est qu'elle utilise Superpile : les piles qui tiennent pour toute la vie, garanties ou remboursées ! « Papa, Nate, j'ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer. Vous feriez mieux de vous asseoir, ça sera sûrement un choc... Je suis malade. Très malade. Une maladie incurable, le syndrome de Peter Pan. Ne pleurez pas, je sais, c'est un choc... » Malgré mon âge, je suis ce qu'on pourrait qualifier d'une gamine. Mais ne vous méprenez surtout pas, je sais quelqu'un de responsable et mature quand il le faut – attention ton nez s'allonge Arizona ! Il est vrai qu'en me regardant comme ça, on dirait franchement pas mais l'espoir fait vivre n'est-ce pas ? En plus avec un surnom comme le mien,Minnie, difficile de me prendre au sérieux ! Alors croisons les doigts pour que mes rêves se réalisent : voler comme les oiseaux, me nourrir que de framboises et surtout, mon plus grand rêve, que Barbie se teigne enfin les cheveux en rose.
Le PHYSIQUE Sans me vanter, je pense que je suis plutôt pas mal. 1m65, des formes, juste là où il faut comme il faut, des courbes harmonieuses… bref ! Je suis chatain, avec des cheveux assez longs que j’aime teindre passant du blond au brun suivant mes envies. Elle est généralement soigneusement coiffée et lissée mais je l’aime aussi déstructurée, avec une apparence désordonné bien travaillée. J’ai des yeux vert-bleu clairs. J’aime beaucoup jouer de mes charmes et je m’habille souvent avec des habits plutôt sexys mais j’aime porter de grandes robes dans les soirées mondaines. Mais il ne faut pas se fié à ma stature svelte, presque fragile, je suis en réalité très musclé. Certes, pas comme un homme à qui l’on verrait tous les muscles mais je n’ai rien à leur envier... .
L'HISTOIRE C'était une belle matinée ensoleillée, les oiseaux chantaient et les chats miaulaient; la jeune Arizona courait gaiement dans un champ, son grand frere à ses trousses. Les cheveux dans le vent et la tête dans les étoiles, elle n'aperçut pas la mare vers laquelle elle fonçait. La rencontre était inévitable, et elle fit un joli vol plané avant d'atterrir dans l'eau. Elle était peu profonde et elle avait heureusement quelques notions de natation, plus de peur que de mal dirait-on. Mais en sortant de l'eau, elle ne s'attendait clairement pas à ramener avec elle un crapaud qui avait élu domicile dans son décolleté. Un crôa sonore lui permit de remarquer son visiteur, et son cri retentit sûrement dans toute la ville si ce n'est sur toute la Terre. Elle tourna dans tout les sens, sautilla sur place, mais le batracien semblait être tombé amoureux de la jeune fille, il ne la lâchait plus. Ce n'est qu'une fois qu'elle arrêta de gigoter que son frère réussit à lui sortir le crapaud. Après cette lutte acharnée et les ricanements de celui-ci, elle demeura effrayée par ces choses vertes et gluantes. Dès son plus jeune âge Arizona montra un caractère bien trempé. « J'veux pas manger c'est caca ! » La petite fille boudait, ses deux petits yeux espiègles fichés dans ceux de sa mère. Il est à vrai dire assez difficile de faire manger des choux de Bruxelles à une petite fille, surtout si celle-ci s'appelle Arizona. Jane Smith était désespérée même la technique de l'avion qui tourne, qui tourne, et qui rentre dans la bouche n'avait pas marché – pour vous dire ! Son père qui pourtant était un homme de caractère n\'avait réussi à la faire manger. C'était peine perdue... Arizona avait toujours trouvé son père comme quelqu'un de dur. Il s'était marié une première fois à une femme pour son argent avant de rencontrer leur mère et de l'épouser. Mais Arizona l'aimait aveuglément et qu'importe sa cupidité, elle ne voulait pas la voir et était heureuse comme ça. Elle occultait souvent les mauvais moments et préférait voir la vie que du bon côté. Vous savez ce côté de la vie où le verre est à moitié plein, où la lune vous sourit la nuit et où les journées sont beaucoup trop courte pour vivre pleinement chaque instant. « Arizona reviens ici ! Nate va la chercher s'il te plaît.... » A deux ans déjà, la jeune fille courait partout sous le regard alarmé de ses parents. S'ils n'avaient eu aucun repos avec son grand frère, c'était pire avec Arizona. Mais sous leur apparente anxiété, ils couvaient surtout du regard leurs deux petits chérubins. Arizona avait toujours adoré sa mère. Ses boucles blondes descendant en cascade sur son dos, ses sourires attendrissants, la douceur de sa peau, elle était magnifique. Elle aurait pu la contempler pendant des heures, plongeant son regard admiratif dans ceux d'un vert éclatant et rayonnant de sa mère. Hélas, le parfait petit tableau de famille qu'ils constituaient se vieillissaient, se tâchaient, pour finir par se déchirer en mille morceaux... « Elle est où maman ? - Elle est partie au pays imaginaire. - Mais... Moi aussi je voulais y aller. Pour... Pourquoi elle nous a pas amené ? - Je ne sais pas. » Arizona fut profondément affectée par la mort de sa mère. Elle refusa de sortir de sa chambre pendant toute une semaine avant que son frère ne finisse par la trainer de force. Le jour de l'enterrement, elle porta une robe à fleur, plein de couleurs comme l'était sa mère. Elle détonna parmi tout ce noir mais ce ne serait pas la première ni la dernière fois que Arizona se ferait remarquée. Elle ne pouvait pas être triste éternellement, d'autant plus qu'on voyait rarement plus joyeux qu'elle. « Arizona, Nate, vous pouvez descendre une minute, j'ai à vous parler. » Arizona, les jambes croisées et assise par terre, dévisageait la montagne de fringue qui la devançait. Elle avait essayé plusieurs fois de cligner des yeux ou de claquer des mains pour que tout se range dans son armoire mais apparemment il fallait etre une grande sorciere pour y parvenir,mais malheuresement ce n'était pas moi. Elle était en pleine réflexion lorsqu'elle avait entendu la voix de son père. Enfin ! Yes ! Il s'était enfin décidé à lui offrir cette superbe robe dont elle rêvait. Elle dévala les escaliers, manquant de se rétamer à plusieurs reprises, et après un dérapage contrôlé dans le couloir, elle s'arrêta net devant le canapé dans lequel elle s'affala « gracieusement ». Où était le paquet, les petits noeuds et tout le tralala ? Pourquoi son père faisait-il cinquante fois le tour du salon, l'air mal à l'aise ? Il n'avait tout de même pas perdu son boulot ? Elle du attendre que son frère daigne se montrer pour enfin avoir une réponse. « Arizona,Nate..On démenage. » Stop. Retour en arrière. QUOI ?! Autant annoncé que la Tour Eiffel était en plastique ou que le Taj Mahal en fromage, mais pas ça. Elle avait plein d'amie à Sydney et même si elle savait qu'elle n'aurait aucun mal à s'en faire de nouveaux, elle n'arrivait pas à s'imaginer quitter le pays. Puis on déménage certes, mais où ? Si c'est un pays froid, Célia préfere de suite vous annoncer qu'elle préfère encore manger des moules jusqu'à la fin de sa vie. Elle n'avait pas envie de devenir un glaçon qu'on exposerait ensuite dans un musée ! Mais à vrai dire quand son père annonça le nom de la ville,Londres, Arizona fut très loin de tirer la gueule et au contraire, elle se mit à sauter partout en hurlant qu'elle allait dans une super ville. Quelques mois plus tard, et les voilà emménagés dans un grand appartement dans la grande ville. Arizona avait les yeux qui pétillaient en permanence et ce même quand leur horrible voisine pointait le bout de son nez. Une harpie ! Tout le monde connaît la sorcière dans Blanche neige, celle qui vous faisait pleurer ou encore vous cacher derrière le canapé, et bien elle était pire, bien pire. Toutes ces couches de maquillages, toutes ces breloques accrochés autour de son cou ou de ses poignets; comment arrivait-elle à tenir debout ? Et le pire restait à venir : elle avait un caniche. Non, pas les caniches mignons que vous prenez dans vos bras, les yeux pétillants, et les mains avides de caresses. Non. C'était un caniche au poil noir, les yeux qui devenaient rouges la nuit – non ça Arizona l'avait juste imaginé – et qui mordait dès que vos chevilles traînaient un peu trop près de ses crocs. Un caniche vampire ! En bref c'était l'horreur. Ajoutez à ça le fait qu'elle appelait Arizona « Ma minette », il n'en fallait pas plus pour qu'à chaque fois qu'elle la voyait, Arizona se cache et croise les doigts pour ne pas qu'elle la voit. C'était un peu comme une mission secrète : les MES soit les Missions pour Éviter la Sorcière. C'était plutôt subtil. Il fallait faire attention à ne pas attirer l'attention de la furie à tête de cochon. Chacun de ses gestes étaient calculés d'avance pour lui permettre au mieux de réussir. Elle s'imaginait souvent en pleine mission pour le FBI. Au bout du couloir : la sorcière, à l'entrée la vaillante Arizona, et entre elles, un caniche vampire. Les grognements de ce dernier faisaient trembler le bâtiment et sursauter la brave Arizona. Elle se réfugiait ensuite dans les escaliers ou il lui était même arrivé une fois de rentrer dans un appartement au hasard pour l'éviter. Bref, Arizona avait une vie des plus excitantes dans sa nouvelle ville et elle put même rentrer dans une école primaire normale, son rêve. Alors quand son père leur annonça qu'il repartait à Sydney, Arizona et son frère décidèrent de rester.A ce moment là,leur père annonça à Arizona qu'elle avait une lettre. Une lettre de Poudlard. Elle regarda son père et son frere sans réellement comprendre. Et là,on lui expliqua que sa mère était une sorciere et son père un simple mortel.Son père lui annonça également que sa mère avait été tué par un sorcier jaloux de ses pouvoirs.Voila d'oû venait les bruits bizzart et les cachoteries dans le garage Ainsi que les discours et histoires de magie que sa mère lui racontait. Au début elle n'y avait jamais cru.Elle demanda à sosn père pourquoi il ne leur en avait jamais parlé. Il répondit que leur mère voulait les prèserver de tout cela.Arizona regarda son frere,elle ne voulait pas partir sans lui. Arizona et Nate ont une relation très fusionnelle. La jeune fille voit son grand frère ,qui lui avait deja 23 ans;comme un héros et pour elle, il n'y a personne de plus fort que lui. Il l'a toujours protégé, même peut-être un peu trop et elle sait qu'elle peut compter sur lui. Mais ça ne l'empêcha pourtant pas de partir à son tour. Un jour,Oui ce jours tant attendu était arrivé.Avant de partir elle pleura toute les larmes de son corps.Elle arriva donc bien. A ce moment là,Nate, lui annonça qu'il devait partir je-ne-sais-où pour affaire et qu'il ne reviendrait pas avant un moment. Et là Arizona qui n'était pas une personne qui s'énerve facilement, eut du mal à se contenir. Leur mère, leur père, puis maintenant lui ! Autant dire tout de suite qu'ils voulaient tous l'abandonner. Mais Arizona ne s'énerva pas. Elle se contenta de serrer son frère dans les bras et de lui dire de faire attention à lui. Si seulement elle avait su que ce « moment » durerait deux ans, elle n'aurait peut-être pas réagi de la même façon. Rien. Aucun message, aucun coup de fil, nada, niet !.Et pendant ce temps,là voila qui était à Poudlard,elle était une exellente éleve,quelque peu indisciplinée aussi..
ET SUR VOUS ! ON VEUT EN SAVOIR PLUS.
Dites-nous tout Prénom : Miss Bisounours Age : 20 ans Loisir & Passion : Serie médicale,ecrire,dessiner,m'occuper de mon bout de chou Où as-tu connu le forum ? : Google Un commentaire dessus ? : HAKUNAMATATA
Dernière édition par Arizona Smith le Mar 5 Juil - 10:14, édité 13 fois |
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Admin ♣ Préfète Gryffondor - 6ème année ▌Age : 36 ▌Parchemins : 2151 ▌Points de Rp : 100 ▌Initiation magique : 05/06/2011 | Sujet: Re: Arizona Smith (Terminée) Mar 5 Juil - 6:54 | |
| Alors, ta fiche est bien, très drôle, mais il y a quelques incohérences qui m'empêchent de la valider en l'état : Nous sommes en 1976, tu ne peux pas faire référence, dans ton caractère ou dans ton histoire, à des dessins animés ou séries sortis après cette date: Sabrina, Franklin, etc. pour l'excellente raison qu'ils n'existent pas encore. Comment ton personnage peut-il intégrer une école de photographie en école Primaire ? Elle a forcément moins de 11 ans... Il est très étrange que les parents de ton perso soient sang-purs tous les deux et vivent parmi les moldus sans utiliser une fois la magie (sauf en cachette dans le garage... mais pour faire quoi ?). Il serait bien plus cohérent que le père ou la mère seulement soit sorcier et ait décidé de vivre avec son conjoint moldu. A part ces points, tout va bien ! Préviens-moi dès que tu auras effectué les modifications . |
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