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 Does it really matter ? { Kennedy C.

WIZARDHIBOUX
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Does it really matter ? { Kennedy C. _
MessageSujet: Does it really matter ? { Kennedy C.   
Does it really matter ? { Kennedy C. Icon_minitimeJeu 4 Aoû - 8:51



    « DOMINO OU LE FUET FARCEUR, MAIS JE T'AIME QUAND MÊME MON LOULOU ! »

    Anwen parlait seule, allongée sur le dos dans son lit, les bras tendus vers le plafond et entre ses mains, Domino, son furet noir et blanc. Quelques personnes la prenaient pour une malade mentale qui parlait à son animal, ce dernier était pourtant doté de certaines facultés qui lui donnaient une intelligence équivalente à celle d'un enfant de huit ans. Pas mal, me direz-vous !
    C'était un dimanche, Anwen n'avait rien à faire. Pour une fois, prendre son balais et s’entraîner au Quidditch ne lui faisait pas envie. De plus, le temps extérieur l'en dissuadait. Le ciel était gris et les pelouses recouvertes d'une brume épaisse, on croirait pouvoir marcher dessus. Elle s'approchait de la fenêtre, se mettait à genoux pour regarder au dehors par le carreau, la tête dans les mains. Domino, quant à lui se cachait dans le tiroir ouvert à côté du lit de sa maîtresse.
    Elle rouvrait les yeux, une marque rougeâtre sur la joue droite. La marque de son bras. Elle s'était endormie profondément. Songes étranges. Elle se voyait vagabonder dans la brume du parc de Poudlard, sentant une âme dans son dos. Une âme différente. Glaciale. Réflexe de l'enfant tourmentée par ses cauchemars, son inconscient avait appris à saisir sa baguette, seul éclat dans le gris de ses rêves. Trop tard. Le bourreau, son épouvantard, avait encore frappé d'un geste silencieux et rapide. Tout avait pris une tournure encore plus sombre. Des plumes d'hirondelles et de corbeaux tombaient du ciel étouffé par la masse nuageuse. Ce dernier s'assombrissait à nouveau, de plus en plus et devenait plus noir que jamais. Un air glacial et mortel l'immobilisait. Un rêve étouffant.


    Anwen dévalait les escaliers. Ses pulsations avaient pris un rythme anormal. Son visage était plus pâle qu'un linge et faisait perler des gouttes de sueur le long de ses joues. On aurait pu croire à des larmes, mais ce n'était pas le genre de la Serdaigle suite à une chimère. Elle se souvenait de tout, elle faillit louper une marche et un battement. Deuxième frayeur. Elle ne savait pas où elle se rendait, pourvu qu'elle prenait l'air. Ses pieds la conduisaient au parc. Par habitude, elle avait pris son petit sac en cuir avec elle, Domino en jaillit et pendant la course de sa maîtresse, remontait le bras de cette dernière à la vitesse de l'éclair pour s'installer sur son épaule et regarder la route de ses petites perles noires. Anwen se sentait soudain rassurée par la présence de son ami à quatre pattes. Ce dernier lui pinçait l'épaule avec ses griffes, signe qu'il avait du mal à se cramponner. Anwen allait trop vite. Elle ralentissait la cadence une fois le nez dehors. Elle fermait les yeux face au ciel, prenait une grande bouffée d'air frais, fuyait à nouveau le gris du ciel en rouvrant ses mirettes vers le sol humide. Frappée par un frisson du à l'air frais, elle sortait de son sac l'écharpe de sa maison qu'elle enroulait autour de son cou. Il était temps d'oublier ce mauvais songe.
    Vaste parc de Poudlard, l'un de ses endroits favoris pour ne plus penser à rien. Domino sur l'épaule, Anwen lui donnait un bout de biscuit. Une branche craquait soudain dans leur dos, ils se retournaient quitte à frôler le torticolis. Le regard de la Serdaigle mêlait surprise et angoisse.
    Angoisse ou juste surprise ?
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MessageSujet: Re: Does it really matter ? { Kennedy C.   
Does it really matter ? { Kennedy C. Icon_minitimeVen 5 Aoû - 3:53

    Les dimanches étaient la hantise de Kennedy. C'était pour elle le jour le plus mortellement ennuyeux de la semaine. Et dans la salle commune des Serdaigle, tout le monde trainait les pieds, cherchant en vain quelque chose à faire. Pour couronner le tout, le temps s'était accordé à la morosité ambiante, privant les élèves d'une promenade désœuvrée dans le parc. Mais depuis quand le mauvais temps empêchait une irlandaise de sortir? Si à Dublin elle se privait de sortir à la moindre goutte de pluie, la jolie blonde passerait la majorité de l'année cloitrée dans sa chambre. Elle se leva du fauteuil où elle avait élu domicile depuis une heure ou deux, ne sachant pas vraiment si son envie de sortir était réelle ou non, alla dans son dortoir pour nouer l'épaisse écharpe de sa maison autour de son cou, se protégeant ainsi un peu du froid, enfila un manteau, et n'oublia pas de mettre quelques livres dans son sac, histoire de tromper un peu l'ennui de ce dimanche brumeux.

    Dehors, comme on pouvait s'y attendre il n'y avait personne à part quelques courageux joueurs de Quidditch, qui avaient eux aussi bravé le froid pour venir s'entraîner en vue des prochains matchs. L'irlandaise s'assit près d'un arbre et sortit un livre, ouvrage sur une époque obscure époque de l'histoire de la magie, qui faisait partie des quelques livres de la bibliothèque qu'elle n'avait pas encore ouvert. Mais sa lecture à peine commencée, un éclair d'un roux flamboyant traversa son champ de vision. Un autre jour, Kennedy n'y aurait prêté aucune attention, beaucoup de créatures traversaient le parc de l'école, surtout quand il était aussi désert. Mais son livre était suffisamment ennuyeux pour qu'elle soit plus intéressée par cette apparition. Elle referma l'ouvrage le rangea précautionneusement dans son sac, pour ne pas rendre un livre abimé à Mme Pince qui pouvait se révéler très agressive si un de ses livres bien aimés était rendu en mauvais état, et se leva, bien décidée à trouver la provenance de cette "apparition ". Mais l'épais brouillard qui baignait le parc de Poudlard ne rendait pas les choses faciles, il était en effet quasiment impossible de voir plus loin que le bout de son propre nez.

    Mais après quelques minutes de marche difficile dans l'herbe détrempée, la dublinoise trouva ce qui, ou plutôt qui, avait interpelé son regard. Il s'agissait simplement de son amie Anwen, Serdaigle de 7ème année, et de son furet dont elle était inséparable et qui avait la particularité d'avoir de longs cheveux d'un roux flamboyant. Kennedy s'approcha d'eux, mais avant qu'elle puisse dire un mot pour annoncer son arrivée, une branche craqua sous ses pas, trahissant sa présence. La réaction de l'autre jeune fille et du petit animal ne se fit pas attendre. Ils tournèrent la tête si vite que ce fut presque douloureux à voir.
    La blonde esquissa un sourire, destiné à calmer l'angoisse ou la surprise, ou les deux, qu'elle décelait dans le regard de son amie.

    - Je... J'étais en train de lire dans le parc et je t'ai aperçu... Enfin, voilà je venais juste te dire bonjour

    Maintenant qu'elle se trouvait face à elle, sa démarche paraissait presque idiote. Si Anwen était descendue dans le parc avec un temps pareil, c'est qu'elle n'avait aucune envie d'être dérangée. Mais bon, le mal était maintenant fait, et Kennedy ne pouvait plus vraiment reculer et s'en aller sans paraitre terriblement impolie.
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MessageSujet: Re: Does it really matter ? { Kennedy C.   
Does it really matter ? { Kennedy C. Icon_minitimeSam 6 Aoû - 8:21




    Anwen s'attendait à voir apparaître le bourreau. L'homme croisé entre la bête et la mort, le fou à la hache, le monstre encapuchonné né aux enfers et destiné à y passer le restant de ses jours. Cette chose (ne méritant pas d'être considérée comme un homme) était le reste d'un traumatisme d'enfant. Elle avait assisté à l'exécution d'un animal dès son plus jeune âge, même la bête lui avait échappé, elle ne se rappelait plus de quelle espèce il s'agissait. Ce n'était qu'à travers le tissu sombre masquant le visage du bourreau que la Serdaigle avait eu un haut le cœur. Des yeux rouge se rivaient sur elle comme si une entité allait soudain surgir pour s'emparer d'elle.
    Ce vague souvenir la faisait frissonner. Elle n'avait plus qu'à se détendre. Son premier réflexe. Ses muscles se relâchaient soudainement, comme ses os, jusqu'au poids de ses paupières qui se fermaient doucement. Anwen émettait un léger sifflement témoignant son soulagement. Domino avait totalement relâché sa stupeur, bien avant sa maîtresse d'ailleurs. Dès qu'il avait remarqué qu'il s'agissait de Kennedy Collins, il ne s'était plus inquiété.


    « JE... J'ETAIS ENTRAIN DE LIRE DANS LE PARC ET JE T'AI APERÇU... ENFIN, VOILÀ JE VENAIS JUSTE TE DIRE BONJOUR. »

    La rouquine sourit et se levait doucement, sans un bruit. Elle avait bien remarqué que son amie se sentait mal à l'aise. Croyait-elle à un vilain dérangement ? Elle savait fort bien qu'Anwen était une adepte du calme, une ravagée du silence, une prêtresse du mutisme, mais aujourd'hui c'était exceptionnel. Elle aurait aimé se retrouver au milieu d'un orchestre en pleine représentation de la IX ème symphonie de l'artiste moldu Beethoven. Bien sur, être invisible au milieu des musiciens, mais être transpercée de toutes part par la musique pour ne plus entendre de silence. Pour ne plus entendre le bourreau. C'était toujours avec une sourire suspendu à ses lèvres, un sourire lié à son soulagement qu'elle se dirigeait vers sa confidente qui avait l'air de se sentir légèrement de trop, sa posture et les hésitations dans sa voix montraient qu'elle aurait aimé se trouver à des milliers de kilomètres de là. Anwen plongeait son regard dans celui de Kennedy.

    « NE T'INQUIÈTE PAS, JE SUIS CONTENTE QUE TU SOIS VENUE MÊME POUR UN SIMPLE SALUT. JE... JE DOIS CREVER LE SILENCE AU MOINS AUJOURD'HUI... »

    Elle a forcément compris que la rouquine n'était pas en forme ce jour-là. Elle n'allait d'ailleurs pas tarder à raconter ce qu'il lui arrivait dans ses prochaines phrases. Anwen ne pouvait pas résister à l'idée de lui raconter ce qui la tracassait. Depuis qu'elles se connaissaient, la septième année avait appris a faire confiance à Kennedy qu'elle considèrait comme sa confidente et aussi comme âme dont les secrets ne peuvent pas transparaître. Anwen n'avait jamais sentit un quelconque jugement et vice versa, elle ne s'était jamais permise de juger les confidences de son amie. Elle savait à présent s'ouvrir à une personne autre que son frère qu'elle ne voyait plus, puisqu'il avait quitté Poudlard et s'était engagé dans un métier qui l'avait envoyé en Irlande.
    La rouquine sentait déjà un poids se lever. Sans réfléchir, elle venait de marquer un départ vers la communication de son mal-être. Elle était pourtant une jeune fille sans tracas, habituellement cloisonnée mais qui n'était jamais attaquée par un quelconque malaise. Or, elle n'était pas intouchable. Ceci étant le gros soucis de sa personnalité : être dans son coin l'empêchait d'apprendre à se sentir mal et à contrôler ses « ennuis » d'elle même.
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MessageSujet: Re: Does it really matter ? { Kennedy C.   
Does it really matter ? { Kennedy C. Icon_minitimeDim 7 Aoû - 10:43

    Dès qu'elle l'avait vu, Kennedy s'était rendu compte que quelque chose n'allait pas chez son amie. Mais la blonde était quand même rassurée de voir que sa présence n'était pas de trop, et qu'elle allait même lui servir à quelque chose. En même temps, les deux jeunes filles se considéraient comme soeurs, confidentes même. Ce que l'une savait, l'autre le savait aussitôt.

    Ne t'inquiète pas, je suis contente que tu sois venue même pour un simple salut. Je..; Je dois crever le silence au moins aujourd'hui

    Crever le silence? Ca c'était une chose vraiment inhabituelle chez Anwen, l'éternelle muette, qui écoutait beaucoup plus qu'elle ne parlait. Mais leur relation d'extrême confiance s'étant développé avec les ans, les deux filles étaient vraiment proches, et c'était presque normal que la septième année veuille se confier à elle. Malgré tout, la plus jeune se sentait fière d'être celle à qui elle se confiait toujours. Il est toujours plaisant de savoir que quelqu'un vous fait confiance non? Enfin. En tout cas, Anwen avait l'air de se sentir vraiment mal, et ça inquiétait beaucoup son amie à vrai dire, qui ne comprenait pas trop ce qui pouvait l'effrayer de la sorte.

    - Oui, bien sûr... Tu peux tout me dire, mais ça tu le sais déjà.

    Elle sourit, pour encourager les confidences d'Anwen, dont le furet s'était d'ailleurs calmé à la vue de la jolie blonde, qu'il connaissait bien maintenant. Kennedy pensait souvent que le furet comprenait beaucoup de choses avant elle, comme tout les animaux. Il était peut-être normal qu'il ait sentit l'absence de danger avant sa maitresse. Il faut dire que la petite blonde ne représentait pas une grande menace au château. Elle n'était un danger que pour les moldus un peu trop téméraires qui croisaient son chemin à Dublin.

    En tout cas, à cet instant, elle était prête à tout entendre venant de son amie. D'ailleurs, qu'avait elle de si terrible à dire, qu'elle ne lui avait jamais dit? Kennedy avait l'impression qu'elles s'étaient déjà tout dit. Quel était ce secret qu'Anwen gardait depuis si longtemps pour elle? Ce devait être quelque chose d'affreux pour qu'elle ne le lui ait jamais confié. Leur relation avait sûrement évolué d'un étape de plus vers la confiance pour qu'elle lui offre de nouvelles confidences. De plus en plus personnelles, intimes, même si elles se disaient tout, et sans crainte de jugement. C'était pour cela qu'elles étaient si proches, elles ne se jugeaient jamais.Et ça faisait beaucoup de bien à la dublinoise, et elle était sûre que l'écossaise appréciait cette relation autant qu'elle.
[ Désolée, c'est très court mais ce soir j'ai beaucoup de mal. Encore désolée je ferais mieux la prochaine fois promis =') ]
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MessageSujet: Re: Does it really matter ? { Kennedy C.   
Does it really matter ? { Kennedy C. Icon_minitimeMar 9 Aoû - 6:40

    [T’inquiète pas, tu vois bien l’apparence de mes post ^^ Si toi c’est court, alors moi à côté, je ne fais pas le poids xD Je suis un peu rouillée, je reprends le RP après trois ans de standby ^^]


    Anwen baissait les yeux et regardait du coin de l’œil à droite et à gauche, signe qu’elle cherchait ses mots. C’était assez compliqué cette histoire. C’était aussi un rêve qui revenait souvent. Elle se souvient de ces yeux rouges, d’en avoir parlé à son père et que celui-ci lui ai répondu qu’ils auraient eu des descendants ayant exercé ce « métier » dans le monde magique du côté de sa mère (puisque cette dernière était la seule ayant transmis du sang sorcier à ses enfants). Il aurait été possible que dans les annales de la famille Berc’Hed se soit glissé un fait divers datant de plusieurs siècles disant qu’une famille de bourreaux étrangement jeunes et renfermés aurait commis un massacre comparable à plusieurs bains de sang dans la ville très prisée qu’est Cardiff city. Afin de pouvoir exercer son métier tranquillement, le père d’Anwen avait décidé de déménager près d’Edimbourg. C’est effectivement mieux pour un marin d’habiter à proximité de Port Edgar plutôt que de rester à Cardiff, les affaires marchent forcément moins bien sinon… La fuite de la famille vers le nord du Royaume-Uni (Anwen était encore un bébé) a quelque peu brisé l’union du sang entre les bourreaux Berc’Hed et les métiers divers exercés dès lors par chaque membre de la famille. La mère d’Anwen était fille unique et transforme aujourd’hui les métaux, une artiste en somme. Ses parents travaillaient pour l’un au ministère et pour l’autre dans un pub en plein centre ville. Bref, comme dit précédemment, que de métiers divers ! L’histoire de la famille avait fini par être étouffée, mais la mère de la Serdaigle avait avoué être également victime de terreurs nocturnes confondant vie quotidienne et histoires d’ancêtres.
    Anwen reprenait ses esprits et rivait son regard dans celui de son amie. Elle se pinçait la lèvre et lui faisait signe de la suivre. La serdaigle s’était assise, avait ramené ses genoux à sa poitrine et avait passé ses mains de l’autre côté du dossier du banc. Domino, qui s’était absenté pour renifler les douceurs de la nature était revenu pour se loger entre les deux demoiselles. Par ailleurs, il avait du fourrer son pelage dans les feuilles et les herbes pour être humide à ce point ! Il regardait sa maîtresse qui lui adressait un sourire en coin en signe de « n’importe quoi ». Anwen réfléchissait un court instant.


    « POUR TOUT T’AVOUER, CE MATIN JE ME SUIS ENDORMIE AU BORD DE LA FENETRE DANS LE DORTOIR. QUAND JE ME SUIS REVEILLEE, J’ETAIS ENCORE UN PEU DANS LE BROUILLARD ET UN RÊVE ETRANGE M’A LITTERALEMENT LAISSE DE GLACE… »

    La rouquine marquait un temps. Elle levait les yeux vers le ciel et au moment où elle se sentait éblouie, elle rivait son regard vers Domino comme si ce dernier pouvait être la source de son inspiration. Et c’est à cet instant qu’elle contait tout ce dont elle se rappelait : son rêve, l’histoire de ses ancêtres, la raison pour laquelle le lien s’est détaché et les résidus restants, autrement dit, les terreurs nocturnes. Son récit durait longtemps même si elle ne marquait quasiment aucune pause. A la fin, elle fermait les yeux comme pour sous-entendre le point à son récit. Lorsqu’elle rouvrait ses mirettes, c’était pour poser son regard sur Kennedy qui avait l’air d’enregistrer chacun de ses mots. Anwen réalisait. Elle s’était à nouveau confié et avait à nouveau sentit le poids sur ses épaules se lever petit à petit comme s’il avait été porté par des ailes. Un sourire s’installait au creux de ses lèvres témoignant son aise. Celui-là n’allait plus disparaitre de la journée.

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MessageSujet: Re: Does it really matter ? { Kennedy C.   
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