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 Enquête sur un bureau saccagé ... [PV. Argus]

WIZARDHIBOUX
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Enquête sur un bureau saccagé ... [PV. Argus] _
MessageSujet: Enquête sur un bureau saccagé ... [PV. Argus]   
Enquête sur un bureau saccagé ... [PV. Argus] Icon_minitimeJeu 31 Jan - 8:09

Briannah revenait tranquillement de son premier et dernier cours de la journée. Tout c’était heureusement très bien déroulé, ils en étaient encore à l’assimilation du vieux Futhark, la plus anciennes forme d’alphabet runique. Bientôt, elle l’espérait, elle pourrait leur lancer quelques défis concernant la traduction de courts textes. Ça avait été un très bon cours, elle était fier de ses élèves et ils semblaient tous très intéressés. Il est vrai, cependant, que cette matière n’attirait pas beaucoup de gens, vu sa réputation et son caractère optionnel.

Elle longeait les couloirs pour se rendre à son bureau, où elle passerait le plus clair de son après-midi à étudier des textes de runes. Elle lisait et traduisait, pour le moment, un livre qu’elle avait trouvé sur un site de fouille archéologique dans le nord de l’Afrique. Elle avait eu, lorsqu’elle avait trouvé le bouquin, le pressentiment qu’il renfermait d’importantes informations concernant une ancienne forme de magie très sombre et elle avait visé juste. Dès qu’elle en aurait terminé la traduction, elle remettrait les deux copies au Professeur Dumbledore, qui saurait les mettre en lieu sûr. Il ne fallait absolument pas que ceux-ci tombent entre des mains malveillantes, cela pourrait avoir de grandes répercussions sur le monde magique.

Elle suivait les murs avec sa main valide, son autre étant occupée à tenir ses outils de travail les plus importants : son dictionnaire des runes et syllabaire lunerousse. Bien qu’elle connaisse les couloirs de Poudlard comme le fond de sa poche, Bree préférait se diriger ainsi à cause de sa vision brouillée. Un seul instant d’inattention, perdue dans ses pensées, et elle pouvait se retrouver dans un endroit totalement imprévu. Heureusement pour elle, ses élèves ne semblaient pas avoir remarqué qu’elle avait une vision trouble. Elle était consciente que s’ils s’en apercevaient, leur réaction pouvait être imprévisible.

Arrivé devant la grande porte en chêne de son bureau, Briannah sortit sa longue baguette marquée de différents motifs étranges et murmura un sort qui fut suivit d’un léger déclic presqu’imperceptible pour déverrouiller la porte. Elle poussa l’énorme porte tout en rangeant sa baguette dans sa ceinture, mais alors qu’elle allait mettre un pied dans son bureau, un vent glacial souleva ses cheveux. Elle avait l’affreux pressentiment que quelque chose n’était pas correct, quelqu’un d’étranger y avait entré, elle le sentait. Elle poussa la porte contre le mur et lança un lumos maxima, elle optimise, de cette façon, sa capacité de voir les détails, sans être toutefois capable de tout voir.

Son bureau était entièrement saccagé. Piller, c’est ce qu’on était venu faire. L’auteur de ce carnage avait clairement une seule idée lors de la commission de son crime : trouver l’objet de ses désirs. Et Bree pouvait facilement se douter quel était cet objet, le livre qu’elle était entrain de traduire. Heureusement, elle avait pensé à protéger le manuscrit avec plusieurs sorts de protection contre les intrus avant de l’enfermer dans un coffre-fort avec une combinaison magique qu’elle seule connaissait.

Un sentiment de panique commença à l’envahir : et s’ils avaient quand même pu voler le manuscrit ? Peut-être qu’ils avaient réussit à contourner toutes ses protections, s’ils étaient vraiment calé en magie ? Le seul moyen d’en avoir le cœur net était de le vérifier. La jeune femme entra doucement en essayant de ne pas marcher sur ses objets jonchant le sol. Elle avait tous ses sens en alerte, au cas où le fauteur de troubles était encore présent. Finalement, elle soupira de soulagement lorsqu’elle vit que le coffre-fort était encore bien ancré dans le sol sous son bureau. Elle marmonna quelques incantations tout en faisant de petits gestes avec sa baguette et la porte s’ouvrit lentement avec un léger grincement. Elle se pencha pour prendre le vieux livre dans ses bras, si quelqu’un de malintentionné le voulait si ardemment, elle ne pouvait plus prendre la chance de le laisser dans son bureau…

La jeune professeure n’avait pas beaucoup d’option. Il fallait qu’elle mène une enquête sur cela, mais elle ne savait pas vraiment par où commencer… En plus, elle ne pouvait pas clairement voir tous les détails qui se trouvaient dans la pièce, alors il était évident qu’elle aurait besoin d’aide. Mais à qui est-ce qu’elle pourrait envisager de demander ? Étant toute nouvelle à Poudlard, elle ne connaissait pas très bien les autres professeurs en tant que collègue, donc elle ne saurait pas vraiment à qui s’adresser… La seule personne qui avait de l’expérience pour ce genre de situation était le concierge, Rusard.

Bree rebutait vraiment d’aller lui demander de l’aide, puisqu’elle avait durement goûté à ses méthodes lorsqu’elle était en 6e et 7e année. Elle se souvenait encore, tandis qu’EJ, Persé’ et elle avaient décidé de faire une petite promenade nocturne pour profiter de la fraîcheur de l’eau du lac, il les avait pris les trois sur le fait, tout juste à la sortie du château. Selon lui, c’était une grave transgression des règlements de l’école qui méritait d’être punie par 10 heures de retenue à nettoyer le placard à balai et la salle des trophées. Bien sûr, les adolescentes étaient parfaitement en désaccord avec cette punition et ne manquèrent pas d’insulter le concierge… Ce qui leur valu de se faire retirer des points pour leur maison par leur directeur respectif.

Bref, tout cela pour dire que la femme qu’elle était devenue ne pouvait, encore moins maintenant, adhérer aux techniques utilisées par le concierge pour punir les élèves, même si, elle devait l’avouer, cela avait porter ses fruits dans de nombreuses situations. Soupirant, Briannah ne voyait toutefois aucun autre moyen pour mener cette enquête et trouver le coupable. Elle ne pouvait pas non plus remettre son bureau en ordre et faire comme si rien n’était… Résignée, elle prit la direction du bureau du concierge, priant pour qu’il soit là et qu’elle n’ait pas à fouiller dans tout le château à sa recherche.

En toquant à la porte de son bureau, elle l’entendit lui dire d’entrer. Elle poussa la porte, les bras croisés pour se donner du courage. « Bonjour, Mmm… » Oui, elle avait de la misère à l’appeler monsieur, la mauvaise habitude qu’elle avait de l’appeler « la veracrasse » revenait sans cesse. « Monsieur Rusard, j’ai une faveur à vous demander. Je viens tout juste de revenir à mon bureau après mon cours de ce matin et il semble qu’un intrus y soit pénétrer pour le saccager complètement… Je les soupçonne d’avoir voulu me voler ce vieux manuscrit, écrit en runes, qui renferme des informations sur une magie très sombre. Je le traduis présentement sous l’ordre du Professeur Dumbledore. J’avais prévu que certaines personnes malintentionnées voudraient me le voler et ils n’ont pas réussit à contourner mes sorts de protection… » Le morceau le plus difficile arrivait, alors qu’elle devait lui demander de l’aide. Elle ajouta, en se tortillant les doigts : « Et voilà, euh bon… J’aurais besoin de votre aide… Si vous voulez bien me suivre et constater l’état des lieux… » Ouf, elle avait l’impression que le pire moment venait de passer, mais elle se doutait au fond d’elle que travailler avec lui ne serait pas de tout repos et qu’elle devrait se retenir pour pas passer des petits commentaires désobligeants.
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Enquête sur un bureau saccagé ... [PV. Argus] _
MessageSujet: Re: Enquête sur un bureau saccagé ... [PV. Argus]   
Enquête sur un bureau saccagé ... [PV. Argus] Icon_minitimeDim 3 Fév - 10:20

Assis bien à l’aise sur la vieille chaise de son bureau, Rusard s’adonnait à une de ses grandes passions : relever les punitions dans son grand livre de retenues. Un sourire mauvais aux lèvres, le concierge écrivait et comptait consciencieusement tandis que mister Hyde dormait calmement, roulé en boule dans un vieux vêtement de son maître, engoncé dans son panier près d’une bougie répandant de la chaleur, cette sieste et ce lieu constituaient la grande passion du chat.
En parfaite harmonie, donc, heureux comme un maître et son chat pouvaient l’être, les deux comparses savouraient ce trop rare moment.
« Black… trois heures à astiquer les rampes d’escalier… Bien… Potter : deux heures à nettoyer les toilettes des différents étages… Très bien… » Le concierge notait scrupuleusement les noms des affreux perturbateurs irrespectueux des règlements, se remémorant leurs têtes lorsqu’il leur apprenait les punitions qu’il leur mettait, et leur air déconfit à la fin des retenues. Un large sourire fendit son visage sec et sévère, découvrant ses dents, tandis qu’il continuait sa distraction. Le chat, lui, agita légèrement ses pattes dans son sommeil, rêvant sans doute à une course-poursuite où il acculait une souris dans un coin et où il jouait avec, à lui faire croire qu’elle avait une chance de s’enfuir, avant de la faire passer d’une patte griffue à l’autre pour finir par l’achever.

S’il y avait une image du bonheur sadique, et de l’harmonie entre l’homme et l’animal, ce serait peut-être celle-là qu’il faudrait prendre.
Mais leur doux passe-temps s’interrompit le temps de trois coups frappés à la porte. Ce bruit réveilla mister Hyde et fit faire un pâté d’encre à Rusard, tous deux surpris par ce bruit soudain. D’un même mouvement, leurs deux têtes se tournèrent vers la porte, tous deux prêts à maudire l’indélicat qui les avait interrompus.
« Entrez ! » dit sèchement Rusard, prêt à sortir son fouet si un élève avait fait la farce de frapper pour s’enfuir aussitôt. Les rares qui avaient tentés ce genre de blague avaient été pistés puis retrouvés par mister Hyde et le concierge, et leur punition fut telle que plus jamais ils n’osèrent recommencer.
Une jeune femme ouvrit la porte. Argus plissa les yeux. Voilà qui était inhabituel, et même très inattendu. Le chat gronda de désapprobation. Lui aussi, pourtant chaton à l’époque, se souvenait de la jeune fille.
Il y a six ans de cela, le jeune Rusard, 32 ans tout juste, débarquait à Poudlard par la grande porte, avec sa valise pleine de chaînes et de menottes, son fouet à la ceinture, son grand imper marron en cuir tout neuf, et le tout petit mister Hyde dans la poche, sortant la tête et fermant ses yeux bleus pendant qu’il déclamait quelques « mîîî » de chaton.

Personne ne savait qu’il était cracmol, pas même les professeurs. Il s’était entendu sur ce point avec le directeur. Inévitablement, les adultes se demandaient qui était cet homme, de leur génération ou presque, qui n’avait jamais été à Poudlard avec eux et qui était pourtant un pur produit anglais. Certains avaient deviné la condition de cracmol du concierge, d’autres s’étaient fait une autre idée, du genre : il a été formé à Durmstrang. Pourquoi ne sortait-il jamais sa baguette ? Mais parce qu’il respectait le règlement de l’école : pas de sorts dans les couloirs ! Et le concierge séjournait tous les jours dans les couloirs ! Il avait passé juillet, août et toute sa première année à se familiariser à la géographie du château, à chercher les recoins les plus sombres, les cachettes les plus secrètes où pouvaient se cacher de maudits élèves turbulents ! Le petit chaton, se dandinant auprès de son maître, qu’il adulait déjà, reçut la même formation.

Lors de leur première et deuxième année à l’école, les deux comparses eurent à faire avec leurs premiers garnements. Arthur Weasley fut un des premiers à subir la colère d’Argus Rusard. La jeune Lennox, seize ans à l’époque, a été l’une des premières collées. Dix heures de retenue, elle et ses deux camarades de débauche ! Du moins, si la mémoire du concierge était bonne… Il faudrait qu’il consulte son livre, aux années 1970 et 1971…
Mister Hyde avait l’apparence d’un gentil chaton, mais les élèves comprirent très vite qu’il était un vrai délateur, et un vicieux, capable de faire son attendrissant pour griffer quelques secondes plus tard l’imprudent qui aurait la folie de se mettre à portée de ses pattes en lui susurrant : « oh le minou… » Lennox n’en avait-elle pas fait partie ? Il faudrait que mister Hyde vérifie dans son livre de comptes, aux années 1 et 2 de son règne.
Bref, Briannah leur rappelait à tous deux de bons souvenirs de punitions d’un côté, de peau arrachée de l’autre, mais ils n’avaient que peu d’affection pour la personne qui se tenait, bras croisés, à l’entrée du bureau. Rusard détestait Briannah en tant qu’élève mais il avait toujours beaucoup de respect pour les professeurs. Il pensait que vouloir enseigner à des têtes brûlées comme les adolescents étaient une perte de temps, mais aussi un acte très courageux, très noble. Les professeurs consacrait sa vie à des irrespectueux qui luer cracheraient à la figure sans hésiter. Il y avait une part d’héroïsme, de poésie. Exactement comme lui, les professeurs étaient embarqués dans la même galère.
Il écouta, d’un air contrarié mais sans rien dire, les paroles de son ex-élève, nouvelle collègue. Un intrus était entré dans son bureau ? Mais voilà qui était contraire à l’article quatre du règlement de l’école ! Et qui a essayé de voler un manuscrit ? Mais voilà un flagrant délit de triche et de falsification, contredisant l’article sept !
Pourquoi venir lui dire, cependant ? Il s’en doutait bien mais il lui laissa le soin de le formuler. Eh oui, l’ancienne fautive devenait victime et quémandait l’aide du concierge qu’elle avait insulté, il y a de cela six ans. Il ne put s’empêcher de le lui rappeler d’ailleurs.
« Bien entendu, professeur. Je vais vous aider immédiatement… content de voir qu’un « dragon psychorigide à couleur de bouse et sa sale bestiole galeuse » puisse tout de même servir à quelque chose. »
Il se leva de son siège et sortit du bureau, accompagné du chat qui suivit son maître en s’offrant le plaisir de lever bien haut la queue et de pschitter sur la professeur en passant, d’une façon gratuite et préventive.
Pendant qu’ils montaient les étages, le chat devant en éclaireur, Rusard questionna la jeune femme.
« La porte était-elle fermée ? un Alohomora suffisait-il à l’ouvrir ? Qui est au courant de votre manuscrit ? Et surtout : avez-vous prévu un contrôle cette semaine ? Car je pencherais pour une tentative de chercher les réponses à votre prochain devoir, où à votre prochain contrôle, ce genre de méfait est plus probable qu’un vol de manuscrit même pas traduit. Vu le public que nous avons… »
Il allait lui signaler méchamment qu’elle devrait avoir l’expérience des infractions au règlement, mais il se retint. Elle était professeur maintenant, et sa collègue, il ne devait pas l’oublier.
Le chat arriva avant eux sur le lieu du crime, dut attendre qu’on daigne lui ouvrir la porte, et se mit à chercher sitôt entré, slalomant entre les différentes feuilles, pour chercher des odeurs caractéristiques. Rusrad resta sur le seuil pour constater les dégâts.
« On ne peut pas dire qu’ils aient été discrets, ces sales fouineurs. Peut-être des Premières Années inexpérimentés dans la fouille ? Je les pendrais tous par les chevilles si on me laissait faire ! Ils ne recommenceraient pas de sitôt ! »
Il fallait cependant envisager des pistes plus sérieuses… Peeves !
« A moins que ce ne soit ce satané esprit frappeur ! Je parie que vous n’y avez pas pensé. Tout le monde oublie ce sale esprit, je suis le seul à me rendre compte du danger qu’il représente. »
Fort heureusement, Rusard avait bon espoir de faire fuir ce maudit Peeves avant la fin de l’année. Tous les concierges s’y étaient cassé les dents, mais lui réussirait !
« Avez-vous des soupçons ? Y a-t-il un ou des élèves qui vous en veulent ? »
*Il ne faut pas exclure une vengeance personnelle…*

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