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 Chaque chose est à sa place [PV EJ]

WIZARDHIBOUX
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Argus Rusard

Argus Rusard


Concierge
A un oeil sur vous !


▌Age : 46
▌Parchemins : 133
▌Points de Rp : 37
▌Initiation magique : 16/08/2011


Chaque chose est à sa place [PV EJ] _
MessageSujet: Chaque chose est à sa place [PV EJ]   
Chaque chose est à sa place [PV EJ] Icon_minitimeVen 22 Fév - 11:13

La rentrée commençait bien tôt. A peine le jour de l’An était-il fêté que le lendemain, 2 janvier donc, la rentrée des professeurs avait lieu. Ou plus précisément, la rentrée du personnel de Poudlard.

Rusard n’aimait pas quitter Poudlard. Il avait passé le jour de l’an avec madame Figg, ce qui n’avait pas beaucoup plu à mister Hyde. Trop de chats ! Trop de concurrents devant les radiateurs et la cheminée ! Trop de parasites qui empêchaient mister Hyde de rappeler à son maître qui était le centre de l’univers ! Lorsqu’ils redéposèrent leurs valises à Poudlard le 1er janvier au soir, tous deux soupirèrent de concert à la joie de revenir. Argus en était sûr : où qu’il aille, sa maison était ici. Quant à mister Hyde, le doute n’était pas permis, c’était la seule maison qu’il ait connu et il n’avait pas l’intention d’en connaître d’autres.

Il fallait le reconnaitre, malgré le travail, malgré les élèves turbulents et stupides qui désobéissaient, marchaient sur une innocente queue féline, étaient dehors après le couvre-feu, cachaient d’excellentes croquettes, dérangeaient pendant l’écriture du registre, dérangeaient pendant la sieste obligatoire du matin, de l’après-midi, du soir, en attendant la nuit, bref malgré ces quelques vicissitudes, le duo était heureux à Poudlard.

A peine arrivé au bureau le lendemain, les travaux commencèrent. Remettre les tableaux bien droits, faire une ronde de midi, chasser d’imprudentes souris, porter les cartons remplis de nouveaux livres pour la bibliothécaire, se lécher pour faire sa toilette complète, déblayer la neige, jouer avec la neige en s’enfuyant à chaque fois qu’elle s‘approche trop des moustaches, aider la prof de duel à mettre sa classe en ordre, donner des ordres aux elfes de maison, manger le mou que les elfes ont réservés… chacun des deux avaient leur liste.

Rusard jeta un œil sur la liste de miter Hyde, et l’échangea avec la sienne.

« Je te mettrais une croix chaque fois que tu auras accompli une de tes tâches. Comme ça, tu t’y retrouveras. » proposa-t-il.
Bref, ce deux janvier était chargé !

Toute la matinée et une partie de l’après-midi, Rusard et mister Hyde travaillèrent de concert. La journée fut pénible. Déblayer la neige fut le plus difficile pour Rusard, manger le mou fut le plus difficile pour le chat : les deux avaient failli en laisser ! S’encourageant mutuellement, ils finirent par terminer leur ouvrage.

Le concierge cocha les tâches accomplies par les deux complices. Le chat avait la queue dressée, la tête orientée vers son maître tout en marchant, écoutant son verdict.
« Les cartons… fait. Les souris… fait. Les tableaux… on va dire que c’est fait. Le mou… fait. Les elfes… fait… La neige… fait des deux côtés. La classe de duel… Il ne nous reste plus que cela. »

Les deux compères gravirent donc les escaliers les menant à la salle de duel. Depuis septembre, le cours était organisé par Emilie-Jane Montgomery. Argus avait à la fois un bon et un mauvais souvenir d’elle. Il ne l’a connu que lors de ses deux dernières années. Elle était déjà belle, fière, et agressive. Elle, Briannah Lennox et Perséphone Rosmerta avaient traités Rusard et mister Hyde de « dragon psychorigide à couleur de bouse et sa sale bestiole galeuse ». En fait, le concierge ne se souvenait plus si une d’elle avait prononcé cette phrase ou si chacune des trois à son tour ne l’avait pas complété. Quoiqu’il en soit, l’élève modèle prête à dénoncer quelques-uns de ses camarades s’était métamorphosée en meilleure amie de Lennox et consœur. Le jeune concierge n’avait pas aimé du tout ce revirement. Six ans après, la voici de retour à Poudlard, en professeur de duel…

Autant le dire : Rusard n’aimait pas cette matière, qui imposait de se servir d’une baguette, exactement comme la métamorphose ou les sortilèges. Cela renvoyait le concierge à sa condition de cracmol, de sans-baguette, qu’il n’avouait pas et dont très peu de gens étaient au courant. A vrai dire, personne à part le directeur ne savait qu’Argus n’avait aucun pouvoir magique.

A défaut d’apprécier la matière, le concierge aimait la méthode de la jeune fille. Il savait qu’elle était intransigeante envers les élèves, qu’elle n’aimait pas les chiffes molles, qu’elle était sévère et aimait remettre ces affreux boutonneux à leur vraie place : par terre ou en retenue. Une méthode que ne renierait pas miss Wildwind. Peut-être que miss Montgomery serait intéressée par son programme ?

Rusard frappa à la porte et attendit avant d’entrer. Il était mouillé à cause de son déblaiement de la neige et n’avait pas pris le temps de se changer. La nuit tombait vite en hiver en Ecosse… Même si parfois elle ne tombait pas du tout, à cause de sa proximité avec le cercle polaire.

« Professeur Montgomery ? Je suis venu vous aider à installer votre salle de classe. » Déclara le concierge, tandis que mister Hyde entrait sans cérémonie à la recherche de l’endroit le plus chaud et confortable de la salle. Le chat regarda un instant la jeune femme, gronda un peu pour signifier qu’il se rappelait d’elle et de son insulte.

Cela faisait étrange à Argus d’appeler « professeur » une de ses anciennes élèves, mais il fallait qu’il s’y fasse. Les adolescents grandissaient et devenaient adultes très vite. Lui-même n’avait que quatorze ans d’écart avec elle, ce qui, dans le monde sorcier où l’on pouvait vivre jusqu’à cent cinquante ans, n’était pas gigantesque.

Argus respectait les professeurs, même s’il ne les porte pas tous dans son cœur. Et il savait que la prof de duel avait des méthodes très proches des siennes. S’était-elle inspirée de Rusard ? Même méthode, presque même teinte de vêtements, dans un marron plus clair cependant. Une sorte d’hommage, ou une simple coïncidence ?

« Dites-moi ce que je dois faire pour mettre votre salle en place pour demain. » lui dit-il en enlevant son manteau trempé.
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MessageSujet: Re: Chaque chose est à sa place [PV EJ]   
Chaque chose est à sa place [PV EJ] Icon_minitimeMer 6 Mar - 12:25

La journée avait été longue, très longue. J’avais fait le tour de Pré-au-Lard et du chemin de Traverse pour trouver une paire de gant unique, mais il semblerait que les Anglais ne soient pas friand de ces objets magiques. J’avais poussé l’audace jusqu’à m’aventurer dans l’allée des Embrumes, me fichant un peu des conventions de la société. Je me fichais éperdument d’aller dans un endroit malfamé seule, sans être escorté d’un homme. De toute façon, pourquoi aurais-je besoin d’un homme pour me balader dans l’une des ruelles les plus dangereuses de l’Angleterre? J’étais une Auror doublé d’une duelliste hors-pair, je ne connaissais pas le danger et la peur...pourquoi m’encombrer d’un problème supplémentaire. Quoi que...si mon accompagnateur avait été Damon, j’aurais sans doute supporter un peu de compagnie. Enfin bref, tous ces mots inutiles pour vous dire que je n’avais pas été capable de trouver ma paire de gant magique. J’allais devoir les commander de la France directement! Poussant un soupire de découragement, je me suis diriger vers un hibou postal et j’ai payé le bon de commande. Avec ma chance de dragon, j’allais sans doute recevoir mon item dans un mois. J’ai serré les dents tout en essayant de ne pas démolir le visage de l’homme qui avait tenté de me séduire avec son haleine de merlan et je me suis décidé à retourner à Poudlard. La vue du château me fit figer. Je n’arrivais pas à croire que j’allais retourner dans cet endroit en tant que professeur! Lorsque j’étais une étudiante, mes propres professeurs me détestaient; j’avais toujours été une élève rebelle, mais brillante...chaotique et dangereuse combinaison. Le nombre de retenue que j’avais eu lors de ma scolarisation était d’ailleurs rentré dans les anales de l’école: Une étudiante ayant plus de 500 retenues en 7 ans! Qui était le fou qui avait dit que les jeunes femmes étaient plus sage que les garçons?


-Tient, il semblerait que quelqu’un ait perdu son temps à déblayer un chemin jusqu’au château, Dis-je calmement en empruntant le chemin susnommé.


Au moins, j’allais éviter de me jeter un sort de lévitation. Pas que c’est à proprement parler un effort gigantesque, mais parce que je voulais garder mes forces pour faire le ménage de ma future salle de classe. Souriant face à l’ironie de cette phrase, j’ai pénétré dans le château sans jeter un regard à l’un de mes collègues qui m’interpellait. Pourquoi prendrais-je le temps de bavarder avec lui alors que cette conversation ne m’apporterais qu’ennuis et désolation face à la stupidité humaine? En plus, je n’étais même pas certaine de connaitre son prénom ou la matière qu’il enseignait. Haussant les épaules, j’ai monté plusieurs escaliers magique et j’ai regardé le long couloir qui logeait ma salle de classe. Connaissant le plan des cours que mes étudiants allaient subir cette année, je me doutais bien que je n’allais pas être le professeur le plus aimé de cette école, mais je m’en foutais. J’enseignais ici simplement pour être plus près des nouveaux mages noirs qui apparaissaient et pour être dans le feu de l’action. J’ai poussé la porte de ma classe et, instantanément, plusieurs dizaines de bougies se sont illuminées, comme pour me montré qu’elles me reconnaissaient.


-But why am I become a teacher? Me plaignis-je tout en me rendant compte de l’officialité de la chose.


J’allais vraiment enseigner à des morveux illettrés? C’est mes parents qui tomberaient sous le choc d’une telle nouvelle! Peut-être y verraient-ils en moi une lueur d’espoir dans le torrent de violence que j’étais? J’ai poussé un soupire et je me suis assise sur l’un des bureau. Je commençais à regretter mon choix de revenir en Angleterre; je n’y connaissais plus personne. Je ne savais même pas si mes deux anciennes meilleures amies étaient encore vivantes! Soupirant de désespoir, j’ai regarder l’heure tout en me disant que le ménage ne se ferait pas en restant statufié ainsi. Je pourrais sans doute utiliser ma baguette magique...mais je n’avais jamais su utiliser convenablement un sortilège ménager. Même mon éducation en France n’avait pas réussie à m’inculper ces sortilèges inutiles. Une voix me fit sursauter. Je me suis tournée à toute vitesse, baguette pointer sur le nouveau venu.


-Oh, you’re mister Filch. You walk as quietly as I remember, Dis-je en français tout en portant une main contre mon coeur.


Effectivement, dans mes souvenirs, Rusard marchait en trainant les pieds, pas aussi silencieusement. Le nombre de fois où il m’avait poursuivit dans tout l’enceinte de Poudlard, je pensais connaitre les moindres bruits du concierge par cœur. Le bruit que la boule de poile fit en me regardant me fit sourciller. Cette satanée bestiole était encore vivante? Je croyais avoir réussit à l’enterrer vivant lors de ma dernière nuit à Poudlard! Elle était donc immortelle cette créature? Mon regard croisa alors celui du concierge; sans doute le pire ennemi que j’avais eu lorsque j’étais encore une jeune étudiante. Maintenant, nous étions collègues et je ne savais plus comment réagir. Dans le fond, je savais que Rusard et moi étions deux personnes à la mentalité semblable; dure envers autrui, fier, combatif, respectueux du règlement.... Violents.


-Demain? Ah oui, mon cours. Désolé Argus, je dois encore m’entrer dans le crâne que je vais faire la classe à de jeunes idiots bon qu’à faire des pitreries avec une baguette magique, Dis-je sombrement en me relevant du bureau.


J’ai fait le tour de la classe tout en essayant de visualisé ce que je voulais comme classe et en essayant d’oublier que je venais d’appeler le concierge par son prénom sans trop de problème. Serait-ce possible d’apprécier l’homme que j’avais tant détesté auparavant? J’ai poussé un imperceptible soupire tout en essayant de ne pas prêter attention à cette pensée. C’était la première fois que je le recroisais depuis ma flamboyante adolescence, je n’allais pas commencer à me poser des questions sur mon amitié possible ou non avec cet homme. Un détail me fit tiquer.


- Don’t call me Professeur Montgomery...Appelez moi Emilie ou Ej, mais pas par mon titre...c’est trop....officiel. Si c’est trop familier pour vous, appelez moi simplement Montgomery. Je suis un soldat, pas une de ces stupides professeur mièvre et dégoulinant d’amour pour ces enfants, d’accord? Demandais-je en frottant mes mains ensembles pour les réchauffer.
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MessageSujet: Re: Chaque chose est à sa place [PV EJ]   
Chaque chose est à sa place [PV EJ] Icon_minitimeDim 10 Mar - 11:19

Aussi silencieux que son compagnon félin, à croire qu’ils portaient tous deux des coussinets, le concierge surprit la jeune professeur qui dégaina sa baguette en une seconde pour la pointer sur lui. Il avait pourtant toqué à la porte. Mais elle n’avait manifestement pas entendu. Elle se mit à lui parler en français, langue que Rusard ne comprenait goutte et rangea son arme. Le concierge se souvenait de l’accent français de la jeune femme à l’époque où elle était à Poudlard. Il se souvenait bien d’autres choses la concernant d’ailleurs.

Son prédécesseur l’avait puni régulièrement, ainsi que bon nombre de professeurs. Elle était rebelle à l’enseignement, aux règlements, qu’elle prenait un malin plaisir à enfreindre. Sa violence envers ses camarades lui fit risquer le renvoi de nombreuses fois. Lors de ses sixièmes et septièmes années, elle s’était liée d’amitié à deux autres filles, ce qui l’avait un peu calmé, mais Rusard avait pris le relais du précédent concierge, et il était plus strict encore que son prédécesseur, ce qui fit que la moyenne de retenues de la jeune fille n’évoluèrent pas trop.

Le dernier jour, Rusard se souvint que mister Hyde, jeune chaton inexpérimenté de deux ans, était revenu couvert de terre et l’œil mauvais. Rusard avait couru vers la gare pour se venger de Montgomery, mais le train partait lorsqu’il arrivait, et il ne put, impuissant, qu’assister à son départ sous le salut presque ému des Première Années. Que s’imaginaient-ils, ces sales morveux ? Qu’il était venu leur dire au revoir ? Pour éviter de faire croire à ce genre de mièvreries, Rusard évitait soigneusement la gare le jour du départ de ce Poudlard-Express maudit.

Aux sages paroles de la jeune femme sur les jeunes idiots qui étaient ses élèves, le concierge la suivait à cent pour cent et ne se priva pas de le lui dire :

« Je suis tout à fait d’accord, professeur. Ce ne sont que des pitres, et j’irais même plus loin :pour eux, une baguette n’est qu’un jouet de plus, tout juste bon à épater leurs amis par des petits tours puérils et à faire des feux d’artifice. Tenter d’apprendre quelque chose à ce troupeau d’ânes équivaudrait à tenter d’apprendre à voler à un poisson. »

Au mot de « poisson », mister Hyde, qui avait trouvé un endroit confortable dans un coin de la pièce près d’une chaude bougie réconfortante, leva les oreilles et leva la tête de sa patte pour regarder autour de lui. Où était-il, ce poisson, qu’il puisse l’attraper, le mordiller, lui courir après pendant qu’il sautille, et le dévorer ensuite ? Ne voyant rien venir, il fit ses griffes sur son tapis de duel puis se rendormit.

La jeune fille l’avait appelé par son prénom et le concierge ne s’en formalisa pas. En tant que collègue, elle en avait parfaitement le droit, même si beaucoup l’appelaient « monsieur Rusard ». Elle-même lui proposa de l’appeler par son prénom, en lui rappelant qu’elle est un soldat.

« Si je vous appelais Montgomery, cela me rappellerait trop l’époque où vous étiez une élève. Cela vous rappellerait vos deux dernières années ici… et moi mes deux premières.» rappela Rusard. Combien de fois avait-il hurlé ce nom durant ces vingt-quatre mois où il était censé prendre ses marques ? Au moins grâce à elle et à ses deux amies, il avait pu se familiariser au règlement de l’école de sorcellerie très vite ! Une formation rapide, en quelque sorte.
Mister Hyde crut bon de rappeler qu’il n’avait pas oublié non plus ses années, en miaulant d’approbation. Puis, il reprit sa position de félin dormeur, le menton sur ses pattes avant croisées, les pattes arrières cachées sous lui, en boule, dans une position que seul un chat pouvait juger confortable.

« D’ordinaire, j’appelle les professeurs « professeur ». Vous appeler par votre prénom serait un peu trop familier, c’est vrai, mais vous n’aimeriez pas « mademoiselle » non plus, je suppose ? Alors va pour Emilie. »

Mister Hyde commençait à rêver : un poisson se présentait devant lui avec la tête de Montgomery, et il entreprenait de la faire passer de sa patte avant droite à sa patte avant gauche avant de l’éventrer. Quel rêve agréable ! Quel plaisir d’être né chat !

« J’ai appris que vous aviez une formation d’auror. J’avoue sincèrement que je n’aurais pourtant pas donné cher de votre peau lorsque vous étiez sorti de Poudlard, vu votre mépris des règlements à l’époque. Comment avez-vous fait pour vous accommoder de ceux des aurors ? »

Rusard commençait à s’intéresser à son ancienne bête noire. Il était rare de trouver quelqu’un qui avait exactement les mêmes opinions que lui en matière d’éducation…

« Je trouve qu’être professeur est, à la base, très courageux, mais il est vrai que plusieurs d’entre eux sont dégoulinant d’amour pour cette marmaille méprisable. Vous savez qui Ils sont, ou plutôt ce qu’ils sont, vous n’avez aucune illusion pour vos collègues, et pourtant vous avez décidé d’enseigner… Je n’ai pas honte de dire que je vous admire pour ça."

Le concierge était parfaitement sincère. Celui qui ne penserait pas comme lui serait un sot. Mister Hyde, lui, ne pensait pas grand-chose en ce moment, vu qu’en songe il avait fini par enterrer la tête de Montgomery avec un plaisir onirique évident.

Cette déclaration ne l’aidait pas à placer les tables ou les tapis de duel. Que voulait-elle exactement ? Une salle de classe ordinaire ? Une salle de duel sans aucune table ? Un mélange des deux ?

« Que dois-je installer ? » lui demanda-t-il, plus détendu que quand il était entré.
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