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| WIZARD | HIBOUX |
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Who are You ? Maewan Bretian
Élève ♣ Préfet Poufsouffle - 7ème année ▌Age : 33 ▌Parchemins : 436 ▌Points de Rp : 164 ▌Initiation magique : 25/12/2012 | Sujet: Envie meurtrière en plein air. [PV Rodolphus Lestrange] Mer 6 Mar - 12:18 | |
| 12 Février 1977 Plusieurs jours étaient passés depuis ça. Depuis qu'il était devenu évident que nos actes ont toujours des conséquences malgré ce que je pensais encore il y a peu. Sans entrer dans les détails, disons simplement que je n'oublierais jamais le 28 janvier. Ce jour restera une date maudite dans ma mémoire jusqu'à ma mort je pense. Depuis je passais assez régulièrement d'un état morose à une rage sans nom. En premier lieu, ma colère était dirigé vers celui qui m'avait mené dans ce traquenard. Je ne citerais pas son nom, mais j'avais confiance en cette personne et avoir osé me mener dans ce piège ne resterait pas impuni. Pour cela j'avais une solution, un livre de la réserve. J'avais réussi par dieu seul sait quel miracle, à y entrer dans me faire prendre, à trouver un livre dans un rayonnage d'ouvrage peu recommandable, et à repartir pour rejoindre mon dortoir. Tout cela, ni vu ni connu je t'embrouille. Pourtant ma salle commune n'était pas vraiment le lieu idéal, entre les murmures de certains, les regards curieux d'autres, la pitiés des derniers, j'allais devenir fou. Enfin... plus fou que je n'étais en train de le devenir déjà. Je ne m'étais jamais connu cette rage avant, pas au point de repousser certains de mes proches, pas violemment non, mais je mettais de la distance entre eux et moi. Si je leur apportais le malheur à eux aussi vous imaginez ? Donc devant eux, j'étais presque comme avant, un peu moins joyeux mais masquant bien les apparences, même si aucun d'eux n'était assez idiot pour croire à cela, derrière leur dos je m’intéressait de plus prêt à ces sorts dis dangereux, même aux impardonnables, pour travailler sur un sort que j'avais en tête depuis quelques jours. C'était tellement tordu et... sadique... oui c'est le mot, que je ne revenais pas du fait que l'idée soit de moi. Mais avant de passer aux tests sur cobaye vivant, il fallait travailler le sort plus en profondeur. Voir la nature même de ce qu'il serait, son essence, son action sur le long terme. Et peut être un contre sort pour, éventuellement, sauver la victime. Même si je doutais du fait de vouloir donner sa chance à ma cible. Enfin... ça c'était l'idée sous le coups de la colère. Pour l'instant j'étais dans une phase nostalgique et cherchait le calme et ce que j'allais faire par la suite. Pour mieux y réfléchir je devais être seul et de fait, je me rendais dans le parc du château. Le temps était clément, le soleil se cachait de temps à autre derrière les nuages mais il ne pleuvait pas au moins. Sur l'épaule, je portais mon sac de cours contenant quelques livres. L'un d'eux était le livre de la réserve, remplis de feuilles avec quelques annotation de ma part, l'autre un album photo, le suivant mon cahier de musique et enfin le dernier, un bloc à dessin. C'était ce dernier que je sortais, coucher sur papier toutes ces idées étranges et malsaine était le seul moyen de me détendre et ne pas me laisser abattre. Au début ce n'était qu'un trait. Puis deux, et une multitude. Je ne me préoccupais pas du vent qui était plus frai que ne pouvait le supporter mes bras exposé, je ne portait en effet qu'un t-shirt sans manche. La morsure du froid ne m'avait pas vraiment frappé tout à l'heure. Maintenant non plus en y pensant. Le portrait fini était... ressemblant et sombre. C'était moi, dans un paysage sombre et un ciel parsemé de corbeau. La coupe de cheveux n'était pas la même, sur la feuille j'arborais une sorte de crête, de quoi faire hurler de rire Abi si un jour je venais comme cela. L'air mélancolique était là, pourtant dans le regard nous lisions de la détermination et de la haine. Le Maewan sur papier semblait avoir décidé de ses actes, ce qui n'était pas encore mon cas. Je cherchais encore quelle réaction adopté. Faire honneur aux miens en me redressant et faisant preuve de lucidité, devenir enfin un adulte responsable. Rien qu'en y pensant, un frisson me parcourait le long de la colonne vertébrale. Le second choix, suivre la voix doucereuse qui, dans un coin de mon être qui s'était éveillé peu de temps avant la date maudite, me soufflait d'écouter le monstre pour une fois. Qu'après je me sentirais beaucoup mieux. Comme si rien ne c'était passé. Cette voix je la faisais taire depuis le début, mais elle était tenace la bougresse ! Chaque jour elle revenait, un peu plus fort et persuasive. De plus en plus charmeuse. Plongé dans mes pensées, je n'entendais pas que quelqu'un arrivait. Pas même quand une branche craquait et aurait pût me mettre en alerte et attraper ma baguette. Aucun doute pourtant, quand je verrais la personne, se serait mon premier réflexe. |
| | | Who are You ? Rodolphus Lestrange
Élève ♣ Serpentard - 6ème année ▌Age : 30 ▌Parchemins : 72 ▌Points de Rp : 19 ▌Initiation magique : 04/03/2013 | Sujet: Re: Envie meurtrière en plein air. [PV Rodolphus Lestrange] Jeu 7 Mar - 5:20 | |
| Rodolphus marchait, seul en direction du parc. Il avait laissé tombé ses amis pour avoir un petit moment de solitude. Il aimait bien être seul de temps en temps, cela lui permettait de penser. Et puis il n'avait pas besoin des autres pour forcément se sentir bien ! Certes, il aimait bien avoir sa cours de Serpentard avec lui, mais parfois il trouvait certains membres son entourage quelque peu stupides. Non c'est vrai, les filles qui gloussaient c'était bien cinq minutes mais c'était surtout ennuyeux. Et il avait l'impression à chaque fois qu'il restait avec certaines de ces personnes, que son QI atteignait celui d'une huitre. C'est pour cela qu'il aimait ces petits moments où il marchait seul sans but, cela lui permettait de se couper un peu du monde et de penser. D'avoir des pensées noires sur le monde qui l'entourait. Le plus souvent, Rod reflechissait sur son avenir, il n'avait que seize ans, mais les ASPICS seraient vite là et après où irait-il ? Il savait déjà qu'il voulait rejoindre les rangs de Lord Voldemort, mais il fallait bien qu'il trouve une autre activité à côté, quelque chose qui lui servirait de couverture et une couverture utile pour le Seigneur des Ténèbres. Il pourrait travailler au ministère, et ainsi récolter des informations. En tous les cas, jamais il ne retournerait à Poudlard ! Pour se coltiner Dumbledore comme collègue non merci. Rodolphus soupçonnait le vieillard de devenir sénile. Ouais, bien inutile à la société sorcière celui là. Selon lui, le directeur ne valait pas mieux que ces petits nés moldus qu'il protégeait et acceptait dans son école.
Quand il y reflechissait, Rodolphus se disait qu'il avait raison de soutenir les idées de ce nouveau mage noir. Il ne les trouvait pas dénuées de sens au contraire. C'était des idées novatrices qui allaient changer le cours des choses ! Oui, grâce à Voldemort la société sorcière pourrait connaître son apogée, et il ne comprenait pas pourquoi certains s'opposaient à cette politique, c'était comme... nier sa nature de sorcier ! Pfff et les protecteurs des nés moldus qui disaient que c'était pur folie de vouloir fonder un ordre sorcier pur étaient stupides ! Ils restaient comme des imbéciles sur leur vieilles traditions qui clamaient la tolérence ! Tolérence... c'était un terme bien idiot. Quelle intolérence y avait-il dans le fait de se débarasser des nés moldus ? Aucune, c'était tou à fait normal, après tout, les moldus avaient fait de même avec les sorciers au Moyen-âge et enfin ils avaient la possibilité de se venger. Possibilité que certains daignaient à saisir ! Rodolphus les trouvait pathétique. Un jour ils comprendront que Voldemort était celui qu'il fallait suivre et ceux qui refuseront de comprendre cela... mourront comme tous les autres qui auront osé s'opposer à lui. Voldemort était l'avenir et cela, le Serpentard l'avait compris et avait décidé d'embrasser cet avenir, comme on embrassait une carrière... comme on embrassait une femme si tentante et pourtant dangereuse si on ne savait pas comment l'aborder. Mais Rod n'avait pas se problème, il avait su saisir sa chance. Il adoptait complétement les idées de cet homme et comptait le servir jusqu'à sa mort. Certains appelaient cela du fanatisme suicidaire ! Ceux qui parlaient de la sorte n'étaient autres que des traitre à leur sang sans cervelle et des Sang de Bourbes impurs ! Ils traitaient Voldemort comme s'il s'agissait d'un... futur déchet de la société et de l'Histoire sorcière ! Ils ne comprenaient rien !
Sans s'en rendre compte, trop plongé dans ses pensées, Rodolphus avait atteint le parc. Il était quasiment vide. Il y avait quelques élèves ici et là, certains faisaient leurs devoirs dans l'herbe d'autres faisaient des batailles explosives. Ils étaient tellement innocents et naïfs que c'en était pathétique ! Ne savaient-ils donc pas que le monde dehors regorgeait de nouvelles formes de magie à découvrir... la magie noire par exemple ! Rod s'y interessait de près, mais malheureusement, les livres de la bibliothèque le renseignaient peu sur le sujet, même ceux de la réserve étaient parfois trop gentillets pour lui. Enfin il n'allait pas se plaindre il aurait tout le temps de s'interesser à la magie noire une fois sorti de l'école. Pour le moment, il se contentait de ses cours, ce qui était pas plus mal.
Marchant les mains des les poches de sa robe de sorcier, le regard hautain et méprisant quand il croisait d'autres élèves, Rodolphus poursuivit sa route vers un endroit moins fréquenté du parc. Il n'avait pas envie de se mêler à la la foule. Pas aujourd'hui. C'est alors qu'il vit non loin de lui, Maewan Bretian, assis dans l'herbe dessinant. Rod eut un sourire machiavélique, ce Poufsouffle avait osé se moquer de Lord Voldemort et bien sûr cela devant tout le monde. Quel idiot ! Le Serpentard le détestait au plus au point depuis cet évènement, c'était devenu chronique. Il ne pouvait plus le voir en peinture. C'était étrange parce qu'avant c'était comme si Maewan n'éxistait pas et là il était devenu un de ses pires ennemis en l'espace de quelques minutes. L'ambiance était toujours électrique entre eux et Rodolphus ne lui avait toujours pas fait payer son affront. Le Poufsouffle était seul... ils étaient seuls, loin des regards indiscrets... Le contexte parfait pour assouvir un besoin de vengeance n'est-ce pas ?
Le Serpentard s'approcha alors de son ennemi, oh il ne voulait pas réellement le prendre par surprise, c'était plus amusant quand l'adversaire était au sommet de sa forme, Rod avait moins l'impression de perdre son temps. Et pourtant Maewan ne semblait pas aller bien... parfait ! Ainsi, Rod aurait d'autant plus de plaisir à l'enfoncer, à le pousser au bord du précipice. Cela allait être amusant ! Toujours un sourire mauvais flottant sur les lèvres, le Serpentard, arrivé à environ un mètre du Poufsouffle, sortit sa baguette. Il ne voulait pas lui jeter de sortilège tout de suite, il attendait que ce soit l'autre qui le fasse, ainsi s'ils se faisaient prendre, ce ne serait pas lui qui serait accusé. Ah ! Vive la fourberie des Serpentards ! Rod se contenta d'une remarque acerbe et provoquante.
"Tiens Bretian, seul et grelottant tel un oisillon tombé du nid. Alors tu t'es enfin décidé a laisser tomber tes stupides amis, traitres à leur sang ou bien sang de bourbes ? Il faut dire qu'ils sont également bien entourés avec un imbécile immature comme toi."
Bon d'accord c'était petit ! Mais c'était la vérité, et rien n'était plus blessant qu'une cérité brute, lancée à froid comme il venait de le faire . Immature, cela était vrai, il ne pensait qu'à s'amuser et à faire le malin. Ah il était beau le jeune coq ! Il ne reflechissait jamais aux conséquences de ses actes ! Et bien Rod allait lui donner une leçon, peut-être qu'après cela, Maewan baissera les yeux devant ceux qui lui étaient supérieurs. Oh oui ! Rodolphus donnerait n'importe quoi pour le voir ramper à ses pieds. Le Serpentard leva sa baguette près à se défendre au cas où... il connaissait assez bien Maewan en tant qu'ennemi pour savoir qu'il n'était pas mauvais en duel, mais Rod était meilleur, il était toujours meilleur de toutes façons. |
| | | Who are You ? Maewan Bretian
Élève ♣ Préfet Poufsouffle - 7ème année ▌Age : 33 ▌Parchemins : 436 ▌Points de Rp : 164 ▌Initiation magique : 25/12/2012 | Sujet: Re: Envie meurtrière en plein air. [PV Rodolphus Lestrange] Jeu 7 Mar - 8:49 | |
| "Tiens Bretian, seul et grelottant tel un oisillon tombé du nid. Alors tu t'es enfin décidé a laisser tomber tes stupides amis, traîtres à leur sang ou bien sang de bourbes ? Il faut dire qu'ils sont également bien entourés avec un imbécile immature comme toi."
Avant même de relever la tête, je savais qui se trouvais en face de moi. Il n'y avait qu'une personne qui pouvait me provoquer de la sorte, cette personne d'ailleurs, ne me prêtait attention que depuis l'épisode du bar. Oui, c'était l'un des futurs larbin de Voldemort. Autant dire que la nouvelle, comme quoi j'avais insulté son cher et tendre maître, n'avait pas vraiment été digéré par ce dernier. Sa phrase avait sans doute pour but de provoquer la colère en moi, pourtant au lieu de cela, se fût un rire sarcastique qui quittait mes lèvres. Il pensait m'atteindre avec ça ? Il n'y a pas que le corps des serpents qui soit au ras du sol dans ce cas là, leur intelligence aussi.
« Tu sais que tu n'es guère plus mature que moi Lestrange ? La première des intelligences serait de ne pas faire remarquer à un autre son immaturité. Enfin, on ne peut t'en vouloir, la stupidité doit être dans tes gênes. »
Je n'avais pas relevé les remarques sur le statut de sang, il n'en valait pas la peine et était une cause perdue comme bon nombre des siens. Par respect pour Cassie, je ne les mettaient pas tous dans le même panier, car elle était différente. Mais les autres semblaient engagé dans un concours destiné à élire le roi des idiots. La concurrence était d'ailleurs rude.
Entre ceux qui méprisaient les né-moldus, les sangs-mêlé. Ceux qui suivaient juste pour la forme et être du côté des « forts » mais qui fonçaient dans le mur.. nous étions vraiment bien lotit à Poudlard et les tensions ne faisaient que monter de plus en plus. Bientôt il y aurait sans doute deux camps clairement prononcés, les pro-mangemorts/Voldemort et les anti. Pour le moment tout était encore flou, très peu de personne se prononçait de façon claire et définie dans l'école. Il y en avait, mais beaucoup avaient encore peur de dire dans quel camp ils étaient. Je n'étais bien sure pas de ceux-là, je ne l'étais déjà pas avant, mais alors maintenant... Maintenant encore moi, parce que le pire des fléaux brûlait en moi, le désir de vengeance.
Depuis toujours on m'avait dit de savoir pardonner, ne jamais éprouver aucune rancune envers qui que ce soit, même si j'avais toutes les raisons du monde. Attentif à cette consigne, j'avais toujours agis en conséquence. Quand je m'étais battu avec cette bande de garçons moldus, j'avais pardonné ces derniers. Pour l'histoire de mon ex, un moldu lui aussi, j'avais pardonné les responsables, après leur avoir éclaté la tête contre un mur certes, mais j'avais pardonné ensuite. De même quand cette institutrice stupide m'avait descendu en flèche, uniquement parce qu'elle ne m'aimait pas. En y pensant d'ailleurs... je crois que je m'étais vengé contre elle, ses cheveux avaient subitement virés au vert. Alors à moins qu'un autre sorcier se soit trouvé dans la salle, se serait peu probable.
Avec une lenteur agaçante, je posais sur le côté mon carnet à dessin, prêt de mon sac. Le dos contre l'arbre, j'attrapais ma baguette dans ma main droit et fixait Lestrange. Je n'avais pas envie d'attaquer en premier, sinon le risque de renvoie ou simplement de sanction serait pour ma poire. Mais en même temps, j'en crevais d'envie. Après tout, ce fils de goule était le fiancé de Bellatrix d'après les rumeurs et lui refaire le portait serait un bon exutoire.
« Enfin... Je suppose que tu n'es pas venu parler de nos intelligences respectives. Viens en au fait, soit un homme pour une fois et agi autrement que comme une vipère qui se glisse l'air de rien dans le lit de sa victime. Enfin, peut être n'es-tu capable que d'obéir aux ordres de ton maître. D'ailleurs je me posais une question... Qu'est-ce que ça fait d'avoir un destin de servitude ? De s'abaisser au rang d'un elfe de maison ? »
Mon sourire en fin de phrase était un mélange de sarcasme et de moquerie. Il n'y avait rien de pire pour un sang-pur que d'être comparé à un elfe, qui pour bon nombre d'entre eux ne sont que des déchets, alors que leur magie est impressionnante. J'espérais le voir s'énerver, le voir jeter un sort, pour que je puisse y répondre et me défouler sur son visage. Sa gueule d'ange. Non mais... qu'est-ce qu'ils avaient tous à être dans le mauvais camps ces bons partit masculin ? |
| | | Who are You ? Rodolphus Lestrange
Élève ♣ Serpentard - 6ème année ▌Age : 30 ▌Parchemins : 72 ▌Points de Rp : 19 ▌Initiation magique : 04/03/2013 | Sujet: Re: Envie meurtrière en plein air. [PV Rodolphus Lestrange] Jeu 7 Mar - 12:35 | |
| Rodolphus ne bougea pas tandis que Maewan riait. Cela l'agaça, il avait espéré que sa réplique l'eut inquiéter plus que cela. Enfin, mieux valait le laisser s'amuser, il allait sûrement pleurer dans quelques minutes. Le Serpentard retint un sourire. Ne voulant pas que celui-ci permette à son adversaire d'anticiper ses gestes. Un duel de sorcier, c'était comme une partie et de poker, il fallait la jouer au bluff et au visage impassible. Et à ce petit jeu, Rod était plutôt bon. Et il n'était pas un futur mangemort pour rien. Alors il laissa le poufsouffle rire tant qu'il le pouvait. Il pouvait penser ce qu'il voulait, Rodolphus s'en fichait complétement, il ne vivait pas pour lui plaire et heureusement d'ailleurs ! Mais il avait tellement envie de lui faire ravaler son sourire et son assurance ! Enfin chaque chose en son temps, quelque chose lui disait que Maewan allait bientôt lui donner une occasion de se défouler. Avec lui il n'était jamais déçu, cela finissait toujours en cacahuettes entre eux deux. C'était toujours comme ça. Peu importe comment cela commençait, cela se terminait toujours par un duel. Oui c'était explosif, mais cela l'avait toujours été. Entre pires ennemis c'était comme cela que ça fonctionnait et il n'y avait pas d'autres options, c'était le rabaisser ou se faire rabaisser. Rodolphus n'avait pas peur de Maewan, maintenant il le connaissait, c'était étrange d'ailleurs comment on finissait par connaître son ennemi alors que c'était sûrement la personne qu'on ne souhaitait pas spécialement connaître ou apprécier.
« Tu sais que tu n'es guère plus mature que moi Lestrange ? La première des intelligences serait de ne pas faire remarquer à un autre son immaturité. Enfin, on ne peut t'en vouloir, la stupidité doit être dans tes gênes. »
Que dire ce cette réplique ? Retour à l'envoyeur... c'était un peu cela, il avait rit de son sarcasme mais lui même ne valait pas mieux, il faisait la même chose. Rodolphus ne laissa pas prendre à cette provocation. Il savait ce que cherchait à faire son adversaire : probablement la même chose que lui, le provoquer afin que ce soit lui qui engage le duel. Mais Maewan n'avait pas de chance sur ce coup, Rodolphus n'était pas vraiment susceptible, on pouvait l'insulter de tous les noms, il savait toujours comment répliquer et vu qu'il ne portait pas le Poufsouffle dans son coeur, il se fichait complétement de ce qu'il pouvait penser de lui. D'autant plus que Rodolphus était plutôt d'un naturel calme. Dommage pour lui ! Rod ne reveleva pas la remarque et se contenta de pouffer de rire. Si lui il était stupide alors Maewan devait être une méduse 90% d'eau et pas de cerveau, complétement dirigé par son instinct, mais cela s'averrait exacte puisqu'il était incapable d'agir en adulte. Pauvre garçon il était vraiment un cas désespéré. Rodolphus se moquait de lui intérieurement, mais ne préférait rien dire, surtout que Maewan continua sur sa lancé
« Enfin... Je suppose que tu n'es pas venu parler de nos intelligences respectives. Viens en au fait, soit un homme pour une fois et agi autrement que comme une vipère qui se glisse l'air de rien dans le lit de sa victime. Enfin, peut être n'es-tu capable que d'obéir aux ordres de ton maître. D'ailleurs je me posais une question... Qu'est-ce que ça fait d'avoir un destin de servitude ? De s'abaisser au rang d'un elfe de maison ? »
Cela coupa net, la moquerie intérieure à laquelle le serpentard était en train de s'adonner. Il venait de prendre une douche froide. Il avait insulté son maître et maintenant il s'en prenait aux mangemorts ?! Cela n'allait pas se passer comme cela. Rodolphus avait continué d'espérer que le jeune homme changerait son comportement qu'il comprennait qu'il ne fallait pas s'engager sur ce terrain, mais apparemment Maewan n'avait toujours pas compris, et bien il était temps de lui comprendre ! Le comparer à un elfe de maison ! Mais s'il savait, ce n'était pas du tout la même chose ! Il fallait tout de même qu'il le sache !
"Ce n'est pas de la servitude !" Cracha t-il "Un elfe de maison n'apprends rien auprès de ses maîtres, il ne fait qu'obéir aux ordres ! Mais le Seigneur des Ténèbres lui nous apprends la magie noire, imagine toutes sortes de sortilèges auxquelles tu n'aurais jamais penser ! Avec lui tu peux repousser tes limites... moi c'est ce que je vois là dedans. Je ne suis pas un serviteur... je suis un apprenti et un défenseur de ses idées, de mes idées !"
Il était sincère ! Et puis même si cela était de la servitude il était fier de le faire, car il défendait son point de vue, ses idées à lui ! Maewan ne pouvait pas critiquer ce fait ! Cela s'appelait la liberté d'expression. Au moins il avait un but dans la vie alors que Maewan continuait à faire l'enfant, ne pensant qu'à l'instant présent ! Il croyait peut-être que c'était en restant assis là à dessiner qu'il allait devenir quelqu'un un homme. Il lui demandait d'être un homme. Mais comparé à lui, Rodolphus l'était déjà, il avait déjà un avenir et des idées à défendre, une fiancé. Rod avait repris son calme et son assurance, penser ainsi l'avait aidé, il avait craché ce qu'il pensait, c'était exorcisant !
"Tu peux penser ce que tu veux" Répondit le serpentard "De toutes façons on ne compte pas t'accepter parmi les nôtres alors ce que tu penses, je m'en fiche royalement ! Car moi, vois-tu, je sais qui je suis au fond, je sais ce que je veux faire de ma vie, je sais quelles idées défendre. J'ai une fiancé, un avenir qui m'attends, un avenir que j'ai choisi... toi tu n'as rien Bretian, rien à part ton foutu carnet à dessin, tes amis que tu abandonnes et tes doutes sur qui tu es vraiment !"
Rodolphus n'avait pas dit cela d'un ton précipité, au contraire il l'avait dit très disctinctement, pour que chaque mots atteigne son sens, et pour que chaque sens atteigne Maewan de plein fouet, et cela tel le sifflement du cobra dans l'oreille, Le chuchotemment de la hâche à l'oreille d'un condamné à mort, il voulait que ses dires aient le même effet. Ne pas exister, n'être qu'une loque humaine c'était ce à quoi était condamné le Poufsouffle ! Un mangemort lui, avait toujours un avenir, une existence à travers son maître, une existence à travers ses victimes. A présent Rod regardait Maewan, un sourire arrogant et satisfait sur le visage et la baguette levée, il s'attendait à tout moment à recevoir un sortilège... ou bien une réplique. En tous les cas, le Poufsouffle allait se défendre et Rodolphus savait, par expérience, qu'il se défendait plutôt bien ! |
| | | Who are You ? Maewan Bretian
Élève ♣ Préfet Poufsouffle - 7ème année ▌Age : 33 ▌Parchemins : 436 ▌Points de Rp : 164 ▌Initiation magique : 25/12/2012 | Sujet: Re: Envie meurtrière en plein air. [PV Rodolphus Lestrange] Jeu 7 Mar - 13:08 | |
| "Ce n'est pas de la servitude !" Cracha t-il "Un elfe de maison n'apprends rien auprès de ses maîtres, il ne fait qu'obéir aux ordres ! Mais le Seigneur des Ténèbres lui nous apprends la magie noire, imagine toutes sortes de sortilèges auxquelles tu n'aurais jamais penser ! Avec lui tu peux repousser tes limites... moi c'est ce que je vois là dedans. Je ne suis pas un serviteur... je suis un apprenti et un défenseur de ses idées, de mes idées !"
Que c'est beau la naïveté. Franchement à ce stade et si je n'étais pas si remonté contre les mangemorts, il aurait presque réussi à me convaincre. Je dis bien presque. Mais s'il ne voit pas les similitudes entre sa future situation et celle des elfes, je n'allais pas tenter de le convaincre, il était d'avance destiné à Azkaban, dès qu'il se ferait attraper. S'il voulait ça comme avenir, grand bien lui fasse, je ne le retiendrai pas.
"Tu peux penser ce que tu veux" Répondit le serpentard "De toutes façons on ne compte pas t'accepter parmi les nôtres alors ce que tu penses, je m'en fiche royalement ! Car moi, vois-tu, je sais qui je suis au fond, je sais ce que je veux faire de ma vie, je sais quelles idées défendre. J'ai une fiancé, un avenir qui m'attends, un avenir que j'ai choisi... toi tu n'as rien Bretian, rien à part ton foutu carnet à dessin, tes amis que tu abandonnes et tes doutes sur qui tu es vraiment !"
Là franchement, j’éclatais de rire au début de la phrase. Comme si j'avais l'intention de les rejoindre un jour. Pourtant, je me renfrognais à la suite de ces mots, le rire avait laissé place à la morosité, avant de laisser place à la colère sourde. Elle brillait au fond de mon regard.
« Je sais ce que je veux faire de ma vie Lestrange. Je veux enfermer à Azkaban tous les foutus mangemorts comme toi et tes amis, tous les lèches bottes de Voldemort ! Je veux tous vous voir crever sous les assauts des Détraqueurs, vidés de vos âmes pour ne devenir que des loques. Je veux voir la peur dans le regard de chacun d'entre vous quand la fin arrivera, entendre les cris de douleurs et de désespoirs, identiques à ceux que vous arrachez à vos victimes. Donc oui, je n'ai pas de fiancée, mais tant mieux, une comme la tienne je m'en passerai volontiers, surtout qu'elle a l'air à fond sur votre maître. Oui, je délaisses mes amis, mais cette distance peut me les faire devenir étranger, de fait ils n'auront pas à souffrir de mes actes. Oui, parfois je doute de celui que j'étais, celui que je suis, celui que je vais devenir. Mais au moins, jamais je n'aurais à me dire que j'ai supprimé des vies simplement parce que nous avons un sang différent. »
La vérité, c'était que j'avais peur. Peur de ce que je devenais justement car dernièrement, je me surprenais à agir d'une façon contraire à mes principes. J'avais jeté le doloris, certes pas sur un être de chair et de sang, mais je l'avais jeté. J'avais même regretté de ne pas entendre de cris. A cet instant, la formule était au bord de mes lèvres, je rêvais de lui jeter de le voir se tordre de douleur au sol. Je pourrais même l'obliger à se faire lui même du mal. Mais pour le moment je résistais encore à cette voix, même si elle me poussait à le faire.
J'avais fermé les yeux un instant, le temps de me reprendre. En replongeant mon regard dans celui de Lestrange, j'avais changé d'expression. Mes yeux exprimaient un calme froid, une colère sourde en profondeur et une détermination sans faille. Mes humeurs variaient vraiment.
« Tu ne sais pas de quoi je suis capable Lestrange. Les tiens ont beaucoup de défaut, mais ils m'ont permis de faire tomber certaines barrières en moi. Des barrières que vous n'avez plus non plus. Certaines tiennent encore, elles résistent, mais quand elles chuteront, je te souhaite de ne pas être dans les parages, autrement ta fiancée devra se marier avec un jeune homme en kit, voir dans un cercueil. Vous n'êtes pas les seuls à maîtriser certains sorts et en éprouver de la joie. Loin de là. » |
| | | Who are You ? Rodolphus Lestrange
Élève ♣ Serpentard - 6ème année ▌Age : 30 ▌Parchemins : 72 ▌Points de Rp : 19 ▌Initiation magique : 04/03/2013 | Sujet: Re: Envie meurtrière en plein air. [PV Rodolphus Lestrange] Ven 8 Mar - 7:34 | |
| Ah Rodolphus avait touché un point sensible. Au début Maewan avait éclaté de rire, mais lorsqu'il avait entendu la suite, il ne riait plus. Au contraire son regard s'était assombri. Parfait, c'était exactement ce que le serpentard avait espéré. Il savait qu'il venait de touché sa cible... en plein coeur. Le Poufsouffle n'avait pas été insensible à sa remarque, cela le fit presque sourire. Rod s'était attendu à recevoir un sortilège, mais non, Maewan se contenta de répliquer.
« Je sais ce que je veux faire de ma vie Lestrange. Je veux enfermer à Azkaban tous les foutus mangemorts comme toi et tes amis, tous les lèches bottes de Voldemort ! Je veux tous vous voir crever sous les assauts des Détraqueurs, vidés de vos âmes pour ne devenir que des loques. Je veux voir la peur dans le regard de chacun d'entre vous quand la fin arrivera, entendre les cris de douleurs et de désespoirs, identiques à ceux que vous arrachez à vos victimes. Donc oui, je n'ai pas de fiancée, mais tant mieux, une comme la tienne je m'en passerai volontiers, surtout qu'elle a l'air à fond sur votre maître. Oui, je délaisses mes amis, mais cette distance peut me les faire devenir étranger, de fait ils n'auront pas à souffrir de mes actes. Oui, parfois je doute de celui que j'étais, celui que je suis, celui que je vais devenir. Mais au moins, jamais je n'aurais à me dire que j'ai supprimé des vies simplement parce que nous avons un sang différent. »
Rod se retint d'éclater de rire. Lui, enfermer des mangemorts ?! Pour ça il lui restait énormément de chemin à faire. Il pensait être assez puissant ? Assez fort pour résister à la magie noire. Il ne savait pas de quoi Voldemort était capable, ce qu'il avait comme connaissance ! Et c'était à un simple abruti comme Maewan d'arrêter ses serviteurs. Non c'était pathétique ! Ce que le Poufsouffle n'avait pas compris c'était qu'il n'avait aucune chance d'arrêter les mangemorts et encore moins le Seigneur des Ténèbres, car ce mouvement allait devenir tellement important qu'il allait couvrir tout le royaume Uni, voir toute l'Europe ! Un jour Voldemort serait ministre de la magie... à ce moment là Maewan finirait comme les autres, à Askaban. Ce n'était pas Rod qui serait enfermé et harcelé par les détraqueurs, mais lui ! Il se le jura, le jour où Voldemort serait ministre, le Serpentard se chargerait personnellement de son pire ennemi. Il parlait de Bellatrix sans savoir, il ne la connaissait pas assez pour savoir qui elle était et ce qu'elle ressentait pour le Lord. Bien sûr qu'elle était à fond sur le Seigneur des Ténèbres comme il le disait, tous les mangemorts les plus fidèles l'étaient ! Rodolphus l'était... Lord Voldemort était l'une des seules personnes pour qui, il n'hésiterait pas à mourir. S'il devait aller à Askaban pour lui, oui Rodolphus irait ! Fier d'avoir servi Le Lord, fier d'avoir défendu ses idées. Et cela, Maewan ne semblait pas le comprendre.
"C'est pour ça que tu feras partie de ceux que l'on arrêtera en premier et je me ferais un plaisir d'être celui qui te mettra hors jeu"
Rodolphus n'avait pas peur d'avoir prononcé ces paroles, ces menaces, car un jour ou l'autre, ils allaient s'entretuer, oui ! Surtout s'ils suivaient deux voies opposées. Le Serpentard le savait et il trouvait cela parfait, un jour Maewan allait comprendre de quoi les mangemorts étaient vraiment capables ! Qu'à côté il n'était rien. Oh, il rêvait du jour où le Poufsouffle le supplierait de l'épargner... peut-être qu'il se montrerait clément... peut-être, mais pas sûr. Après tout, en l'épargnant, il montrerait sa faiblesse. Enfin pour le moment il n'était pas encore là. Pour le moment il écoutait Maewan débiter ses sottises ! Il n'était qu'un imbécile et rien d'autre. Un imbécile que Rodolphus était ravi de pouvoir remettre à sa juste place : rampant devant lui !
« Tu ne sais pas de quoi je suis capable Lestrange. Les tiens ont beaucoup de défaut, mais ils m'ont permis de faire tomber certaines barrières en moi. Des barrières que vous n'avez plus non plus. Certaines tiennent encore, elles résistent, mais quand elles chuteront, je te souhaite de ne pas être dans les parages, autrement ta fiancée devra se marier avec un jeune homme en kit, voir dans un cercueil. Vous n'êtes pas les seuls à maîtriser certains sorts et en éprouver de la joie. Loin de là. »
C'était une menace ? Mais que faisait-il ? Ne savait-il donc pas qu'il était dangereux de menacer un futur mangemort, qui s'était déjà fait pas mal de connaissances dans le milieu, en plus ? Quel inconscient il était ! Néanmoins, Rodolphus se renfrogna, il detestait qu'on le menace de la sortes. C'était quelque chose qu'il ne supportait pas, oh non ! Son regard s'assombri et ses doigts s'étaient crispé sur sa baguette. Il dut faire un effort surhumain pour ne pas sauter à la gorge de Maewan ! Mais il se retint juste à temps.
"Tu me menaces Bretian ? Tu te crois que j'ai peur ? Jamais je courberais l'échine devant toi ! Tu dis que tu serais capable de me battre, mais comment peux-tu le savoir tu n'as jamais essayé et de toutes façons même si tu me tuais, là tout de suite, qu'est ce que tu ferais après ? Tu deviendrais un criminel. Toi qui a jurer de les traquer ? En fin de compte du n'es pas meilleur de les mangemorts ? Vas-y tue moi ! Montre moi comment tu éprouves de la joie à maîtriser certains sorts, je suis sûr que cela va bien me faire rire. Essaye et on verra qui finira dans un cercueil ! Je suis capable de bien plus que tu ne l'imagines"
Il savait déjà jeter un Doloris, il l'avait fait sur un chien qui passait devant chez lui, il avait déjà tué une souris avec un Avada Kedavra. Oui et il n'hésiterais pas à recommencer sur Maewan si celui-ci le poussait à bout ! Tant pis s'il se faisait punir, au moins il aurait eu la satisfaction de l'avoir fait souffrir ! |
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Élève ♣ Préfet Poufsouffle - 7ème année ▌Age : 33 ▌Parchemins : 436 ▌Points de Rp : 164 ▌Initiation magique : 25/12/2012 | Sujet: Re: Envie meurtrière en plein air. [PV Rodolphus Lestrange] Dim 10 Mar - 6:30 | |
| - Citation :
- Je me suis servi d'une faute de frappe que tu as faites pour ma réponse, surtout ne la change pas, ça m'a donné l'idée et ne le prend pas mal, j'ai jamais autant aimé une faute! haha
Il pense... enfin s'il peut penser... il pense sincèrement que ce Lord Voldemort sera à la tête du pays, voir du monde, d'ici quelques années. Je savais que la crédulité pouvait mener loin, la preuve j'avais longtemps pensé que mes actes, même les plus irraisonnés, resteraient à jamais impunis, pourtant ce n'était pas le cas. Un jour il comprendrait, pour le moment il était borné dans ses idées, comme je l'étais dans les miennes il y a peu encore. "C'est pour ça que tu feras partie de ceux que l'on arrêtera en premier et je me ferais un plaisir d'être celui qui te mettra hors jeu" Plus rapidement que ma pensée, les mots que je pensais quittaient mes lèvres simultanément, le regard empli de provocation. « En ce cas, donnons-nous rendez-vous quand ce jour arrivera, nous ferons un duel en bon et dûe forme. À la vie à la mort. L'un d'entre nous ne s'en tirera pas vivant. Je t'assure d'ailleurs que ce ne sera pas moi, tu sais ce que l'on dit, les nuisibles comme moi ont la tête dur et beaucoup de mal à mourir. Dommage pour toi d'ailleurs. »Il pensait me faire peur. Pauvre fou, il ne devait pas savoir pour les événements récent, sinon il serait déjà à se pavaner devant moi fièrement, comme un paon. Si son futur maître estimait autant ses futures recrues, il le saurait. Il aurait été au courant de ce qu'il c'était passé au village dernièrement. Elle est belle la confiance de Voldemort. Hilarante en vérité. Pour dire, j'aurai presque pitié de ce pauvre Rodolphus au point de le lui dire, presque. Mais il était encore trop jeune, trop bercé d'illusion pour me croire. Il était comme ces enfants à qui l'on annonçait que le père Noël n'existe pas, que la seule représentation vivante s'en rapprochant, en oubliant quelques rondeurs, était Dumbledore. "Tu me menaces Bretian ? Tu te crois que j'ai peur ? Jamais je courberais l'échine devant toi ! Tu dis que tu serais capable de me battre, mais comment peux-tu le savoir tu n'as jamais essayé et de toutes façons même si tu me tuais, là tout de suite, qu'est ce que tu ferais après ? Tu deviendrais un criminel. Toi qui a jurer de les traquer ? En fin de compte du n'es pas meilleur de les mangemorts ? Vas-y tue moi ! Montre moi comment tu éprouves de la joie à maîtriser certains sorts, je suis sûr que cela va bien me faire rire. Essaye et on verra qui finira dans un cercueil ! Je suis capable de bien plus que tu ne l'imagines" Je me mordais la lève pour ne pas rire. Une minute, puis deux et trois, dans un silence absolu, le visage crispé comme si ses mots m'avaient heurtés ou effrayés, puis je cédais à la tentation et partais d'un grand rire, me tenant les côtes tant mon hilarité était grande. J'en avais les larmes aux yeux, mais savoir que pour une fois elles étaient là à force de rire, ça faisait un bien fou. Je ne m'attendais pourtant pas à ce que mon premier fou rire depuis ça soit obtenu grâce à un futur mangemort. C'était d'une ironie incroyable quand on y pense. J'avais dû perdre quelques neurones depuis la dernière fois n'empêche, pour éclater de rire à cause de détails aussi peu importants. J'avais d'ailleurs énormément de mal à me reprendre. « Je ne dis pas que je crois que tu ais peur, même si se serait digne de ta maison. Mais une chose est sûre, je sais faire une phrase correcte, pourtant je ne suis pas un ô combien noble sang-pur. Des failles dans l'éducation de vos familles ? Ou alors il y a une trop grandes consanguinité entre ton père et ta mère et ça a eu quelques effets néfaste sur ton code génétique, par exemple concernant le langage et l'intelligence de façon globale ? Mais voilà ! Ça explique bien des choses ! En fait la ferveur mangemorts c'est une maladie génétique ! Faut vous diversifier et vite, sinon vous courrez à une mutation génétique catastrophique ! Les moldus ne sont pas de si mauvais partit tu sais, tu devrais essayer. »A nouveau, mon sourire s'était élargi, j'aimais ce petit jeu qui s'installait. En fait, le voir s'énerver tout seul était presque plus amusant que me battre contre lui. J'avais même abaissé ma baguette, c'est pour dire ! |
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Élève ♣ Serpentard - 6ème année ▌Age : 30 ▌Parchemins : 72 ▌Points de Rp : 19 ▌Initiation magique : 04/03/2013 | Sujet: Re: Envie meurtrière en plein air. [PV Rodolphus Lestrange] Dim 10 Mar - 10:27 | |
| Maewan ne savait pas, il ne savait pas de quoi il parlait ! Il ne connaissait pas Voldemort ! Il ne voyait pas le caractère novateur de ses idées. Rodolphus n'avait jamais rencontré le Seigneur des Ténèbres, mais il savait déjà ce qui l'attendait. Il connaissait des mangemorts, il savait qu'il y avait des meurtres des attaques. Mais cela ne le choquait pas, peut-être parce qu'il comptait lui même y prendre part. Le Serpentard avait compris que cela était à faire pour avoir un monde meilleur. Il fallait faire des sacrifices et dans ce cas là : sacrifier des vies Humaines. Maewan ne comprendait jamais, il resterait à jamais dans son idée du monde manichéen. Il y avait d'un côté des bons et des méchants ? Mais cela ne marchait pas comme ça ! Les méchants et les gentils, tout cela n'était que foutaises ! Car en réalité il y avait les imbéciles et les gens assez ambitieux pour rejoindre les causes qui promettaient un futur certain et prospère, Rod faisait parti de ceux là, alors que le Poufsouffle se rangeait dans les premiers. Le bien et le mal n'existait que dans certaines imaginations, comme celle de Dumbledore, ce n'était qu'un pretexte de moralité, mais sans moralité on allait plus loin dans l'évolution et cela Maewan ne comprendrait jamais. « En ce cas, donnons-nous rendez-vous quand ce jour arrivera, nous ferons un duel en bon et dûe forme. À la vie à la mort. L'un d'entre nous ne s'en tirera pas vivant. Je t'assure d'ailleurs que ce ne sera pas moi, tu sais ce que l'on dit, les nuisibles comme moi ont la tête dur et beaucoup de mal à mourir. Dommage pour toi d'ailleurs. »Rodolphus était d'accord avec son ennemi pour dire qu'un jour ils finiraient pas s'entretuer, cela était certain et se déroulerait sûrement dans avenir proche ! En revanche il faillit éclater de rire en entendant que Maewan était sûr de survivre à ce duel. Il croyait pouvoir vaincre la magie noire... cela était un peu prétentieux de sa part, il se surestimait ! Rodolphus ne prétendait pas qu'il allait sortir indemne de ce duel, car il connaissait le Poufsouffle, il savait qu'il se débrouillait très bien avec une baguette, mais avec la magie noire et les enseignements de Voldemort il ne pouvait qu'àvoir le dessus sur son adversaire. Néanmoins il ne dit rien, ayant quelque peu pitié de ce petit imbécile qui se croyait être un héro. "Nous verrons" Se contenta t-il de dire avec un sourire narquois "Après tout aucun de nous ici n'est pas capable de prédire l'avenir. Qui sait peut-être que ton idiotie finira par avoir le dessus sur cette puissante magie qu'est la magie noire."Il voulait laisser à Maewan l'illusion qu'il restait le plus fort. C'était bien de lui donner de l'espoir, il serait ensuite beaucoup plus jouissif de le détruire, de voir la stupeur, la surprise au fond de son regard lorsque Rodolphus le tuerait. Oui, le Serpentard en salivait d'avance. Rien que d'y penser il sentait l'excitation du meurtre affluer dans ses veines. Il n'avait encore tuer personne et n'en éprouvait pas forcément l'envie, mais de voir la vie quitter les yeux de Maewan serait pour lui la plus orgasmique des vengeances. Une vengeance froide et pourtant mérité. Oui... ils avaient commencé ennemis et finiraient ennemis. C'était ainsi, et Rodolphus le savait, il aurait sa vengeance un jour ou l'autre. Mais il était calme et patient, même s'il devait attendre trente ans pour l'avoir, cela lui conviendrait parfaitement. Et puis, plus l'attente serait longue et plus le plaisir de se venger serait grand. Donc, non il n'était pas pressé. « Je ne dis pas que je crois que tu ais peur, même si se serait digne de ta maison. Mais une chose est sûre, je sais faire une phrase correcte, pourtant je ne suis pas un ô combien noble sang-pur. Des failles dans l'éducation de vos familles ? Ou alors il y a une trop grandes consanguinité entre ton père et ta mère et ça a eu quelques effets néfaste sur ton code génétique, par exemple concernant le langage et l'intelligence de façon globale ? Mais voilà ! Ça explique bien des choses ! En fait la ferveur mangemorts c'est une maladie génétique ! Faut vous diversifier et vite, sinon vous courrez à une mutation génétique catastrophique ! Les moldus ne sont pas de si mauvais partit tu sais, tu devrais essayer. »S'il y avait bien quelque chose que ne supportait pas Rodolphus, c'était qu'on insulte son entourage, sa famille, ses amis. Et là c'était exactement ce que Maewan venait de faire. Qu'il l'insulte lui, Rod s'en fichait royalement car il avait l'habitude avec lui à présent mais là le Poufsouffle s'en prenait à ses parents. Pire encore il insultait la famille des mangemorts. Famille dont faisaient partie tant de personnes qu'il connaissait et qu'il appréciait. Rodolphus n'était pas du genre à s'emporter, il avait été élevé dans l'idée que c'était impoli, et était donc quelqu'un de plutôt calme, peu susceptible qui savait contrôler ses émotions dans une froideur impénétrable, mais cette fois ce fut trop. Que cet idiot insulte sa famille avait été la goutte d'eau qui avait fait déborder le vase de jue de citrouille ! En une fraction de seconde, la rage s'empara de lui, une rage qui n'avait pas eu le temps de contenir une rage qui partit de, il ne savait où et qui terminait sa course dans son poing gauche. Cette rage lui donna assez de force pour qu'il aille mettre son poing dans la figure de Maewan, le coup était partis tout seul, il n'avait pas eu le temps de retenir son bras. Mais c'était trop tard, c'était fait... éprouvait-il une certaine satisfaction d'avoir frapper son adversaire ? Oui. Mais il était déçu de s'être emporté ainsi après tout c'était ce qu'avait espéré le Poufsouffle, il avait cherché à le mettre hors de lui et il avait gagné, mais cela lui avait coûté un poing dans la figure et Rod n'y était pas allé de main morte, son entraînement de Quiddich l'avait rendu beaucoup plus fort qu'il ne l'avait pensé. Néanmoins, le Serpentard reprit son calme, en se concentrant sur sa respiration et en fermant les yeux. Quand il les rouvrit ce fut pour lancer un regard mauvais à Maewan. "Ne t'avise plus jamais d'insulter mon entourage Bretian... ou je te jure je te tuerais, crois moi je le ferais et je n'aurais aucun remords"La menace était froide, glacée, elle sonnait tel le glas de la mort. Rodolphus l'avait presque chuchoté et dans ces mots pleins de haine et de promesse, il avait mis toute la rage qu'il avait ressentie plus tôt comme pour l'exorciser. Oui, il était sincère, c'était une promesse, la même promesse qu'on le faisait en naissance, la promesse d'accepter la mort quand elle viendrait nous chercher, de ne pas la repousser, oui c'était ce même genre de promesse qu'il était impossible de briser. [hrp : x) ah oui en effet je n'avais pas vu la faute ^^. Enfin tant mieux si cela t'a inspiré ] |
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Élève ♣ Préfet Poufsouffle - 7ème année ▌Age : 33 ▌Parchemins : 436 ▌Points de Rp : 164 ▌Initiation magique : 25/12/2012 | Sujet: Re: Envie meurtrière en plein air. [PV Rodolphus Lestrange] Dim 10 Mar - 12:35 | |
| Nous verrons ? C'est tout ce qu'il répond alors que je suis certain qu'intérieurement il jubile. Non mais franchement c'est la vipère qui se fou du blaireau là, alors que le blaireau peut se nourrir de ces même reptiles. Enfin, qu'il pense ce qu'il veut, j'ai de toute façon gagner cette manche.
En effet, à peine mes dernière parole achevée je sens un coups s'abbatre sur moi et tombe à la renverse, mon dos contre le bois de l'arbre derrière moi me fit grimacer de douleur au moins tout autant que le coups.
"Ne t'avise plus jamais d'insulter mon entourage Bretian... ou je te jure je te tuerais, crois moi je le ferais et je n'aurais aucun remords"
Il pensait me faire peur avec ça ? Pour le moment je pensais à autre chose, la douleur sur mon visage. À en croire le sang sur ma main maintenant, cet idiot m'avais cassé le nez et j'aurai en plus un beau bleu sur la joue, juste en dessous de l'oeil, dans quelque temps. J'aimais me faire remarquer ces derniers temps ce n'est pas possible autrement.
« Lestrange, seule la vérité blesse. Je n'y peut rien si tu réagis comme cela, la vérité est lourde à porter et accepter. D'ailleurs je suis flatté de voir que tu as fait usage d'une attaque à ton niveau, à savoir les coups, comme les moldus. Tu vois que tu n'en est guère différent. »
Il fulminait même si le calme revenait lentement en lui, son plaisir serait de me tuer ? Fort bien, le mien serait de le provoquer jusqu'au bout. Je suis un sale gosse après tout et malgré les événements récents, une part au fond de moi veux continuer de vivre, de s'amuser, malgré la culpabilité qui me ronge.
« D'ailleurs, je me demande ce que Dumbledore ou même le ministère dirait en voyant mes souvenirs, tu viens après tout de sous entendre lourdement devant moi que tu finiras mangemorts. En fait tu ne l'as pas sous entendus, tu l'a même dit. Je pourrais bien aller confier tout de suite cela aux autorités compétentes, c'est si facile à faire après tout... »
Et comme cela, il serait interrogé, peut être même arrêté.
« Je me demande quel effet cela ferait, que tu assistes à l’exécution de ta famille sous le baiser du Détraqueur, sachant que tu y passeras ensuite bien sure. Ça doit être insoutenable, je me ferais une joie de voir ça ! »
Ma main appuyé sur mon nez saignant, je le fixait d'un oeil noir. Il était peut être fier de lui, mais je ne me laissais pas abattre si vite. Loin de là. |
| | | Who are You ? Rodolphus Lestrange
Élève ♣ Serpentard - 6ème année ▌Age : 30 ▌Parchemins : 72 ▌Points de Rp : 19 ▌Initiation magique : 04/03/2013 | Sujet: Re: Envie meurtrière en plein air. [PV Rodolphus Lestrange] Dim 17 Mar - 6:32 | |
| Rodolphus s'emportait rarement, sauf quand il s'agissait d'un imbécile comme Maewan qui l'agaçait au plus au point, il avait envie de débarasser le monde de ce genre de vermine, c'était une des raisons qui le poussaient à devenir mangemort. Ces personnes là avaient le don de savoir le faire sortir de ses gongs. Généralement il arrivait plutôt bien à contrôler sa colère, n'étant pas particulièrement susceptible, cela n'était pas très difficile, mais Maewan était une tête à claque il n'y pouvait rien ! Après tout cela avait toujours été le cas. Entre eux cela n'avait jamaisété l'amour fou, loin de là même. Mais en fin de compte, au moins, Bretian lui permettait de se défouler un peu. Rod fut tout de même heureux de voir qu'il lui avait sûrement casser le nez, parfois cela avait du bon de perdre son calme.
« Lestrange, seule la vérité blesse. Je n'y peut rien si tu réagis comme cela, la vérité est lourde à porter et accepter. D'ailleurs je suis flatté de voir que tu as fait usage d'une attaque à ton niveau, à savoir les coups, comme les moldus. Tu vois que tu n'en est guère différent. »
Rodolphus ne releva pas la dernière remarque, après tout cela ne changeait rien, les humains ne générale donnaient des coups, et les moldus et les sorciers étaient des humains. Les Moldus étaient juste à mettre sur un niveau inférieur, seul les sorciers pouvaient se permettre une certaine suprémacie, ils étaient plus puissants.
"Je n'allais pas gaspiller mon souffle en jetant un sortilège Bretian, les coups c'est tout ce que tu mérites. Et puis vois l'avantage des choses, ça arrange un peu ton visage, on a au moins l'impression que tu ressembles à quelque chose" Se moqua t-il.
Maewan saignait. Il était tellement jouissif pour Rodolphus de voir qu'il ne l'avait vraiment pas loupé. Ah cela faisait du bien de se défouler un peu. Surtout qu'il avait au moins eu la satisfation de lui avoir fait mal. Il le méritait de toutes façons, pour tout ce qu'il avait dis sur le Seigneur des Ténèbres, sur les mangemorts et puis même pour le simple fait d'être Maewan Bretian il le méritait ! Le Serpentard avait tant de fois rêvé de le faire ramper à ses pieds. Bon là ce n'était pas le cas, mais au moins il lui avait fait mal !
« D'ailleurs, je me demande ce que Dumbledore ou même le ministère dirait en voyant mes souvenirs, tu viens après tout de sous entendre lourdement devant moi que tu finiras mangemorts. En fait tu ne l'as pas sous entendus, tu l'a même dit. Je pourrais bien aller confier tout de suite cela aux autorités compétentes, c'est si facile à faire après tout... »
Etait-il stupide ?... a remarque il était inutile de poser la question. Un souvenir n'était même pas une preuve, il pouvait très bien être falsifié. De plus on ne pouvait arrêté quelqu'un pour un crime qu'il n'avait pas commis... et dans le cas de Rod, un crime qu'il n'avait pas Encore commis. Mis à part avoir partagé son souhait d'entrer chez les mangemorts, Rodolphus n'y était pas encore. Donc il n'avait rien fait de mal.
"Tu sais, cela ne servirait à rien. Après tout je n'ai rien fait pour qu'on puisse m'arrêter. Ils ne peuvent pas me condamner pour quelque chose que je n'ai pas encore commis et que je ne commettrais peut-être pas. Je peux très bien finir mangemort, ou peut-être pas qui sait le destin change parfois le gens. Je pourrais crier sur tous les toîts que j'aime les idées de Voldemort cela ne fait pas de moi un dangereux criminel. Je pense que le ministre ou même ce fou de Dumbledore ont autre chose à faire que d'arrêter un élève qui cherche une voie comme une autre. Tes souvenirs ne prouvent donc rien !"
C'était vrai après tout, rien ne prouvait qu'il finirait mangemort. S'il ne le devenait pas, il était donc innocent. Et le ministère ne pouvait pas arrêté un futur innocent. C'était absurde ! Enfin, en même temps cela venait de Bretian, donc les idées absurdes et stupides ça le connaissait ! C'était une de ses spécialités. Parfois il se demandait comment on pouvait laisser ce genre de vermine entrer à Poudlard, il polluait l'intelligence des vrais sorciers qui méritaient d'apprendre ici.
« Je me demande quel effet cela ferait, que tu assistes à l’exécution de ta famille sous le baiser du Détraqueur, sachant que tu y passeras ensuite bien sure. Ça doit être insoutenable, je me ferais une joie de voir ça ! »
Rodolphus éclata de rire. Maewan pensait vraiment ce qu'il venait de dire ? Les détraqueurs seraient un jour sous le contrôle du Seigneur des Ténèbres et ensuite, le fait que les mangemorts portent des cagoules, réduisait grandement le risque de se faire arrêter. Non Rod était persuadé que ce serait le contraire. Bretian à sa place en train de recevoir le baiser du détraqueur, oui c'était un peu plus approprié comme situation.
"Oh, je ne m'en inquiète pas trop, tu vois. J'aurais en tous les cas la satisfaction de t'avoir tué avant. Peut-être que je recevrais le baiser du détraqueur, même si j'en doute, mais je finirais par avoir ta peau, à commencer par celle de ceux auquels tu tiens. Tes amis proches, ton entourage. Les plus faibles, les plus vulnérables. Crois moi je serai ton pire cauchemar."
Il avait dis cela le plus sérieusement du monde, le regard mauvais petillant de méchanceté. Oui, Rodolphus était sincère, il comptait détruire Maewan, mentalement et physiquement. Un jour ils se confrontraient et un des deux ne survivrait pas. |
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Élève ♣ Préfet Poufsouffle - 7ème année ▌Age : 33 ▌Parchemins : 436 ▌Points de Rp : 164 ▌Initiation magique : 25/12/2012 | Sujet: Re: Envie meurtrière en plein air. [PV Rodolphus Lestrange] Dim 17 Mar - 7:32 | |
| L'idée qu'il marque points sur points depuis tout à l'heure commençait sérieusement à me taper sur le système. Pourtant au naturel, j'étais assez calme mais l'entendre dire fièrement que rien ne l'incriminait, que rien pour l'instant ne le ferais enfermer pour de bon, ça me mettait en dehors de moi et je serrais les dents et les poings. Il avait raison, rien de ce que je dirais ne suffirait, il n'avait pour le moment commis aucun crime, même si ce n'était pas le cas de ses semblables.
"Oh, je ne m'en inquiète pas trop, tu vois. J'aurais en tous les cas la satisfaction de t'avoir tué avant. Peut-être que je recevrais le baiser du détraqueur, même si j'en doute, mais je finirais par avoir ta peau, à commencer par celle de ceux auquels tu tiens. Tes amis proches, ton entourage. Les plus faibles, les plus vulnérables. Crois moi je serai ton pire cauchemar."
Mon regard normalement clair virait d'un coups dans le sombre, comme à chaque fois que la colère m'envahissait. Ce n'était pas un pouvoir, simplement les yeux sont les fenêtres de l'âme et en observant les gens, nous constations souvent que selon les émotions, le regard changeais. Pour la colère, il s'obscurcissait plus ou moins. Moi c'était simple, il passait de clair à ténébreux et semblait sur le point de lancer des éclairs. J'avais peut être dépassé les bornes avec lui quelques minutes plus tôt en critiquant sa famille, entre autre, mais ce qu'il disait là dépassait encore d'autres limites. Le paradoxe par contre, c'est qu'il ne semblait pas savoir pour ma famille, s'il pensait me faire du mal en les tuants, il avait un train de retard. D'autre s'en était chargé et se trouvaient en tête de liste dans ceux qui subiraient mes vengeances. Quant à mes amis, je mettais de la distance entre nous, suffisamment pour qu'au fur et à mesure, l'amitié commence à s'atténuer et que donc l'on pense que leur mort ne me fera rien. Si nos chemins semblent se séparer, si je faisais le vide autour de moi, il n'y aurait de fait plus personne à attaquer autour de moi, il ne resterait que moi.
Aussi, malgré la douleur vive qui m'habitait, je semblais de nouveau moqueur envers le serpent. La colère avait eu le temps de faire son bonhomme de chemin dans mes veines et je relevais lentement ma baguette sans rien dire, la seule chose expressive chez moi en cet instant était mon regard. N'importe qui en cet instant, avec un minimum d'instinct de survie, aurait prit ses jambes à son cou. Même le plus courageux d'entre nous. Après un instant à fixer l'élève, j'entrouvrais les lèvres et lançais d'une voix froide :
« Expulso. »
J'y avais mis toute ma rage, toute ma rancœur et j'espérais bien le voir voler sur plusieurs mètre et s'écraser au sol. Cela étant fait de toute façon, je lui assénait aussi un coups de poing en plein visage, avant de cracher avec dédain :
« Pour toucher à mes proches, il faudrait déjà que j'en ai encore, renseigne toi un peu avant de proférer des menaces. Personne ne compte désormais pour moi, mis à part moi-même. Tu devras te contenter de cela, mangemort. » |
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Élève ♣ Serpentard - 6ème année ▌Age : 30 ▌Parchemins : 72 ▌Points de Rp : 19 ▌Initiation magique : 04/03/2013 | Sujet: Re: Envie meurtrière en plein air. [PV Rodolphus Lestrange] Dim 24 Mar - 3:02 | |
| Rodolphus aurait dû avoir le reflex de tenter d'éviter le sortilège. Surtout après avoir vu l'éclair de fureur passer dans les yeux du Poufsouffle. Il avait su ce qui suivrait, mais il ne voulait pas se résoudre à fuir, il n'était pas un lâche. Il n'avait même pas fait un pas en arrière, se contentant de fixer le regard de son adversaire, l'air déterminé. Il s'était tenu près à contrer son attaque, mais malheureusement, cette attaque arriva au moment où il levait sa baguette. Cela s'était joué en une fraction de seconde et le sortilège de protection n'avait pas pu franchir ses lèvres totalement. Il s'en était tenu à "Prote...". Puis le sort l'avait atteint ainsi que le poing de son ennemi. Le sort à la rigueur il s'y était attendu, mais le coup de poing le surprit. Après tout Maewan n'était pas du genre à attaquer un adversaire déjà touché, déjà presque à terre. Cela était plutôt un fait qu'on accordait aux Serpentards. C'était assez lâche comme comportement. C'était lâche même. Ah il était beau de traiter les vert et argent de couard alors que lui même ne valait pas mieux !
Mais Rod ne pensait pas à ça. La douleur fut vive. Le sortilège l'avait expédié deux ou trois mètres plus loin, environ, il n'avait pas vraiment eut l'envie et le temps de compter. Et puis la douleur dû au coup de Bretian plus au sortilège était donc double. Son nez devait sûrement saigner, il sentait le goût du fer dans la bouche et le liquide chaud couler sur ses lèvres. Certes cela le sonna quelques secondes. Il était étendu sur le dos et avait dû mal à reprendre son souffle. Mais étant joueur de Quiddich, il avait l'habitude de recevoir des coups et il avait appris à s'en remettre vite. La rage de s'être laissé avoir et sa volonté de rendre la pareille au jeune homme en face de lui, lui fit reprendre ses esprits plus rapidement. Il avait très mal, certes mais la douleur ne l'empêcherait pas de riposter, non il était bien trop fier pour se laisser faire par un minable pareil !
« Pour toucher à mes proches, il faudrait déjà que j'en ai encore, renseigne toi un peu avant de proférer des menaces. Personne ne compte désormais pour moi, mis à part moi-même. Tu devras te contenter de cela, mangemort. »
Le Serpentard était toujours à terre quand Maewan prononça ses mots. Rodolphus faillit rire, Bretian était un bien piètre acteur. Si vraiment, personne ne comptait pour lui, pourquoi s'était-il donc mis dans cet état là ? Le Poufsouffle se persuadait peut-être qu'il pouvait vivre sans sentiments à l'égard de quelqu'un. Mais c'était faux ! Cela se voyait dans ses yeux. Il pouvait toujours s'éloigner de ses amis s'il voulait, mais il allait souffrir, surtout si ceux-ci mourraient, car cela allait lui faire découvrir, les remords et les regrets, parce qu'au fond Maewan n'était pas un garçon dénué de sentiments, la réaction qu'il venait d'avoir en était la preuve.
Rodolphus se releva d'un seul coup, aussi vite qu'il pu, pour pouvoir surprendre son adversaire. Il ne fit pas attention à la douleur, mais si celle-ci, lancinante, lui fit tourner la tête, à moins que ce soit à cause du faire qu'il s'était levé trop vite. Enfin cela importait peu. Il était rapide, il le fallait pour être gardien dans une équipe de Quiddich et il l'était. Alors il leva rapidement sa baguette et le sortilège s'échappa de ses lèvres avant même qu'il ait eu le temps de penser aux conséquences de ses actes. Non en fait, c'était plutôt qu'il se fichait des conséquences de ses actes. Son esprit était totalement obnubilé par une chose : faire mal à Maewan. Juste par simple vengeance, par simple volonté de retour à l'envoyeur ! Il fut tenter de jeter un doloris mais c'était tout de même un peu risqué, surtout ici au milieu de l'école. Il n'eut qu'une fraction de seconde pour se décider et lança son sortilège, sans laisser le temps à Bretian de se retourner, ou de répliquer quoi que ce soit d'autres. Peut-être allait-il contrer le sortilège, ou peut-être pas, mais Rod espérait sincèrement le toucher.
"Impedimenta"
Oui cela suffirait largement ! Utiliser le sortilège le doloris aurait peut être été un peu exagéré. Mais en même temps, il aurait été intéressant de voir ce que cela aurait pu donner sur Maewan.
"On ne me lance pas de sort sans en payer les conséquences Bretian." Répondit Rod en s'essuyant le sang qui coulait sur son visage "Si personne ne comptait vraiment pour toi tu n'aurais pas réagi de la sorte, nous savons tous les deux que tu es incapable au fond de laisser tomber tes amis sans en souffrir. Le jour où ils mourront de ma main, ou celle de quelqu'un d'autre, tu regretteras de les avoir abandonnés à cause de ton égoïsme feint, tu te sentiras coupable. Rends toi à l'évidence, tu vas te faire souffrir tout seul. Enfin ce sera tellement plus drôle à voir, pour moi !"
Le Serpentard avait dit cela d'un air moqueur. Il trouvait son adversaire tellement pathétique que c'en était presque drôle. Le voir se comporter comme un faux mangemort alors qu'il combattait ces mêmes mangemorts était comique à voir ! Gardant toujours sa baguette pointée vers le Poufsouffle, Rod se tenait prêt à une éventuelle contre attaque. |
| | | Who are You ? Argus Rusard Concierge ♣ A un oeil sur vous ! ▌Age : 46 ▌Parchemins : 133 ▌Points de Rp : 37 ▌Initiation magique : 16/08/2011 | Sujet: Re: Envie meurtrière en plein air. [PV Rodolphus Lestrange] Mer 3 Avr - 8:19 | |
| Une légende poudlardienne veut que lorsqu’un élève fait une bêtise, au vu et au su de tous, il ne faut que cinq minutes chrono pour que Rusard et son chat débarquent.
James Potter et Sirius Black en avaient fait les frais à de multiples reprises, à tel point que si les gryffons avaient un sablier, ils le poseraient rien que pour tenter l’expérience.
« Moins de cinq minutes » est un concept assez vague. Il peut arriver sans crier gare au bout de trente secondes comme au bout de quatre minutes. Cette faculté à sentir (ou ressentir) les effractions au règlement effraie bon nombre d’élèves. Le concierge n’est pas non plus réputé pour sa douceur et sa compréhension.
Jamais avare d’expériences, certains élèves ont tenté de faire leurs bêtises dans les salles vides ou les toilettes. Après tout, Rusard n’entre jamais dans les salles de classe, son « radar » est peut-être hors service dans ce genre de lieux… Mais, même s’il détecte plus difficilement les effractions, il lui arrive de surgir néanmoins pour prendre sur le fait les Premières Années dégustant un whisky pur-feu interdit, ou un gentil couple de Septième Année désireux d’expériences de leur âge... ou un James Potter s'enfermant dans les toilettes pour filles avec Meena. Tout cela est proportionnel au nombre de personnes qui constatent ou qui savent ladite effraction. Mais comment fait-il ? Ce n’est pas pour rien qu’il est appelé Argus, comme la créature mythologique aux cent yeux. Aucun élève ne sachant qu’il est cracmol, tous pensent qu’il utilise des sortilèges de détection connus de lui seul… ou qu’il se sert des elfes de maison comme informateurs. A moins que son secret ne réside dans son chat.
Sortir une baguette pour menacer son camarade n’est pas une pratique courante, même si le phénomène a plutôt tendance à augmenter ces derniers mois avec la montée en puissance de Voldemort, et les évènements récents. Le « radar » de Rusard a dû se déclencher à partir du moment où l’un des deux protagonistes a commencé à la sortir et à menacer l’autre. Le sort expulso, jeté dehors et sans aucune discrétion était un aimant à Rusard. On peut supposer qu’il se soit précipité vers le parc, à moins qu’il n’y ait déjà été avant. Le sort impedimenta a scellé le sort des deux ennemis. A peine Lestrange avait-t-il fini sa tirade que l’affreux chat du concierge se montra, miaulant pour signaler à son maître qu’il avait trouvé les coupables, du même cri que lorsque ses semblables trouvent des souris.
Soufflant, après avoir couru –mais, encore une fois, comment a-t-il pu savoir ce qui se passait ? Ce type est un VRAI magicien – il hurla :
« BRETIAN ! LESTRANGE ! Retenue immédiate et sans appel, espèces de coqs rempli de testostérones ! »
Mister Hyde n’en attendait pas plus pour se précipiter vers les deux. Allait-il griffer le bras de l’humain debout pour lui faire lâcher sa baguette ? Non, il était plus amusant de la voler sur l’humain immobilisé, pour jouir de son impuissance. Le chat attrapa rapidement la baguette de Maewan dans sa gueule, non sans avoir « accidentellement » griffé l’adolescent avec ses pattes arrières. Ce qu’il peut être joueur, parfois.
Son chat s’étant occupé du Poufsouffle, le concierge tendit la main pour que Lestrange lui donne sa baguette. Un refus d’obéir entraînerait une sanction bien plus lourde, couronné d’un coup de fouet magistral de l’adulte, habitué à ce genre de « petites frappes ». Le dernier à s’être rebellé, baguette en main, contre le concierge, s’est trouvé privé de baguette jusqu’à la fin de son année… et de toute façon vu l’état qu’avait son bras, attaqué à la fois par le fouet et par le chat, il n’était plus en mesure de s’en servir avant longtemps.
« Cette fois, vote compte est bon, mes gaillards. Je vais vous punir tellement sévèrement que vos meilleurs amis ne vous reconnaîtront pas sous la couche de poussière, de saletés et de fientes de hibou que vous porterez. Tous les deux, direction mon bureau !»
Mister Hyde partit devant, la queue en l’air, satisfait du devoir accompli et dans l joie de la sanction à venir, les deux adolescents au milieu, et Rusard fermant la marche, partagé entre le visage sévère de circonstance, et l’envie de sourire en envisageant les sanctions qu’il leur trouvera.
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