✎ Nom : Lucas
✎ Prénoms : Sherman Pedro
✎ Date de naissance : 12/05/1964
✎ Age : 13ans
✎ Pays de naissance : Amérique Latine
✎ Sang : né moldu
✎ Ville d'habitation : Glasgow
✎ Baguette : plume de phoenix, bois de cerisier, 31.5 cm
✎ Camp : Ordre
✎ Epouvantard : un crocodile

Une nouvelle année commençait à Poudlard. J'étais vraiment heureux d'y retourner et mes parents, bien que moldus, étaient extrèmement fier que je sois sorcier, pas une fois ils n'avaient mal réagis en apprenant que j'étais différent d'eux, que la magie m'habitait. Il faut dire... nous n'étions pas une famille comme les autres.

Tout avait commencé 10 ans avant ma venue au monde, ma mère était à l'époque une jeune femme de 18 ans et vivait avec les siens en Amérique latine, dans un coin assez pauvre et reculé où s'était réfugié les amérindiens lors de l'arrivée des conquistadors. En gros, elle était ce que nous appelions plus communément « Native American » et mon père, lors de son arrivé avait été nommé par son peuple comme un : « enfant de la destruction. »

Rapidement pourtant, et ceux malgré leur différence de culture, mon père et ma mère avait appris à se connaître, ce qui n'était pas aisé avec leur langue respective, pour finir par se découvrir plus proche qu'ils ne le pensaient. Assez rapidement ils s'étaient mis ensemble et, pour obtenir l'accord de la famille maternelle, mon père avait dû se plier à quelques coutumes locales et d'autre inventées de toutes pièces pour voir jusqu'où il était prêt à aller par amour. Dans ce lot d'invention, il y avait entre autre une danse sur des braises ardentes. Ce grand fou l'avait fait, montrant que l'amour rend vraiment stupide, mais qu'est-ce que je riais en entendant cette histoire aujourd'hui encore.

Quelques semaines plus tard, ma mère Isialis et mon père Brandon, se mariaient selon les usages des descendants amérindiens, ce qui signifiaient des jours et des nuits de fêtes, des préparatifs fastueux et une ambiance à réveiller les morts, ce qui n'est pas plus mal puisque ce sont les morts qui doivent bénir l'union de deux personnes là bas.

Après des années de vie dans le pays de mes ancêtres maternel, mon père était rappelé par le travail dans son pays d'origine, à savoir l'Angleterre. J'avais alors cinq ans et nous allions pour la première fois de notre vie dans un autre pays ma mère et moi. Cette dernière était d'ailleurs très nerveuse car son anglais restait très approximatif et elle avait peur de ne pas savoir se fondre dans la masse Britannique, à juste titre d'ailleurs car aujourd'hui encore, après tout ce temps elle vivait toujours selon ses préceptes, que je suivais aussi et je passais donc souvent pour un dingue au centre de loisir que je fréquentais le mercredi après-midi.

De mes 6 ans à mes 10 ans, je ne fréquentais pas l'école, ma famille préférant que je sois élevé et suivis par un précépteur. Sans lui mon anglais serait très approximatif car nous ne parlions à la maison que la langue du village avec ma mère, et c'est avec elle que je passais la majeure partie de mon temps. C'est d'ailleurs avec elle que j'ai eu mon premier incident magique. Nous étions dans la bibliothèque en train de travailler les mathématiques et je rêvassais, mon regard était fixé sur la flamme de l'une des bougies du chandelier, devant mon inattention ma chère maman avait haussé le ton et en sursautant et tombant de ma chaise, la flamme s'était soudainement élevé d'au moins trente centimètre jusqu'à ce que mon cœur cesse de battre la chamade.

Ne mentons pas, j'étais certain sur le coups de me faire priver de dessert pour les 25 prochaines années, au lieu de cela ma mère me regardait avec des yeux ahuris, mais dans le genre rond comme des soucoupes volantes, avant de me tirer contre elle et remercier les dieux de nos ancêtres. N'importe quel moldu aurait totalement paniqué, surtout dans les pays occidentaux, mais chez elle, et donc la moitié de ma famille, il était très honorifiques d'avoir des dons magiques. Les rares enfants qui naissaient ainsi chez nous étaient vu comme la réincarnation de divinité ayant un message à apporté. Manque de chance pour eux, ils étaient tous voués au célibat et l'abstinence. Triste vie pour des sorciers, pour une fois j'étais heureux de vivre en Angleterre, au moins j'aurai le droit de vivre ma vie comme je l'entend même si maman voulait presque m'enfermer dans un monastère pour préserver mon honneur d'âme divine. Parfois je me demandais clairement si certaines de nos herbes médicinales n'étaient pas légèrement hallucinogène.

Dans l'été de mes onze ans, une lettre étrange vint à la maison. Elle m'informait que j'étais d'ors et déjà élève à l'école de sorcellerie Poudlard, d’abord surpris, un homme du nom de Hagrid vint nous voir assez rapidement pour nous expliquer la situation. J'apprenais ainsi que dans le monde, plusieurs millier de personne était aussi sorcier, que cela n'avait rien à voir avec les légendes ayant bercé mon enfance. Même si toutes les légendes ont une part de vérité. Que l'école était dirigé par un certain Albus Dumbledore qui ressemblait à St-Nicolas ou le père Noël ayant fait un régime ; que là bas, nous apprenions à contrôler notre magie pour ensuite choisir une voix nous plaisant pour l'avenir.

Ensuite, nous avions été menés sur le chemin de Traverse, la vue de cette avenue créant un moi un sentiment de joie comme je n'en avait jamais eu jusque là, en fait pour être franc, un pur cri de stupéfaction avait quitté mes lèvres et je m'étais mis à courir sans attendre personne, pour découvrir le plus de chose possible ici. La meilleure boutique était sans conteste celle des balais, des vrais balais qui volent ! Vous vous rendez compte ? Le Quidditch devenait sans peine l'un de mes sports favoris en ce bas monde ! Oh et l'animalerie ! Il y avait de tout et surtout des chouettes ! J'en achetais directement une pour pouvoir tester le système de courrier magique, j'allais m'amuser comme un fou !

Bien sure il fallait surtout les livres de cours et la baguette magique. Le vendeur de cette dernière était un homme assez loufoque, j'avais éclaté de rire quand il avait mesuré mes narines entre autre, mais aussi mes bras, je suis quelqu'un de très chatouilleux et il avait fallu qu'il hausse la voix pour que je me calme enfin et daigne me tenir tranquille quelques instants. Ce n'était tout de même pas de ma faute si j'étais une véritable pile électrique... et s'il semblait tout droit sortit d'un roman de fiction.

Le premier septembre vint ensuite, une fois encore j'étais surexcité et courrait partout en cherchait cette fameuse voix 9 ¾. Ma chouette hurlait de peur sur mon chariot à cause des mes slalum entre les moldus, j'avais entendu ce mot de la bouche même de Hagrid, qui m'avait expliqué que c'était un terme pour les personnes sans-magie et que certains sorciers risquaient d'être méchants avec moi à cause du fait que mes parents le soient. En fait je m'en fichait pas mal, en quoi ça les rendaient meilleurs que moi ? J'étais peut être un peu trop fonceur, dissipé et tout, mais je n'en restait pas moins quelqu'un de capable.

À l'arrivée de ma première année, je prenais peur en apprenant qu'il y avait un test, je n'avais pas ouvert un seul livre avant d'arriver ici. J'avais préféré faire l'idiot avec un balais acheté sur le chemin de traverse, balais que je n'avais pas eu le droit de prendre d'ailleurs, à l'arrière de la maison. Je m'étais cassé la figure plusieurs fois mais j'y retournais à la charge. Enfin tout ça pour dire que.... je ne savais fichtrement rien de la magie. J'étais d'ailleurs passé pour un idiot dans le train quand un sorcier qui se disait « sang-pur et futur serpentard » m'avait demandé où je pensais être envoyé et que j'avais répondu « bah à Poudlard comme toi. » il avait alors dit que j'étais un sang-de-bourbe à n'en pas douté. Pas besoin d'être un génie pour comprendre que c'était une insulte, ni pour savoir qu'il s'était prit un coup de pied dans le tibia de la teigne que j'étais et suis encore.

La répartition passé, je m'avérais être un élève sommes toute correct. Bon souvent on me rappelait à l'ordre quand je ballais au corneille ou chahutait avec un camarade au lieu de suivre le cours, mais mes notes restaient tout de même dans la moyenne des bons élèves. Sur ces premières années le niveau restait stable, mon début de troisième année était égal et malgré les temps sombre je conservais ma bonne humeur et mon brin de provocation. Même si avouons-le, j'avais aussi peur de l'avenir, mais jamais je ne le montrerais, j'ai trop de fierté pour cela.

Ah... nous arrivions enfin à Poudlard, les vacances sont vraiment finies. Bonjour les premiers jours de folies, j'espère que les Maraudeurs ont prévues une farce pour les Serpentard pour fêter ça!

✎ Prénom/ pseudo : Devinez... ça commence par Mae- et ça fini par wan.
✎ Age : 21 ans
✎ Tes passes temps favoris sont : Les même que la dernière fois
✎ Tu as connu le forum ou ? Comme pour Mae
✎ Un commentaire a apporter sur le forum ? C'est mon TC donc j'adore le Fow' et en attendant que les rps de mon cher Alex décolle (les personnes avec qui je dois en faire sont en absence) j'aurai le temps de bien lancer chouchou. Forum toujours aussi tip-top cool