Il était une fois ...

Je suis née un soir d’orage, le 10 janvier 1960 pour être plus précise, d’un père sorcier et d’une mère moldue. J’étais une enfant non désirée et mon père me le fera sentir durant toute mon enfance. En parlant de mon « charmant » papa, il travaille au Ministère de la magie en tant qu’auror sauf qu’il est en réalité un mangemort. Je le sais depuis ma petite enfance à cause de son tatouage sur son avant-bras gauche. Je peux me dire mal gâtée dans la vie à cause de mon père, ce dernier était violent envers ma mère et moi-même lorsqu’il était encore à la maison. J’ai souvent visité St Mangouste à cause de lui, soit pour un bras cassé ou une jambe cassée. J’ai aussi subie le syndrome du bébé brassé, sans séquelles par chance. La seule que j’ai étant une douleur au cou qui me prend en hiver et un problème à la jambe droite qui m’empêche de courir longtemps et qui me force à m’arrêter souvent dans les marches à cause de la douleur. Mais par chance pour moi, mon père fut forcée de quitter la maison lorsque ma mère exigea le divorce lors de mes 4 ans et obtenant une injonction contre lui. Mon père, Horace Johnason Robert Roland Sanshara, promit à ma mère de nous tuer un de ces jours elle et moi dans d’atroces douleurs.

Je me rappelle que ma mère en n’a pleuré en l’entendant et qu’elle pleurait souvent la nuit par peur que mon père revienne vraiment. Elle était toujours sur ses gardes et sursautait au moindre petit bruit. La nuit j’allais souvent la rejoindre pour la consoler. À 4 ans je savais à peine parler, alors je ne lui parlais pas beaucoup dans ses situations là. Mais après le départ de mon père et vu l’état de ma mère je me suis forcée à travailler ce petit défaut et aussi je me suis forcée à devenir plus forte. J’ai toujours protégée ma mère depuis le menaçant départ de mon père. Mais par chance pour nous, nous avions des amis sorciers qui venaient souvent prendre des nouvelles de nous deux et lorsque je fis preuve de sang magique ces mêmes amis proposèrent à ma mère de me prendre avec eux pour m’encadrer et m’aider. J’avais alors 7 ans. Ma mère accepta, mais moi je refusai catégoriquement de quitter ma précieusement mère si fragile et délicate.

J'avais peut-être seulement 7 petites chandelles, mais je voyais bien que la santé de ma mère était alarmante. En moins de 3 ans elle avait perdue au moins 100 livres, elle pesait 200 livres au départ, et était rendue tellement mince qu’on voyait la plupart des os de son corps… Elle tombait souvent malade et récemment on lui avait décelé une sorte de maladie incurable. À l’époque j’ignorais ce qu’était un cancer du cerveau, mais j’en n’ai vue et vécue mentalement les effets lorsque l’état de ma mère se mit à dégrader dangereusement. Je tentais de faire de mon mieux pour me ma maman aille mieux, mais peu importe ce que je faisais sont état allait de pire en pire. Ma mère était une croyante catholique alors je priais Dieu tous les jours, mais même cela n’aidait pas ma mère. Le bon Dieu laissait ma mère souffrir le martyr et les médecins ne faisait rien pour aider ma mère, ni même nos soit disant amis. J’ai gardée de ces évènements une rancune dont je n’arrive pas à me débarrasser et qui m’empoisonnent la vie.

Je me rappelle aussi que nos sois disant amis m’amenaient souvent chez eux pour m’éloigner de la souffrance de ma mère, ce qui me mettait dans des colères noires. Mais je suis le genre de fille qui rend les coups qu’on lui porte alors s’était l’enfer chez eux, j’étais une petite boule d’énergie qui n’arrêtait pas de faire des mauvais coups. Je me rappelle avoir assommée une de nos amies avec sa poêle. Encore aujourd’hui quand on me conte une histoire d’horreur et que j’ai peur durant la nuit, je garde une poêle près de moi et je n’hésite pas à frapper quand on s’approche de moi, sauf qu’ici je ne peux pas avoir ma poêle de sécurité… alors je garde ma baguette près de moi. Suis-je folle? On me le demande très souvent et je réponds toujours que oui, même si en réalité je l’ignore.

Alors, comme je le disais, j’ai fait vivre à nos amis les pires coups et les pires colères que j’ai eus de mon existence, même si je leur dois sans doute ma peau. Cet évènement est encore tout frais dans mon esprit. S’était en automne, je venais à peine d’avoir mes 8 bâtons et j’avais passé mon anniversaire chez nos amis. Je me rappelle que s’était la nuit et que le vent soufflait fort, si fort qu’on l’entendait clairement siffler à l’intérieur de la maison. Nos amis avaient transplané avec moi à l’intérieur, il n’y avait plus de lumière et plus aucun bruit dans la maison, ce qui n’était pas normal. J’en fis par aux personnes qui m’accompagnaient et ceux-ci me dirent de rester avec les deux aînés alors que les 2 autres allaient voir si ma mère allaient bien. La dernière chose dont je me rappelle ce fut le cri de Roger nous disant de transplaner puis une sorte de lumière verdâtre et on transplanait. J’apprenais le lendemain que ma mère et nos amis étaient morts tués par un avada. Kate et Ronald McGill mon alors adoptés. Je ne me suis jamais réellement remise de cette soirée, j’en fais encore souvent des cauchemars, me réveillant presque en criant et les larmes coulant sur les joues. Parfois lorsque je m’endors en histoire de la magie je fais aussi se cauchemar, mais me réveille seulement en sursaut.

Mes parents adoptifs non jamais voulut me dire qui avait tué ma mère, mais j’ai déjà un petit doute la dessus. Seulement je ne sais pas si mes parents adoptifs ne le disent pas car ils font semblant de l’ignorer ou tout simplement car ils l’ignorent vraiment. Après tout, peut-être cherchent-ils seulement à éviter de me faire souffrir. Mais cela n’aura pas suffi à me protéger… Pour ça, durant les années, j’ai appris à mentir et à jouer la comédie avec les gens en qui je n’avais pas confiance et que je n’aimais pas. M’étant renfermée, je suis devenue principalement solitaire et en devenant solitaire, je me suis tournée vers les livres de potions et de métamorphoses de mes parents d’adoptions. Rapidement je me suis fascinée pour les potions et la métamorphose, mais surtout les potions. J’ai demandée à ma mère, qui est professeur de potion en étude supérieur, de m’apprendre les bases ce qu’elle fit durant 2 ans.
Mais ma seule passion n’était pas les potions mais aussi le vol sur balais. On me trouva vite un don naturel pour le vol sur balais, comme si j’étais née avec un dans les mains. J’ai suivie des cours et fait partie d’une équipe junior jusqu’à un accident qui m’acheva pratiquement la jambe droite. Les magicomages me dire que je devais oublier la carrière professionnelle car sinon j’allais définitivement achever ma jambe. Je m’étais blessée assez gravement à la rotule en fait, j’ai oubliée comment par exemple. Je ne me rappel seulement que s’était un joueur de l’équipe adverse qui m’avais foncé dessus et que j’avais réussi à trouver le moyen de m’empaler la jambe… Faut dire que j’ai passée près d’une semaine dans les vapes aussi… Alors lorsque la lettre de Poudlard arriva à la maison, je savais très bien que je devais faire une croix sur l’équipe, même si je me dis que lors de ma dernière année je m’inscrirais pour passer au moins une bonne année.

Au moins une bonne? Eh bien oui… Faut dire que je suis assez grande pour mon âge, au moins les 1m75, et qu’en plus je boite parfois de façon assez marquante de la jambe droite à cause de mon accident. On me donne des surnoms assez mesquins et cruels, mais je n’y fait pas attention. Tout ce que font ces noms c’est me renfermer et me rendre encore plus froide. Je me concentre juste sur mes études et mes devoirs, passant peu de temps avec les autres élèves. Les noms que je connais je peux les compter sur mes deux mains, et ceux qui sont mes vrais amis sur une main je pense bien. Mais ce n’est pas parce que je suis sérieuse en étude que je n’aime pas faire de mauvais coup! Ceux qui m’en font en bave après car je suis assez rusé pour me venger sans me faire accuser, la plupart du temps. Je suis assez calculatrice aussi, peut-être que c’est le temps et tout ce qu’il m’a fait subir qui me fait calculer la moindre de mes décisions? Mais s’est une caractéristique que j’aime bien car elle m’est assez utile en potion.
Je ne suis pas de ces élèves super populaire, mais plus de ceux qui longe les murs car ils sont les cibles des moqueries. Je déteste ça, mais lorsque j’en suis la cible je m’en fiche comme en l’an 40, mais lorsque c’est les autres, et surtout de ma maison, alors je n’arrive plus à me contenir. Je dois faire attention car je pourrais bien lasser un sort que je regretterais après. Malgré ma solitude, je suis très ouverte et compréhensible, malgré que toutes les moqueries des élèves et mon enfance me font tourner vers l’obscurité. Mes parents adoptifs ne mon jamais vraiment encouragés, sans doute étaient-ils déçus que je fus envoyée dans la même maison que mon géniteur. En fait, jamais personne ne m’a réellement encouragé à part mon entraineur de quidditch, avant mon accident bien sûr. Cela peut paraître enfantin, mais j’espère qu’un jour quelqu’un me tendra la main pour me sortir des ténèbres dans lesquels je plonge.

De plus en plus j’entends parler d’un certain mage noir, au nom imprononçable pour moi et cela fait un bon moment que j’ai arrêtée d’essayer de le dire, et de ces idées. D’un côté elles me révoltent, mais de l’autre la magie noire m’attire de plus en plus… Je n’aime pas la guerre, ni la souffrance qu’elle peut encourir, mais je ne suis pas de celles qui portent un jugement sur les « à ce qu’on dit ». Mon père était mangemort, alors logiquement je devrais tous les détester, mais une part de moi n’y arrive pas vraiment. J’ignore qui ils sont, peut-être qu’un élève de ma maison en fait partie ou même un de mes amis! Alors je suis plutôt neutre sur leur jugement, même si je n’approuve pas leurs gestes et leurs motivations. Je me sens coupable de souhaiter la mort de certaines personnes dans cette guerre, même si elles me cherchent vraiment des entourloupes. En claire; je ne suis pas une référence sur ce qui est d’avoir un jugement sur cette guerre. Je déteste un mangemort, mais je ne pense pas qu’ils soient tous pareille et s’est sans doute cette pensée qui influence mon jugement… Je suis peut-être un petit peu trop sot… Sotte, mais au moins j’ai la joie de vivre et je profite de chaque instant. J’aime profiter de la vie avec les autres lorsque la chance me la donne.

Mais mettons de côté tout ça! C’est une nouvelle année qui commence et elle sera surement merveilleuse… enfin, je l’espère car après tout, avec toutes ces rumeurs on ne peut qu’être méfiants non? Même si je me méfie déjà de la plupart des gens. Ça m’aidera pas à faire de beaux rêves tout ça…

Avant que j'oublie, pour ma baguette, c'est une tradition familiale de mes faux parents que de faire affaire avec un autre vendeur qu'Ollivender. C'est comme ça que je me suis retrouvée avec un drôle de composant de baguette...
Je suis souvent obligée de me rendre à l'infirmerie à cause de ma jambe droite dont la rotule ne cesse de se déplacer lorsque je tombe ou que je lui en demande trop. Je réagis assez mal aux potions de soin, c'est comme une sorte d'allergie ou d'intolérance. Elles sont comme inefficaces sur moi. Je n'en ressens aucun effet.

Tu portes le doux prénom de Ari et tu as vécu 15 merveilleux printemps. Tes passes temps favoris sont : l'écriture, la lecture et le dessin, j'adore étudier les sciences, principalement la chimie, comparable aux potions xD.
De plus tu as connu le forum grâce à mon ami google ^^.
Un commentaire a apporter sur le forum ? Ce forum à l'air super, j'adore le contexte..