Mon histoire… Je pourrais presque en écrire un livre, mais à quoi bon ? Il ne raconterait rien de passionnant, seulement une grande douleur et une immense solitude enfouis au plus profond de moi. Je crois que pour commencer, il faut que je vous présente ma famille… Commençons par ma mère, elle s’appelait Rose, une très bonne sorcière, elle avait étudié à l’école de magie Poudlard, en tant que Serpentard. A la fin de ses études, elle fit le tour du monde ou elle rencontra mon père en Roumanie, précisément au fin-fond de la Transylvanie. D’ailleurs parlons un peu de mon père, un très grand homme, il n’était pas sorcier lui, un simple vampire pour tout dire, si vous préfère un simple buveur de sang moldus. Ma mère tomba follement amoureuse au premier regard, surement influencer par le coter vampirique de mon père. Mais cela ne lui déplaisais pas, il la trouvait séduisant et c’est avec elle qu’il voulait vivre éternellement. Sur ceux ma mère lui demanda de lui laisser encore quelques année en tant que humaine avant d’être transformer, mon père accepta tout de suite sa requête. Mais quelque chose dut interrompre tous leur plan…. Moi ! Ma mère n’eut aucun signe de grossesse, et ne grossit à peine… Alors ce fut un miracle pour elle d’apprendre du jour au lendemain qu’allait devenir mère. Malheureusement c’est en me donnant la vie, qu’elle perdit la sienne… Mon père ne put rien faire et je crois qu’il m’en voudra à jamais d’avoir pris la vie de sa bien-aimée, en quelque sorte. Mon père ne posa jamais les yeux sur moi, ne pris jamais dans ses bras et laissa ses domestiques me nourrir de sang humain. Car oui, j’avais de petite canine vampirique et une peau délicatement blanche avec de grands yeux bleus.

Quand j’eus cinq ans, mon premier signe de magie apparut par magie comme un miracle. Mon père qui me croyait simplement un vampire fut surpris de me voir sorcier à moitié. Pris de panique à mon grand regret, il m’envoya immédiatement en Angleterre chez mon oncle et ma tante… Ah oui, j’ai oublié de dire ma mère avait une sœur, plus âgée qu’elle, deux sorciers bien évidement. Sur le coup ils eurent beaucoup peur de moi, peur à mon avis que je les dévore. Mais au fils des années ils apprirent à me faire confiance et à me donner le sang humain qu’envoyer mon père chaque semaine par hiboux. D’un coter c’est tout ce que j’avais de mon père, pas de cadeau de sa part à Noël et pas de carte d’anniversaire, même pas une minuscule lettre de sa part. Heureusement que mon oncle et ma tante étaient là, ils m’apprirent tout ce que je devais savoir sur la magie, noir pour être plus précis. Ils furent fous de joie quand ils su que j’étais reçue à l’école Poudlard, mais très vite ils se posèrent des questions sur mon côté vampirique. Sur le coup, ils se mirent à envoyer des tonnes et des tonnes de lettre à mon pères pour en savoir plus sur les vampires, de plus ils achetèrent plein de livre sur les vampires, bien sur la plus part des informations trouver dans les livres étaient des mensonges. Et pour finir ils prirent rendez-vous avec le directeur de l’école pour parler de mon cas vampirique.

Ce fus à mon gout, un miracle que je sois vraiment admis à Poudlard, j’eu du mal à le croire jusqu’à ce que je monte dans ce fameux train qui m’emmener là-bas. Par contre à l’école je devais uniquement me nourrir de sang d’animal et seulement de ça, pas de sang humain en aucune sorte. Une semaine après avoir posé ce chapeau magique sur la tête et avoir sue que ma maison était Serpentard, que mon père m’envoya des lettres. Il ne me disait pas grand-chose, ces lettres étaient courtes et j’en recevais une par mois. Il me parlait de ma mère, de la magie et des vampires. J’étais tellement heureux d’en apprendre plus sur ma tendre mère, dont j’avais volé la vie. Le cours de Soins aux créatures magiques était mon préférer parmi tous les cours se trouvant à Poudlard, j’adorais savoir que je n’étais pas le seul monstre sur terre en quelque sorte. Par ailleurs, personne ne savait ma véritable identité à part le directeur et quelques professeurs, ainsi bien sûr que l’infirmière. Ce fut un véritable miracle que je puisse passer mes sept année sans que personne, enfin aucun élèves ne découvre mon coter vampirique.

A Poudlard je n’eus qu’un ami, un seul avec qui je me confiais et qui sut ma véritable identité. Il était à Gryffondor et moi à Serpentard, cela ne changea rien à notre relation. On se retrouvait souvent à la bibliothèque, il m’aidait beaucoup au niveau des cours. Il savait tout de même et au final je ne savais pas tout sur lui, il se cachait même avec moi, mais bon je ne lui en voulais. Il m’avait toujours bien conseillé, a ses coter je me sentais plus humain et moins monstrueux, je crois que même à la fin je finissais par aimer le sang d’animaux qui au départ me dégoutait. Il était le seul à voir mon coter gentil, il me répétait souvent : « Tu nage c’est vrais dans la magie noir mais on te force alors laisse-moi te faire découvrir la magie blanche. » J’étais guider par chacun de ses pas, je lui faisais totalement confiance… Je crois qu’à la fin l’amitié c’était mélanger à l’amour au fond de mon cœur…

Les années passaient et le mal envahissait le pays, un nom résonnait dans la tête des gens, une personne qui réussit à faire déplacer mon père de Roumanie jusqu’en Angleterre. Mon père adorant faire souffrir les gens, fut très vite l’un des serviteurs de ce mage noire. Bizarrement sur le coup, je n’eus qu’une idée en tête faire honneur à mon père, lui montrer à quel point je pensais à lui et que je voulais surtout me racheter coute que coute. Alors en prenant le courage à deux mains, je devenu moi aussi un Mangemort, ainsi je me vue à moitié pardonnez dans les yeux de mon père tellement si froid, que cela faisait presque peur de voir un peu de tendresse en lui. Bien sûr j’étais habituer à la magie noire, j’étais en quelques sorte né dedans, mais bizarrement je me sentais nullement à l’aise de suivre les ordres de quelqu’un d’aussi maléfique. Mais je m’étais résolue à faire ce qu’il me demandait pour mon père, pour voir ma faute complètement pardonner et peut être l’entendre un jour dire que je suis son fils.


- Albus !

- Alejandro !

Les deux hommes se prirent dans les bras, échangent un câlin amical. Tous deux avaient un sourire aux lèvres, ils assirent en ne se quittant pas des yeux, toujours ce grand sourire aux lèvres. Ils se regardèrent quelques instants sans rien dire, tellement heureux de se revoir. Le temps étaient passé et pourtant ils avaient encore en tête leurs fous-rire comme si il datait d’hier. Le temps avait bel et bien passé, Albus avait vieillis, beaucoup plus qu’Alejandro ce qui était tout à fait normal. Albus défendais le bien et Alejandro c’était mis du côté des méchants pour voir son père et espérais être enfin traité comme son propre fils. Et pour finir Albus était devenue le directeur de Poudlard et Alejandro… Et bien notre hybride, ne faisait rien… Rien ne l’intéressait et puis le chômage à faire on s’ennuie, à tourner en rond chez soi. A ne rien faire de ces jours, on finit par penser, réfléchir au passé… Et Alejandro avait beaucoup repensé à Poudlard, à son seul ami Albus et à ses cours de Soins aux créatures magiques. Voilà pourquoi sa soudaine envie de revoir Albus et de revenir à Poudlard, il voulait lui parler d’une chose qui lui tenait réellement à cœur, mais il craignait que le directeur de l’école ne sois d’accord malgré leurs amitié.

- Tu veux un bonbon aux citrons ?

- Hein ?

Alejandro sortirent dans ces pensées, à force de regarder son ami, il repensait à tous leurs moments ensemble et surtout à sa dernière année où il se rendit compte de son attirance pour Albus… Mais trêve de bavardage sur les relations amoureuse de notre hybride et de son côté bisexuel et revenons à la conversation du jour.

- Non ça va aller…. Merci Albus

- Tu préfères les sucettes parfumées au sang de chez Honeydukes ? Dit-il les yeux remplie de malice

Alejandro sourit en entendant, il rigola légèrement et lui fit un signe de tête que oui. Il était heureux qu’Albus ami n’ai pas oublié les gourmandises préférer de son ami. D’ailleurs il lui tendit une de ses sucettes en souriant, ils échangèrent un regard complice.

- Tu n’as pas oublié mes gouts à ce que je vois mon chère Albus.

- Je crois que je ne pourrais jamais les gouts d’un ami tels que toi.

- C’est vrais que je ne suis… Pas commun comme ami…

- C’est juste, mais quel importance à près tout ? Je te connais et je sais toute la gentillesse qu’il y a en toi.

Alejandro baissa les yeux, un doux sourire aux lèvres qu’on dirait qu’il essayait de cacher à son ami. Il mit la sucette dans sa bouche, la savourant, voilà bien longtemps qu’il n’en avait pas mangée. Il n’aurait presque oublié ce doux gout sucré qu’on ne trouve nulle part ailleurs. Il releva la tête vers on amis, se disant qu’il avait suffisamment parlé de friandise et qu’il était de se dire tout cash.

- Albus il faut que je te parle de quelque chose…

- Je t’écoute mon cher ami.

Alejandro lui raconta tout, sans oublier aucun détail… Il lui parla de son chômage, de son père et aussi du fait qu’il était un Mangemort. Tout au long de la conversation, l’homme avait les larmes aux yeux, il laissa une larme coulait le long de sa joue gauche quand il eut terminé, baissant la tête ne voulant voir la réaction de son amis en prononçant ces derniers mots :

- J’aimerais… Si cela est possible… Devenir le nouveau professeur de Soins aux Créatures Magiques.

Alejandro se mordit les lèvres, laissant une dernière larme coulais sur sa joue, toujours la gauche étrangement. Entre ses doigts le bâtons de sa sucette qu’il avait eu le temps de finir tout au long de son discours. Il se leva d’un coup, ne voulant pas écouter la réponse de son ami… Ami ? Sur le coup il se dit qu’il l’avait perdu, après tout ce qu’il lui avait révéler. Mais le directeur de Poudlard l’arrêta net, simplement en murmurant le prénom de son ami. Un doux murmure qui voulait tant dire et qui en même temps n’avait aucun sens. Notre hybride se tourna, regardant à peine Albus qui lui faisait signe de revenir s’asseoir, ce qu’il fit tels un animal obéissant.

- Alejandro… Mon cher ami, tu n’aies pas un monstre, je te connais mieux que personne. Je sais que tu ne ferais aucun mal à ses élèves, aux professeurs et personnel de Poudlard, ainsi qu’à moi… Tu n’as jamais tué personne, je le sais…. Au faite te rappel tu de notre rencontre ?

- Heu… Oui, mais je ne vo…

- Je m’en souviendrais toujours… J’ai tout de suite détecté sa gentillesse en vers les autres ! Je sais à quel point tu à envie d’enseigner, à quel point tu veux apprendre quelque chose à ses enfants, quelque chose qui ne soit pas lier a la magie noir. Je sais aussi que tu es Mangemort pour ton père, tu l’aime énormément et tu as toujours voulu qu’il t’appelle par ton prénom. Et pour finir je sais que tu ne tueras jamais personne et que tu préférer plutôt fuir que de tuer… Je me trompe ?

Alejandro resta silencieux, les yeux perdu dans ceux de son ami qui le comprenait si bien. S’il n’était pas aussi têtu, il aurait surement encore versé une larme devant Albus, mais bon il se dit qu’il avait bien assez pleuré pour aujourd’hui. Pour lui répondre il lui fit signe de la tête que oui, puis sans rien dire le directeur de Poudlard lui tendis une autre sucette et quand Alejandro la prit, il dit d'une voix neutre :


- Si je renonce à mon rôle de Mangemort, m'acceptera tu comme professeur malgré le passé ?

- Tu c'est que sa veut dire couper les liens avec ton père ?

- Tu ma apporter beaucoup plus que mon père... Alors je peut renoncer pour toi et surtout pour pouvoir vivre une vie meilleur... Pas en tant que vampire mais en tant que professeur travaillant et uniquement pour le bien.

Alejandro prit la main de son ami, en se disant que si il était plus jeune, il l'aurais surement embrasser... A cette pensé notre hybride rougit doucement, baisant la tête pour le cacher et la releva soudaine en entendant Albus dire :

- Bienvenue à Poudlard Professeur Porzellan

Alejandro eut du mal à y croire, il regard son ami, les yeux comme des balles de ping-pong, il eut du mit du temps avant de réagir et dire avec un énorme sourire aux lèvres :

- Merci beaucoup Monsieur le Directeur.

Chapitre 3 : Mon Futur

Je ne peux pas écrire ce chapitre… Pourquoi vous me demandez ? Car pour l’écrire, il me faut votre aide ! C’est en votre en compagnie que j’écrirais la suite de mon histoire et j’espère qu’elle sera longue et joyeuse !