✎ Nom : Wilson.
✎ Prénoms : Miles Zacharias.
✎ Date de naissance : 12/04/1959
✎ Age : 17 ans.
✎ Pays de naissance : Angleterre.
✎ Sang : Sang-mêlé.
✎ Ville d'habitation : Bradford, zone urbaine.
✎ Baguette : Bois d'Aubépine, Crin de Licorne, souple. 26 centimètres.
✎ Camp : Volontairement neutre. Il préfère rester en arrière, bien qu'il n'aidera jamais un mangemort. Disons qu'il penche vers l'Ordre, mais qu'il est très en retrait.
✎ Épouvantard : La mort de son frère et de sa mère.

La première chose que l'on aurait le droit de se demander en te rencontrant, c'est d'où te viens ce sourire constamment présent sur ton visage. Si pour certains les rires sont rares et n'offrent que rarement un mouvement sur leurs lèvres, c'est enfantin pour toi. Tu penses naïvement que la meilleure méthode pour apaiser les troubles des autres et de supporter les tiens et d'offrir ton plus beau sourire. Tu sembles, au premier abord, incapable de montrer quelque chose qui ressemblerait de près ou de loin à de la tristesse. Tu offres ta bonne humeur à tous ceux que tu rencontres, et même lorsque tu préférerais étrangler le personne devant toi au lieu de lui parler, tu te contentes d'un horrible faux sourire rempli de sous-entendus sur la façon dont tu te mets en scène leur souffrance. Pour cette raison, Miles, tu est peut-être le meilleur menteur présent dans ton entourage. Qui sait.

Bien que tu aies tendance, comme tous les adolescents, à agir en fonction de tes émotions, tu n'en restes pas moins quelqu'un de très réfléchi et qui tourne cinq fois sa langue dans sa bouche avant de parler. Du moins, lors des moments importants. Si pour toi l'intelligence est un outil qui peut te permettre d'arriver à t'assurer une vie paisible, tu ne seras jamais contre la lecture d'un bon livre au coin du feu. Tout t'intéresse. Que ce soit les longues théories philosophiques ou les théorèmes complexes, tout te passionne du moment que cela a un intérêt quelconque. Pour un garçon venant d'un milieu social relativement bas, l'accès total à une bibliothèque remplie de milles et uns savoir est pour toi une vraie merveille. Tu es peut-être le seul à apprécier les cours d'histoire de la magie, là où tes camarades s'endorment au bout de quelques secondes. Néanmoins, fainéant comme tu es, tu préférerais largement reporter tes cours à un moment lointain. Inconnu, dans un espace temps quelconque, mais assez loin. En un sorte, tu es un paresseux qui préfère faire marcher ses méninges plutôt que ses muscles. Reconnaissons-toi là une petite qualité.

Beaucoup se sont mordus les doigts en croyant voir en ton pathétique être une victime facile à martyriser à cause de ton frêle physique. La seule raison pour laquelle on te laisse relativement tranquille, c'est ta répartie acide et bien maîtrisée. Tu sais quels mots utiliser à quel moment. Ce sarcasme désagréable est ta seul arme avec ta baguette et tu t'en sers dans la vie de tout les jours pour prouver un point ou encore pour essayer de faire ressortir les anormalités quotidiennes qui te pourrissent l'existence. Tes mots seront toujours secs et iront droit au bout envers ceux que tu méprises, mais tu sauras t'apaiser lorsqu'il s'agira de quelqu'un qui t'es cher. On peut voir cela comme de la franchise. Mais néanmoins, tu es intransigeant et tu n'hésiteras pas à cracher ce que tu penses, quelles qu'en soient les conséquences. Cela t'amène souvent plus d'ennuis que de bonheur, mais tu fais avec en roulant des yeux, même si une brute t'as déboité le bras.

Lorsque tu as une idée en tête, tu n'en démords pas. Du moins, si tu es persuadé, avec preuves, recherches et témoignages que tu es dans le vrai. Car certes, si tu es bien trop borné pour un être humain normal, tu sais toutefois être méticuleux avant de te positionner sur un sujet particulier. Tu préfères réfléchir avant d'agir, et cela t'as toujours porter chance. Mais une fois que tu es sûr d'avoir raison ? C'est fini, et essayer de te convaincre de l'inverse est devenu mission impossible, même pour le plus talentueux des manipulateurs. Mais malgré tout, tu n'es pas non plus un idiot, et il t'arrive de changer d'avis si quelque chose d’important le provoque. Il a tout de même fallu la mort de ton père pour que tu admettes que tu l'appréciais, malgré ses erreurs.

C'est peut-être là ton plus gros défaut, celui que l'on ne te soupçonnerait pas. Tu ne sais pas pardonner, ou du moins tu ne le sais plus. Tu as oublié après des heures passées sous la pluie à attendre la réalisation de fausses promesses. Lorsque l'on te mord, tu mord plus fort et jusqu'à fortement blesser ton ennemi. Malgré ta sagesse apparente, tu es encore un adolescent qui doit apprendre à faire avec les blessures de la vie, et quelque part, tu n'es pas encore prêt à les laisser derrière toi. Peut-être qu'un jour, tu sauras faire face, mais tu préfères te cacher derrière un sourire et de bons résultats scolaires pour ne pas voir la poussière qui traîne. Il est presque impossible de récupérer ta confiance une fois perdue. La méfiance est ton maître mot, malgré ton air sympathique. Pour toi, le changement n'existe pas et seul l'apparence le peut. Peut-être as-tu raison, peut-être as-tu tort. Personne n'a encore trouvé la réponse, après tout ; il serait fou de s'imaginer que tu le pourrais.

Courageux ou idiot, il paraît difficile de se faire un avis sur cet aspect de ta personnalité. Certains te diront que tu es un lâche, d'autres admettront que ta capacité à surpasser la peur qui te ronge les veines est là la véritable signification du courage.

Tu es néanmoins quelqu'un de vraisemblablement bon derrière ces défauts plus qu'humains. Générosité et sympathie sont tes plus grands atouts : tu sais te faire apprécier rapidement. Tu ne rejettes personne d'après l'apparence et tu es toujours à prêt à rencontrer de nouvelles personnes, ce qui peut-être très déconcertant lorsque l'on te rencontre. Tu offriras toujours un sourire à une nouvelle connaissance, puis tu lui parleras comme tu parlerais à un vieil ami. Bizarrement, bien que tu sois si accueillant, tu n'en restes pas moins sur tes gardes et tu n'accorderas pas immédiatement ta confiance. Ta sympathie sera donnée aussi vite que les noms échangés, mais il faudra bien plus que cela pour faire partie de tes amis.

Derrière tout cela se trouve quelqu'un d'extrêmement maladroit et qui paraîtrait doté de deux mains gauches à première vue. Tu te retrouves au sol, tu fais tomber des objets fragiles, tu dis quelque chose qu'il ne fallait pas. Tant de petites erreurs qui te font au final passer un idiot quelque peu attachant. Depuis que tu es enfant, tu sembles possédé par une malédiction qui te fais faire les actions les plus incroyablement maladroites. Tu connais d'ailleurs le sol depuis un petit bout de temps : tu le côtoies depuis si longtemps maintenant que tu ne t'étonnes même plus lorsque tu t'y écrase. Pour donner une idée, tu serais capable de faire exploser une cuisine avec une chaussure. Et le pire, c'est que tu l'as réellement fait (au malheur de ta pauvre mère qui dût réparé tes erreurs et te soigner lorsque tu avais l'ingénieuse idée d'aller embêter des animaux).

Deux grands yeux bleus océans fixent le monde avec une étincelle pétillante de curiosité. Tes prunelles semblent ne jamais être rassasiées de l'univers incroyable et magique qui t'entoure. Ta peau est étrangement pâle, peut-être car tu as toujours préféré l'obscurité rassurante de la bibliothèque par rapport à la lumière éblouissante du soleil. Un nez épaté et fin se trouve au milieu de ta frimousse aux pommettes saillantes. Ton visage, ovale, paraît encore plongé dans l'enfance et beaucoup sont surpris en apprenant ton âge. Une touffe de cheveux ébènes courts s'étend jusqu'à tes oreilles décollées. Tes lèvres pleines et roses s'étirent bien souvent en un sourire plein de dents blanches.

Au sujet de ta physionomie, on peut dire que tu as plus de ressemblance avec la crevette qu'avec un singe. Un frêle physique qui, néanmoins, n'importe pas tant que ça dans les duels sorciers, mais qui t'as rapporté beaucoup d'hématomes durant ton enfance, malgré la protection rapprochée de ton frère ainé. Tu es plutôt grand pour ton âge, ce qui ne fais qu'aggraver la fragilité de ton corps. Question muscle, tu n'es absolument pas quelqu'un qui fait attention à ce genre de choses. Très souvent, tu négliges ton apparence et tu préfères de loin dormir un peu plus le matin plutôt que de passer une vingtaine de minutes à te coiffer à l'aube. On te compare d'ailleurs souvent à un zombie, et c'est vraiment compréhensible. Tu n'as jamais porté d'importance à ce que les autres pensent de toi, après tout.

Généralement, tu te contentes d'habits simples et peu colorés ; tu préfères être invisible dans les foules, du moins autant qu'un sorcier peut-être discret. Tu ne te sépares jamais de ton écharpe fétiche, qu'elle soit rouge ou bleue. Selon les rumeurs qui passeraient dans ta maison, elle serait enchantée. Après, personne n'a pu encore le confirmer. Très souvent, tu te contentes d'une veste sombre lorsque tu peux te séparer de ta robe de sorcier.

« We're born alone, we live alone, we die alone. »

Tu nais durant une fraîche soirée d'avril, sous une demie-lune dans un petit hôpital de la ville de Bradford, en Angleterre. Ta mère, une femme courageuse et fébrile en cette journée de ta naissance, pleure toutes les larmes de son corps lorsque ton cri perce pour la première fois l'air. Oh, elle a déjà donné la vie auparavant, mais cette expérience inimitable la laisse pantoise et silencieuse, incapable d'exprimer autre chose que des émotions brouillées. Tu es un enfant frêle et fragile, un peu trop maigre, mais ce n'est que trop normal pour un nourrisson de ton époque. Même si ta génitrice était et est toujours boulangère, ces années ne laissaient qu'une quantité modérée de nourriture à la classe moyenne. Tu étais si petit et si insignifiant qu'il fallait faire attention à ne pas briser tes petits bras potelés lorsque l'on te portait.

Tu es né dans un milieu relativement sympathique pour l'époque. Cadet d'un frère neuf ans plus âgé que toi, tu es pouponné et protégé dès ta plus petite enfance, ce qui résultera probablement très longtemps par une faiblesse musculaire évidente. Ton ainé, Alexander, te voit comme un trésor à défendre contre toutes les menaces possibles. Si, certes, la magie est omniprésente dans ta famille, tu ne connaîtra vraiment son existence qu'à ta cinquième année, là où les premiers signes de la présence de sorcellerie chez toi se feront clairs (ta mère se souviendrait toujours de la couleur bleuté de tes cheveux ce jour-là). Pourtant, ton ainé est déjà étudiant à Poudlard depuis plusieurs années, mais tu restes dans l'ignorance la plus complète jusqu'à ce moment précis.

Ton enfance se passe relativement bien, couvé et entouré par les chaudes couvertures et pâtisseries que t'offrent ta mère. Tu es un enfant rapide et ingénieux, qui apprend à se débrouiller seul très vite et à fabriquer des petits systèmes pour se simplifier la vie. Très vite, on te laisse marcher sans compagnie dans les grandes et menaçantes rues de la ville anglaise. Tu es, au grand dam de tes parents, silencieux et introverti. Tu préfères la compagnie d'épais ouvrages poussiéreux aux rires gras et aux coups de tes camarades. Quelque part, ta gentillesse naïve te voue à une existence plutôt solitaire malgré ta joie de vivre. Tu es un paradoxe ambulant qui étonne à chaque fois, et tes yeux bleus pétillent lorsque tu découvres à chaque fois quelque chose de nouveau.

Mais tu le sais, si jeune, que tu tu déçois ton paternel. Cet homme robuste et calme qui te fixe d'un regard vert glacé te terrifie, déjà à cet âge. Tu détestes la façon qu'il a de te donner l'impression d'être un moins que rien, et son absence ne fait qu'empirer le nœud qui se trouve dans ta gorge. Déjà si petit et tu demandes à ton frère la raison de ce mépris qu'il t'offre. Étrangement, il ne peut pas te répondre et se contente d'ébouriffer tes cheveux. Tu te demanderas toujours si il ne le savait pas déjà, et tu avais raison.


« A sibling may be the keeper of one's identity, the only person with the keys to one's unfettered, more fundamental self. »

Le fragile être que étais est devenu un grand garçon. Tu es enthousiaste à l'idée de rentrer dans deux ans à Poudlard. Lorsque ton frère rit en te voyant fixer le mur du quai neuf trois quart, tu gonfles tes joues. Tu es passionné par les livres scolaires qu'il te donne une fois son année passée, bien que tu ne puisses pas encore t'exercer. Après avoir aidé ta mère à tenir la boutique durant la journée, tu cours t'enfermer dans les bouquins durant la nuit. Ton enfance est faite de chaleur et de froideur, un étrange mélange qui s'explique par les comportements opposés de ton père et de ta génitrice. Tes mots sont trop matures pour ton temps d'existence et l'amertume dans tes yeux effraie ta mère.

Tu ne comprends pas cette colère dans les yeux de ton géniteur, cette façon qu'il a de t'ignorer comme un petit animal pathétique. Tes pleurs sont étouffés par la douceur de ton frère et la douleur qui s’immisce dans ton cœur est trop vicieuse pour être soignée ainsi. A neuf ans, tu es connu par tous les clients de la petite boulangerie et, malgré tes questions pressantes, personne ne te répond lorsque tu oses demander la raison de cette haine vers toi. Ce trou, ce manque de considération te hante et tu ne peux pas résister à ton envie de pleurer lorsqu'il ignore encore une fois tes bons résultats à l'école. Alors tu tentes de progresser, tu prends du temps, tu te cultives. Et quelque part, tu comprends. Tu comprends que rien ne pourra vraiment le satisfaire, car ce mépris vient de quelque chose que tu ne peux pas contrôler. Admettre cela te coûtera plus, mentalement, que ce que tu aurais bien voulu croire.

Tu apprends en fouillant dans le grenier que tu avais un deuxième frère. Ethan Lucius Wilson, de quatre ans ton ainé. Celui-ci était mort durant sa deuxième année, suite à des complications médicales. Et tu comprends, si jeune mais pourtant si misérablement brillant. Tu sais dorénavant ce que ton paternel cherche lorsque ses yeux rencontrent les tiens ; il te compare, se demande si ce frère disparu n'aurait pas été plus doué que toi. Il regrette la mort de celui qui était son fils et pense que l'individu devant lui, Miles, n'en est qu'une pâle copie plus fragile et décevante. Ce jour-là, tu ne pleures même pas, tu ne laisses pas échapper un signe de tristesse et tu soupires, comprenant enfin que tout tes efforts ne seront jamais suffisant pour combler le vide laissé par la mort de cet enfant que tu n'as jamais connu.

Dorénavant, tu te montres plus distant envers ta famille. Cette sensation de n'être là que pour boucher un trou te ronge de l'intérieur et même si tu n'as que onze ans, tu es pressé de pouvoir t'en aller à Poudlard, là où tes soucis seront rapidement oubliés. Parfois, tu te demandes morbidement si ta naissance n'est que le fruit de la fin d'un autre. Tu évites le regard désolé de ton frère ainé et tu lui craches tes reproches à la figure pendant que tes parents ne regardent pas. Tu sais qu'il était au courant, et, quelque part, il est tout aussi méprisable qu'eux. Tu ne sais plus si l'amour fraternel qu'il te porte n'est qu'une façon de se racheter pour la mort d'Ethan. Ce nom laisse un goût amer dans ta bouche et tu gardes ce secret pour toi. Tu ne sais même plus si ton existence n'est qu'une imitation. Tu en viens à t'imaginer, comme ton père, qui aurait été ce frère aux yeux bleus et aux cheveux identiques au tiens, selon Alex.

Ces paroles, ces mots et ce nom resteront ton poison durant des années, et te rendre à Poudlard ne changera rien à ça. Tu as treize ans quand Alex se rend directement dans l'école pour t'annoncer la mort de ton père et tu pleures comme un enfant, réalisant enfin que tu ne pouvais pas haïr un homme que tu respectais tant. Et il faut cela pour que enfin, tu réussisses à te détacher de ce que aurait pu être Ethan pour enfin devenir Miles. Pour qu'enfin, tu puisses voir les yeux de ta mère et de ton frère ainé s'illuminer devant tes exploits. Encore une fois, la mort d'un membre de ta famille t'accorde la naissance.


« Happiness is not something ready made. It comes from your own actions. »

Poudlard est peut-être le seul endroit où tu te sentis enfin à ta place, dans ton élément. Tu passes ta première années à la bibliothèque, à parcourir les étagères et à t'émerveiller devant la construction du château. Tu es un élève assidu et souriant, qui néanmoins arrive toujours, malgré une persévérance remarquable, à causer bon nombres de catastrophes. Tu te fais un certain nombre d'amis, malgré ta grande timidité avant l'évènement fatidique qui te bousculera durant ta troisième année. Tu te fonds dans la masse et tu aides les autres comme tu peux. Quelque part, tu es le bon ami envers qui l'on se retourne en cas de problème, et tu acceptes ce rôle avec enthousiasme.

Le temps passe et tu acceptes la présence rapprochée des autres. Tu arrives enfin à t'affirmer et tu maîtrises dorénavant une arme bien plus redoutable que les muscles de certains ; un sarcasme acide et sec que tu sais utiliser pour te défendre. Tu apprends à te défendre sans l'aide de ton frère, tu te fais remarquer dans certaines matières, tantôt d'une bonne façon, tantôt d'une mauvaise. Tu n'es pas si extraordinaire, mais l'on s'accroche à toi comme à une petite chose mignonne qu'il est amusant d'avoir autour.

Les évènements récents, la progression des mangemorts et les murmures au sujet d'une révolte t'inquiètent. Tu ne sais pas ce que tu es supposé faire, et malgré toute la haine que tu as pour les actions contre les nés-moldus, les propos ambigus d'Alex te laissent silencieux... Quelque part, ne sais-tu pas déjà quel camp il a rejoint ?

✎ Prénom/ pseudo : Aucun. Je suis ouverte aux surnoms =P
✎ Age : 15 ans. Oui, je suis jeune.
✎ Tes passes temps favoris sont : Sachant que je suis assez asociale, mes passes temps se résument à la lecture, aux jeux vidéos et à l'écriture. Rien de bien surprenant pour quelqu'un qui fait du rp, en somme.
✎ Tu as connu le forum ou ? Ça fait un petit bout de temps que je cherche un forum où je pourrais faire du rp sans me forcer. Disons que j'ai eu ma dose de forums élitistes froids qui m'ont poussé à arrêter d'écrire durant un petit bout de temps. Et puis j'ai eu envie de recommencer, alors j'ai été sur un top-site et ça a été le coup de foudre.
✎ Un commentaire a apporter sur le forum ? Vu que je ne le connais pas, comment pourrais-je juger :3 ? Il a l'air cool niveau codage, graphique et le scénario me plaît beaucoup.