✎ Nom : Weasley...heu non, Weas!
✎ Prénoms : Ronald Bilius...Contentez vous de Ron, d'accord?
✎ Date de naissance : 01/03/1980
✎ Age : 16ans
✎ Pays de naissance : Angleterre
✎ Sang : Pur
✎ Ville d'habitation : Loutry Ste-Chaspoule
✎ Baguette : Crin de licorne, 35 centimètres, bois de saule.
✎ Camp : Ordre du Phénix
✎ Epouvantard: Les araignées

Je ne vous mentirais pas, je suis loin d’avoir le caractère d’un héros, ma sœur et mes frères me le répètent assez souvent. Je suis une personne franche et amicale je dirais. J’avoue avoir des préjugés vite et préconçus, mais ça ne fait pas de moi un être exécrable, non ? Comparé au reste de ma famille, je demeure assez ordinaire je dirais ; je ne suis pas le meilleur au Quidditch, comme Charlie, Fred et George ont un meilleur humour que moi, Bill est plus cool que moi, Percy plus intelligent et Ginny est sans doute plus vaillante que moi. Comment puis-je me trouver des qualités en étant entourés par eux, je vous le demande ! Je suis plutôt doué pour les échecs et mettre ma meilleure amie en colère. Je suis sans doute courageux, puisque je suis chez les Gryffondors, mais ma peur des araignées m’empêche de le croire à 100%. Je suis fier, je n’aime pas que l’on me sous-estime. Je ne suis peut-être pas le garçon le plus intelligent ou le plus doué en magie, mais j’ai ma fierté et je suis très satisfait de mon niveau. J’avoue…je n’aime pas beaucoup travailler, au grand désarroi de mes parents, de mes professeurs et d’Hermione. Je suis loyal, la preuve, même en guerre contre Harry, j’ai tenté de l’aider lors de notre première année. Je suis jaloux, mais j’ai du cœur et je tiens à mes amis énormément. Je ferais tout pour eux et pour ma famille. Je déteste les personnes arrogantes, ils ont toujours tendance à vouloir me dénigrer. Il serait également véridique de dire que j’ai un caractère enflammé, souvent, mes paroles sortent de ma bouche beaucoup plus vite que mon cerveau a de temps pour réfléchir. J’aime croire qu’un jour tout ira mieux, même si visiblement, ce n’est pas sur le point d’arriver. Je ne combattrais pas les ténèbres si je n’avais pas confiance en nos chances de triompher. Je veux qu’un jour, on parle de moi comme étant Ronald Weasley, le vaillant ami du survivant qui a tout fait pour l’épauler.

La première des choses est que je suis un garçon…à l’étonnante chevelure de flammes. Eh oui, c’est héréditaire dans ma famille ! Cheveux roux exige une peau blanche avec des tas de tâches de rousseurs et, devinez quoi ? Je n’échappe pas à la règle. Un vrai Weasley ! Je suis grand, l’un des plus grand de ma famille et j’ai une bonne musculature, quoi de plus normal pour un gardien de Quidditch et pour un frère cadet de 5 autres garçons ? Je suis souvent débraillé et les professeurs, Mc Gonagall surtout, adore me critiquer sur la façon que j’ai de m’habiller. Mes yeux sont bleus profonds, comme ceux de mon père. C’est d’ailleurs la première chose que l’on remarque chez moi, après ma couleur de cheveux, bien entendu ! Mes vêtements ne sont jamais neufs, sauf ceux que ma mère tricote. Au début, j’avoue que j’en avais un peu honte, mais maintenant, je me rends compte que ce n’est pas mes vêtements qui font de moi l’homme que je suis.

Je suis le sixième fils d’une famille qui n’est pas très proche, mais qui a de l’amour à profusion. Être le sixième fils signifie plusieurs choses ; être celui qui reçoit toujours les vieux trucs des autres, être celui dont tout le monde aime bien se moquer et être le martyr de tous ses autres frères. Dans mon cas, je dois avouer que j’étais surtout le martyr de Fred et George, qui adoraient me voir fondre en larmes, effrayé par une de leurs nombreuses blagues. La vieille blague de l’ours en peluche devenu une araignée est encore bien fraiche dans ma mémoire. D’ailleurs, j’ai toujours un petit moment d’angoisse lorsque je croise le regard d’une peluche. Bref, tout ça pour dire que j’ai vécue dans une grande famille à l’intérieur d’une petite maison. Pourtant, nous avions tous chacun notre endroit pour être seul, si nous le désirions. Ma mère est une femme sévère, maniaque même parfois, mais je l’adore complètement. Elle a seulement trop tendance à me materner devant mes amis ou mes frères. Mon père est plutôt le type d’homme toujours jovial, distrait et de bonne humeur, je crois que j’ai hérité de sa personnalité de bon vivant. Depuis que je suis tout petit, je dois vivre dans l’ombre de mes frères ; ils sont tous beaucoup plus que moi dans tout. L’ajout d’une sœur de m’aida pas. Ginny est la princesse de mes parents et des Weasley Brother’s. Même si je l’adore et que j’ai toujours tendance à la surprotéger contre son gré, j’ai souvent tendance à disparaitre derrière elle lorsqu’elle et là. Seulement, je ne veux pas disparaitre ! Je veux que l’on me voit, moi aussi !

Mon entré à Poudlard fut sans doute l’un des meilleurs moments de ma vie. D’abord j’ai rencontré Harry Potter qui se révéla à devenir mon meilleur ami. Bien sûr, au début j’éprouvais de la jalousie pour lui et mon entêtement refusait de voir qu’il ne voulait rien savoir de la célébrité, mais nous étions des meilleurs amis pour la vie, et ça je le sais encore aujourd’hui. Aucune chicane et aucune guerre ne m’empêchera de retourner à ses côtés, s’il le désire. C’est également dans le Poudlard Express que j’ai rencontré Hermione Granger. Ma deuxième meilleure amie que je détestais au tout début. J’aimais rire d’elle et de ses manières de Miss-je-sais-tout. En fait, je crois que j’étais surtout jaloux de son talent. Seulement, la sauver d’un Troll des cavernes grâce à un sort qu’elle m’avait montré comment bien l’exécuté nous rapprocha. Nous devînmes donc le trio inséparable. Harry Potter, Hermione Granger et finalement moi, Ronald Weasley. Gryffondor n’avait qu’à bien se tenir ! Ne vous l’ais-je pas dis ? Nous avions été tous les trois répartit dans cette maison. L’année fut difficile, mais grandement excitante, même pour moi qui était habitué à voir de la magie à tous les jours. À la fin de l’année, j’ai aidé Harry et Hermione à sauver la pierre philosophale des griffes de Vous-savez-qui. Même si je ne me suis pas rendu jusqu’à la toute fin de l’aventure, j’ai quand même réussit à battre l’échiquier géant de MC Gonagall !

La deuxième année fut exécrable. Ma propre sœur était possédé par Tom Jedusor alias Vous-savez-qui, et faisait sortir un basilic géant des toilettes des filles pour aller pétrifier des né-moldu. Entre un professeur de Défense Contre les Forces du mal pathétiquement couard, des parents furieux contre moi parce que j’avais fait volé la voiture jusqu’à Poudlard, ma baguette magique brisée, une fuite devant un régiment d’araignées géantes avide de chaire fraiche dans la forêt interdite et l’héritier de Serpentard, je n’ai pas vu l’année passé. Par chance, les examens finaux ont été annulés cette année-là ! C’est cette année là que j’ai réalisé qu’Hermione était vraiment une bonne amie et qu’Harry était un fourchelangue.
Évidemment, on ne peut pas être étudiant à Poudlard et être le meilleur ami d’Harry Potter tout en espérant passer une année calme et de tout repos. Ma troisième année fut celle où j’ai découvert que mon fidèle rat de compagnie était l’homme qui avait trahi les parents d’Harry avant leur mort…. ET JE L’AI LAISSÉ DORMIR DANS MON LIT ! Encore aujourd’hui, j’en frissonne. J’ai également découvert cette année là que je n’aimais pas du tout la divination, qu’Hermione avait plus de cran que ce que je croyais, que je détestais RÉELLEMENT Malefoy et que se faire mordre une jambe par un immense chien, eh bien, ça fait vraiment mal ! Cette année là, on a libéré Sirius Black et on l’a aider à fuir les détraqueurs…. Même si moi, je suis resté dans l’un des lits de l’infirmerie pendant qu’Harry et Hermione faisait tout le boulot.

Quatrième année…j’aime autant, ne pas en parler. C’est là que ma jalousie commença à transparaitre. J’en fus le premier étonné. J’étais jaloux qu’Harry soit un Champion de Poudlard. Il était l’élu, n’était-ce pas assez ? Je savais qu’il n’avait rien fait pour être choisi, mais c’était plus fort que moi. Malgré tout ce que je disais, je ne voulais pas voir mon meilleur ami se faire charcuter par des dragons et autres créatures. Ce fut seulement lorsque j’ai réalisé que je pouvais le perdre à tout moment que je me suis rendu compte que notre amitié était plus forte que la célébrité. Il a ensuite fallu qu’Hermione se pointe au bal avec Vicky…Victor Krum. Mais qu’est-ce que ce mec avait de plus que mo…que nous ! Hermione ne m’avait jamais paru aussi belle que se soir-là, mais moi, maladroit comme d’habitude, je n’ai trouvé que des propos blessants pour lui dire que je la trouvais jolie. Eh oui, je suis un vrai séducteur! Ce fut cette année là que Vous-savez-qui refit surface pour vrai.

La cinquième année fut sans aucun doute la pire pour nous tous. Pourquoi ? Un mot : Ombrage. Le ministère, paranoïaque et imbécile qu’il était, avait décidé d’envoyer ce crapaud rose diriger Poudlard ! Nous n’avions même pas le droit de faire de la magie dans nos cours de Défense Contre les Forces du Mals ! Cette année là, Harry était plus sombre, plus colérique, mais j’essayais de lui montrer que j'allais toujours être là pour lui. Hermione proposa qu’on crée un groupe qui serait dirigé par Harry ; notre but ? Apprendre à nous défendre contre Vous-savez-qui. J’ai immédiatement trouvé que c’était une bonne idée. Avec Harry, il était sûr que nous vaincrions! J’ai également découvert que je n’étais pas fait pour le Quidditch, même si on me disais le contraire et que je n’étais pas vraiment un bon préfet. Cette année-là, mon père fut mordu par un serpent. J’ai cru perdre une partie de moi-même. Mon père ne pouvait pas mourir ! Par chance, il survécu…mais Sirius y laissa sa vie, bouleversant Harry au plus profond de son âme. Moi-même, j’avais de la peine pour le maraudeur, je l’aimais beaucoup. Plus jamais Harry ne devait perdre un être cher, je ne voulais plus revoir mon pote aussi dévasté.

Je débute une sixième année des plus étranges. Un bon jour, nous suivions Malefoy dans un couloir et ensuite, Pouf ! Nous nous retrouvons plusieurs années dans le passé, à l’époque où nos parents ne sont que des étudiants, tout comme nous. C’est totalement déstabilisant de se retrouver à une époque où nos parents sont des adolescents irresponsables. Pour passer incognito, Ginny et moi étions destiné à changer notre nom de famille pour Weas. Pas très différent, mais assez pour être légèrement dérangeant pour une personne étant admirablement doué pour gaffer. L’année commença fort étrangement. Une blague des maraudeurs, Hermione qui semblait légèrement plus distante comme si elle me cachait quelque chose, mon meilleur ami ravie et anxieux à l’idée de connaitre ses parents enfin, ma sœur que je devais surveiller sous peine d’être tué par ma mère et finalement Malefoy qui…non en fait, Malefoy, je m’en fiche !

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